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Nouvelle vie ? Voyons cela. ~ Fiche terminée

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Kieran J. Finnerty

Conteur funeste
«Kieran J. Finnerty»
♠ Nombre de messages : 29


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MessageSujet: Nouvelle vie ? Voyons cela. ~ Fiche terminée Nouvelle vie ?  Voyons cela. ~ Fiche terminée  EmptyMar 19 Jan - 11:14




Kieran Jamie Finnerty
« Vouloir jouer aux échecs contre soi-même, est donc aussi paradoxal que de vouloir marcher sur son ombre. » Stefan Zweig



who i am

Bonjour! Je m'appelle Kieran Jamie Finnerty mais mes amis me surnomment Doc'. Je suis né à Boston le 21/12/1980 et de ce fait j'ai donc 35 hivers. Côté cœur, je suis Célibataire, sachant que mon orientation sexuelle est Gay. J'appartiens au groupe Médecin Légiste (travaillant pour le NCIS).

S'intéresser aux gens, à leur façon de pensée ou d'agir selon des situations bien précises... Quel exercice fascinant. C'est en partie pour cette raison, pour réussir cette activité, que j'ai commencé une formation en psychiatrie médico-légale : qu'est-ce qui pousse un individu de franchir la limite ? Qu'est-ce qui compose l'esprit complexe d'un tueur en série ? Un expert peut réussir, à travers une simple hésitation, à travers une micro-réaction de votre iris ou encore grâce à un simple mot, comprendre votre fonctionnement de pensée à un moment précis et, ainsi, imaginer les différentes possibilités, conséquences, d'un fait. Anticiper d'un coup, voir deux ou trois, les mouvements d'un échiquier, cette image est celle qui permet de comprendre mieux ce petit prologue. C'est donc ma fonction, de manipuler et de comprendre l'esprit – associée à la manipulation d'un scalpel et d'une connaissance avancée du corps humain – mais, pourtant, je dois m'avouer vaincu face à un problème complexe : il m'est difficile de parler de moi. Ou plutôt il est difficile de parler consciemment de moi : je suis comme tous, j'en dis beaucoup rien qu'en expliquant que j'ai du mal à  parler de moi. Le petit et amusant paradoxe... Mais je vais essayer de relever le défis et être le plus honnête possible...

Nous pouvons parler de ma vision du monde : mon expérience dans les milieux mafieux – provenant de la période familiale de mon passé – ainsi que dans le domaine de la guerre psychologique – expérience provenant d'un engagement auprès de la CIA – m'ont permis de voir le monde sous un angle différent que la simple – mais importante – activité d'expert psychiatre. Grâce à ces expériences, ces éléments de mon existence, j'ai pu formé un avis sur la société, sur ce qui est nommé le « politiquement-correct »... Je n'apprécie pas l'action de glisser une personne dans telle case selon son comportement, je considère qu'il est plus amusant de voir le monde comme il est : un ensemble d'individus qui se croient et se recroisent au fil de leurs vies, tout en conservant sa personnalité propre. Parce qu'une personne possède un caractère froid, distant, il va être considéré comme une « personne désagréable » ? Une personne qui s'associe pleinement à un groupe de personne, est forcément la « personne de confiance » ? Je n'apprécie pas les clichés... c'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai souhaité me dirigé dans cette branche : les criminels possèdent leurs raisons, leurs personnalités, qui les poussent à agir différemment, à l'exact opposé de la légalité. Ils sont en cela, horriblement fascinant. Le même désir m'a permis de travailler à la CIA : je réfléchissais à des tactiques, j'observais les gens, analysant leur comportement pour comprendre parfaitement comme ils fonctionnaient. Mes cibles n'étaient pas des personnes à mettre dans des cas, au contraire, on me demandait de sublimer leur individu, pour pouvoir imaginer les multiples scenarii. Que dirait un psychiatre de mon parcours, de mes mots ? Il dirait que je cherche à détruire toute possibilité de routine. Il dirait que je serais le genre de personne voulant connaître les limites de l'esprit humain, tout en ayant l'envie secrète de frôler moi-même ma propre limite, chose que j'aurais fais, selon lui, en travaillant pour la CIA dont les activités sont... extrêmement sensible. Je ne peux nier les faits : c'est vrai. Cliniquement... je pense que je peux être considéré comme « à la limite » de ce que la moralité peut accepter. Tout en sachant, que j'ai réussi à faire marche arrière en quittant la CIA qui elle, me faisait traverser la limite...

