« Une collègue, une amie » Ah ma chère Emily. Cela fait des années maintenant que nous travaillons ensemble et on se côtoie souvent. Entre nous l'entente a toujours été bonne, voire même agréable. Dès le début, j'ai toujours joué les patrons plutôt sympa, je ferme les yeux sur tes retards et tu m'aides autrement en me remplaçant par exemple quand je ne sais pas venir. C'est agréable, sans complication, en sommes tu es une collègue en or. Puis un soir après une soirée de l'hôpital, d'ailleurs je ne sais même plus pourquoi, l'alcool a réussi à nous faire passer outre la relation de collègue que nous avions. Nous avons passés la nuit ensemble, quelle nuit. Cependant, je ne regrette rien mais je ne voulais pas que ça change quelque chose à la relation que nous avions avant parce que l'entende doit être bonne dans une équipe. Forte heureusement, nous sommes deux adultes, on en a parlé, on a crevé l'abcès et tout est rentré dans l'ordre. Tous? Ce n'est pourtant pas sur, il reste quand même quelque chose d'indéniable, une attirance. La preuve sans doute la plus irréfutable c'est que j'ai accepté et pris plaisir à te tirer de ce lourdaud de collègue en me faisant passer pour ton petit ami. Mais je resterais à ma place promis.

« Une sœur de cœur... » L'hôpital, ce lieu qui me permet de rencontrer des dizaines de personnes est aussi le lieu où je t'ai rencontré. Tu avais été blessés dans l'exercice de tes fonctions. J'ai posé sans doute trop de questions, on s'est engueulé avant de commencer en a rire. Je crois que c'est ce qui a soudé notre relation. Disons qu'entre nous c'est particulier. On s'entend parfois très bien et la seconde d'après on peut s'engueuler comme des chiffonniers. C'est peut-être pour ça finalement qu'on s'entend, des caractères parfois pas faciles ensembles ça ne peut pas toujours marcher. Néanmoins, tu es quelqu'un que j'apprécie et malgré quelques disputes qui ne durent pas très longtemps, c'est toujours chouette de te voir. Quand on n'y pense ça fait un peu frères et sœurs sans être de la même famille. De plus je sais que tu es à la CIA et je n'ai aucune envie de perdre, c'est encore plus rai depuis que tu m'as amené à rencontrer ta petite protégée Aleksandra. J'ai l'impression d'être le grand frère, je veille sur toi Sab.

« Une attirance qui a tourné court» Parfois, on ne sait pas pourquoi ça nous arrive, ni même comment mais tout ce qu'on sait, c'est que c'est là. C'était exactement ce qui nous est arrivé. Un jour comme un autre, je m'étais dirigé vers la plage sans but précis à part celui de me relaxer. J'ai relevé la tête en entendant quelqu'un arriver : toi. Toi aussi, tu te baladais, on a un peu discuté, on a continué de marcher. Le constat que je peux poser, c'est que pour une raison que j'ignore quelque chose en toi m'attires. Pourtant tu es bien trop jeune pour moi et je n'en ai rien fait. On ne s'est plus croisé par la suite sauf quand tu venais à l'hôpital voir ta mère. Elle a dû rester longtemps et tu me posais toujours les mêmes questions. Est-ce qu'elle va se réveiller? Est-ce normal qu'elle bouge les yeux? Ect.. J'avais eu une sale journée et je t'ai envoyé sur les roses de manière brusque. Ça à coupé court à cette attirance je pense. Je sais que je devrais m'excuser pour ce comportement mais je n'en ai plus eu l'occasion et pourtant les années ont passé. Je n'aime pas rester en mauvais terme pour des broutilles de mon humeur.

« Une protégée... » C'est quand vous vous y attendez le moins que vous faites les meilleurs rencontrent. Effectivement, j'avais pris des vacances bien méritées dans la résidence d'un ancien collègue de l'armée qui vit à présent en Europe. Vienne pour être exacte. Fatalement, toute bonne chose ont une fin et j'ai dû reprendre l'avion pour Washington et tu étais assises à côté de moi. Comme on était coincé là pendant plus de 6 heures, on a commencé à discuter de tout et de rien, j'ai appris que tu étais mannequin et surtout qu'on n'habitait pas très loin. Avant de se quitter, nous avons prit nos numéros de téléphone et on s'est rappelé. Les jours suivants on s'est revu à plusieurs reprises et un soir on s'est également retrouvé dans le même lit. On est cependant passé au-dessus de cette phase pour garder cette amitié. Tu es un petit peu ma protégée, je t'aide et j'essaye de te donner des conseils.

« L'amour ? » Les années passent mais les sentiments eux, prennent le temps de s’inscrir et de grandir. Quand on s'est connus, tu étais ambulancière, il n'était donc pas rare que l'on se croise quand tu nous emmenais des patients aux urgences. Puis à la force de se voir, on a commencé à échanger quelques mots, par-ci, par-là. Puis des conversations, finalement une amitié est née vu qu'on a appris à se connaître. Je sais très bien que je peux compter sur toi et vice-versa. On se parle, on aime se taquiner et je n'ai pas pu m’empêcher de mêler un petit jeu de séduction à tout cela. Cette femme est belle, elle est sympathique et ce petit côté joueur me plaît plus que bien. Néanmoins, malgré tout cela, ce jeu n'a jamais été plus loin, nous nous sommes toujours arrêtée avant que la pente ne devienne trop glissante ou d'atteindre le point de non-retours. A vrai dire au vu du fiasco de mes relations depuis tous ces événements, je n'ai pas très envie de me lancer, j'ai peur de tout perdre bien plus vite. Nous avons tous les deux des réticences. Et si on prennent un risque de temps en temps? Et si on se lançait sans réfléchir ? Plus facile à dire qu'à faire...

« Une petite fille de cœur... »J'adore Sabrina et je crois que je t'apprécie d'autant plus. Certes, notre première rencontre n'était pas vraiment très joyeuse. Un jour Sabrina a débarqué en hécatombe dans mon service avec toi. Tu étais enrhumée, glacée jusqu'au os, mal en point. Tu n'avais plus mangé depuis je ne sais plus quand. On t'a pris en charge pendant que Sab' m'expliquait tout. Quand tu t'es réveillé, tu m'as souri je te l'ai rendu. Il paraît que tu ne parles pas à beaucoup de personnes mais il me semble que je fais l’exception. Je n'ai pas eu d'enfant, Élena est morte avant même qu'on aille pu l'imaginer et je t'apprécie un peu comme si tu étais ma fille. On se voit souvent parce que quand Sab' est appelé pour son boulot, je fais souvent la nounou. J'ai appris récemment que tu voulais devenir médecin, je t'ai montré tout ce que je pouvais, fais visiter les laboratoires, tu avais l'air aux anges. J’espère que tu apprécies toujours autant de me parler même si moi aussi je dois travailler quand tu viens.

« Un ennemi » Il y a des personnes dont on ne veut rien connaitre, des personnes dont on ne veux rien savoir. Et c'est exactement ce qui se passe pour toi. En soi je ne te connais pas, je sais à peine ton nom mais plusieurs de mes amis ne t'apprécie pas. Alors moi non plus, c'est un peu bête et à la fois on ne peut plus logique. Les ennemis de mes amis sont mes ennemis non? Alex ne t'apprécie pas alors moi non plus, c'est aussi simple que ça. Et puis tes manières de te croire supérieur aux autres m'exaspère, tu te prends pour dieu sans l'être mais tu es qui au juste toi?

« Mon Ex-Beau Frère » Elena. Je l'ai rencontré à l'armée et le moins que l'on puisse dire c'est que le courant est très vite passé entre nous. On s'est fiancé et j'ai aussi rencontré toute ta famille en venant te rendre visite. C'est comme ça que je t'ai connu, en venant voir ta sœur. On s'entendait pas trop mal mais tout à coulé avec le décès d'Elena. Je sais que vous aviez autant de peine que moi et pourtant je n'avais pas la force de supporter la votre, je n'avais déjà pas la force de supporter la mienne. On s'est perdu de vue, je n'ai plus eu de tes nouvelles et je n'en ai plus donné. Mais qui sait ce que la vie nous réserve encore. En tout cas tu étais sympathique. J'espère que tu réussira ce que tu veux...Et qui vivra verra.

« Semper Fi »Un mentor & Un ami. Tout fraichement engagée, je me retrouva placé dans le même bataillon que toi. Ma chance ou non, j'étais sous tes ordres. Rien d'inhabituelle pour moi. Un jour cependant, lors d'une mission dangereuse, allez savoir pourquoi, j'ai un peu merdé. Prit dans le mauvais feu, j'ai plutôt crus ma dernière heure déjà arrivée. Je te dois la vie de m'avoir tiré de se mauvais pas et je t'en serais éternellement reconnaissant de se faite. Puis tu quittas l'armée brusquement. Moi je continua mon parcours toujours plus chaotique jusqu'à se que je raccroche pour devenir médecin. Je n'avais plus jamais entendu parler de toi, jusqu'à se qu'on m'appelle d'urgence et que je te reconnaisse pâle sur un de mes blocs opératoire. Cette fois-là, ce fut mon tour de te rendre la pareil de l'acte que tu avais poser des années plus tôt. Depuis on se revoit plus souvent et se croise parfois. Semper Fi Jethro...  

« Un ami surprenant & compliqué » Under Construction