Se sentir vivant, voilà ce que peut apporter une telle chose. Je dominais un scénario comme je domine une partie de jeu de rôle sur table ou un RPG sur mon ordinateur. Oui, j'aime les jeux et ce genre de choses. Non, pas de psychiatre pour cette partie là, j'en ai pas besoin. Je disais... C'est durant donc cette période à la CIA que j'ai réellement commencé à avoir une certaine peur de l'être humain. Peur que mes secrets – que mon père m'ordonnait de dévoiler quand j'étais enfant – soient découverts. Peur que mon intimité se mélange avec mon métier. Peur des gens, de leurs proximités... Peur de moi-même par moment... Les vivants mentent, jugent, dominent – j'en suis l'exemple parfait – et je ne peux expliquer ce paradoxe d'avoir peur et en même temps de les trouver intéressant. Je trouve, les morts, eux aussi très intéressants : ils ne peuvent mentir. Leurs habitudes alimentaires, leurs goûts, la façon dont ils ont de vivre et d'agir : ils ne peuvent cacher ces vérités. Mais j'essaye de travailler sur cette phobie sociale... Une thérapie serait normalement une bonne idée mais je refuse cette idée... je ne me sens pas... « malade ». J'ai un problème qu'une seule chose pourra soigner : la vie. Et, peu à peu, l'objectif commence a être atteint.

Mais une telle crainte ne se soigne pas aussi facilement, il y a toujours des restes. Ainsi, lorsque j'ai une discussion avec des gens, il m'arrive de trouver un détail intéressant et de l'expliquer. Je ne cherche pas à raconter une histoire, j'ai l'impression d'avoir le besoin de donner cette information. Ainsi, je peux parler d'Histoire, de Géographie, de Mathématiques, de Neurosciences, ou autre sujet qui m'aurait passionné personnellement – comme les jeux vidéos, ou d'autres de mes loisirs de l'univers geek – . Lors de certains tests, il a été dit de moi que je suis un surdoué, ce qui expliquait ma sensibilité, ma compréhension des choses rapides, ou encore le fait que je sois parfois dans ma petite réalité. Cette envie d'avoir plusieurs sujets d'intérêts m'oblige à lire des articles dès que je vois certains que j'apprécie, des livres – Zweig, Lovecraft, Wilde, ou même des auteurs moins connus et tout aussi intéressant –, et de vouloir donner au monde ce savoir... ou de l'utiliser pour créer une forme de barrière. Malgré cet... handicap sociale, il y a une chose que je ne peux expliquer : lorsque je fais face à des familles de victimes, cette habitude disparaît. Comme si... mon cerveau compartimentait, disait à mon esprit : là, ce n'est pas aussi simple, la personne veut parler, être écoutée, elle a besoin de toi et d'avoir des réponses, ou de t'en donner si tu te pose toi-même des questions.

En parlant de question... il y en a une que je ne peux m'empêcher de me poser. Cette interrogation est la suivante : où se trouve ma limite depuis que j'ai quitté la CIA ? Est-ce que je pourrais la franchir à nouveau ? Est-ce que je pourrais devenir le Maître du Jeu d'un scénario dans lequel l'innocence deviendrait une cible ? Tout simplement... Pourrais-je devenir Jamie Allistair ?


this my story

La mémoire est formidable : malgré tous les éléments qu'elle assimile, jours après jours, elle peut conserver des images nettes, précises, de certains événements. Pourtant, sans être trop vieux, j'ai tout de même rencontré plusieurs personnalités, ainsi que plusieurs « amis » dont les paroles sont silencieuses. J'ai agis pour le bien de certains, en faisant parfois le mauvais choix selon d'autres personnes... Mais qu'importe tout ce que j'ai vécu – sans être réellement vieux bien entendu – j'ai une vision nette de certains éléments... éléments que j'aurais souhaité oublié par moment, je le sais. En fait, il serait plus juste de dire que la mémoire n'offre pas que les images, mais aussi les sentiments, les émotions, liés à ces instants. Parfois nous apprécions certains souvenirs... parfois nous préférerions qu'ils disparaissent dans de sombres abysses, sans possibilité de retour. J'espère ne jamais oublier ma famille, malgré les tares dont elle peut faire preuve, malgré les tords qu'ils peuvent avoir commis ou continueront de commettre. Oui, il serait intéressant de mettre en avant l'environnement dans lequel j'ai passé mon enfance. Jake Alistair est mon père. Pour les rares qui ne sont pas sortis de leurs grottes, il est l'un des plus importants criminels mafieux du Nouveau Continent. Plus qu'un criminel, il est un personnage important dans la vie politique de la Côte Est... je pense que le titre de « faiseur de roi » peut lui être offert. Né à Boston, il a construit son réseau en réussissant à assembler les différentes mafias, gang et groupuscules irlandais sous une seule étiquette. Je suis certain que ma mère, Astrid, elle aussi native de Boston, était et reste sa meilleure associée. Le criminel et l'avocate... Pourquoi ne sont-ils pas encore arrêtés ? Simple, non : pas de preuves, pas d'arrestation. Je pense que me plaindre de ma famille n'est pas une chose que je ferais en situation normale – bien que je cache totalement mes origines –, pour une assez bonne raison : malgré leurs actes, ils sont mes parents, des personnes qui m'ont élevés selon un code assez stricte... mais qui n'ont en rien été restrictif sur ma façon de pensée. En fait mon père est même plutôt... joueur... Pour lui, que je sois dans le milieu de la criminologie est un pari : combien de temps je resterais sourd aux appels de mes origines et surtout, qui sera le plus rapide à atteindre ses objectifs : mes frères ou moi ? Oh, oui, j'ai deux frères : Ian et Sloan, respectivement d'un et deux ans mes aînés.

Je ne connais pas trop l'histoire qui lie mes parents... Selon les rares fois où j'ai eu quelques échos, cela semble venir de l'époque où ma mère était étudiante en droit. Depuis, ils ont toujours travaillé et vécu ensemble... Astrid lui apportait des conseils juridiques permettant de développer une véritable couverture pour toutes les activités illégales de Jake... D'après ma mère, j'ai hérité du côté un peu secret de mon père... tandis que j'ai hérité d'elle son pragmatisme.

C'est donc dans cet environnement un peu... quel serait le mot... spécial, que je suis né, le 21 Décembre 1980. Natif de South Boston, j'y ai passé mon enfance, baignant dès l'enfance dans ce climat mafieux. Mon éducation a été faite selon un code assez précis, comme j'ai pu l'expliquer plus haut mais ergoter plusieurs heures dessus serait assez long. Pour résumé, la famille était la chose la plus importante, il ne devait y avoir aucuns secrets pour peine de créer un climat de manque de confiance et, enfin, « l'entreprise familiale » appartient à celui qui arrive à l'avoir en premier. En bref, une petite compétition pouvait naître de ce climat, ce qui ne m'empêchait pas d'avoir de très bons rapports avec mes frères – en tout cas par le passé –. Mes parents n'ont toujours pas été arrêtés pour leurs crimes, je pense même qu'ils savourent une nouvelle victoire contre le bureau du FBI de Boston. Ian, lui, a suivi les traces de ma mère en suivant des études de droit et est devenu le conseiller juridique d'un des Sénateurs du Massachusetts. Sloan est resté dans l'ombre, tout comme mon père mais je ne sais pas réellement ce dont il a la charge... Je me rappelle que, plus jeune, il avait une certaine admiration pour les armes et adorait passer des heures à observer la collection d'armes anciennes de mon père.

Ces souvenirs d'enfances ne sont pas réellement perturbant. Je fuis, certes, ce monde, ne souhaitant pas en faire parti – tout en ressentant, tout de même, une petite excitation à l'idée que cela aurait pu arriver, imaginant le monde autrement – mais je ne refuse pas mes origines... Pourtant... j'ai vu une preuve des activités criminelles de mon père, sans pour autant le crier sur tous les toits. Je pense que ce souvenir est le seul souvenir que je cherche vraiment à oublier. Ce souvenir revient sur l'une des règles de mon père : aucun secret... C'est pourtant ce qu'il faisait, en nous empêchant, durant nos jeunes années, de ne pas voir le pire chez lui. Je n'aime pas entrer dans les détails, ainsi je resterais vague, mais durant mon enfance j'ai été témoin – ma curiosité est, sans doute, mon plus gros défaut – d'une exécution sommaire d'un traître... des mains de mon père. Je me suis caché dans la voiture, j'ai attendu, j'ai observé, j'ai vu... Et lorsque mon père a compris, je n'ai jamais eu aussi mal que la gifle que j'ai reçu de sa part et de celle de ma mère. Certains secrets doivent être préservés... durant au moins une certaine période. Mon père refuse que des enfants soient mêlés à ses affaires, que ce soit en tant que témoin ou victime...

Ma famille et moi avons coupés nos ponts lorsque je suis entré à l'université et que mon cursus – raccourcis par, selon les psychiatres, mes capacités de « surdoué » – en rapport avec la criminologie, ou même d'entrer dans une école d'officier suite à ces années, n'a pas réellement résonné comme une bonne nouvelle... surtout du côté de mes frères. La réaction de mon père a été étrange, mais proche de sa personnalité... Ma mère, elle, considérait ce choix comme « intéressant et ironique ». Oui, j'ai choisis ces études en partie parce que je voulais comprendre les différences entre des façons de penser. Je voulais comprendre comment découvrir les vérités, dans un regard, dans une micro-réaction ou encore dans la position des pieds – saviez vous que, selon certains, les pieds forment la partie du corps la plus révélatrice de l'état de pensée du sujet ? –. Mes frères eux... ont tenté plusieurs fois de me « ramener à la raison » que ce soit par les mots – Ian – ou avec un peu plus de violence – Aaaah Sloan... que j'ai aimé quand ton poing a failli me faire vomir mes poumons ! – mais mon choix était fait donc... ils ont abandonnés. Parfois, j'aimerais ouvrir mon courrier et avoir une lettre de Ian qui me demande, encore, de revenir sur mes pas, de faire autre chose... Mais c'est impossible maintenant, les seules fois où j'entends parler d'un des membres de ma famille c'est que je recherche leurs noms dans des dossiers... ou qu'un homme suspecté travailler pour mon père est mort.

C'est d'ailleurs à ce moment là que je dois vous avouer quelque chose : au fur et à mesure des études, j'ai commencé à être intéressant aux yeux de certaines personnes, ce même genre de personne qui apprécie certains cursus et certains choix... Ce genre de personne qui peuvent faire disparaître certains morceaux de votre existence comme par exemple... votre nom et vos origines. Pendant mes études militaires, j'ai été approché par la CIA qui recherchait des profils particulier. Mon cursus, mes capacités dans les sciences médico-légale les ont « certifiés » que je pouvais être un de ces profils. Une opportunité de disparaître... de changer totalement d'existence et de faire quelque chose qui pouvait presque... m'apprendre encore plus de choses. Oui, j'ai accepté cette offre. De Jamie Alistair, je passais à Kieran Finnerty. J'abandonnais l'idée de continuer d'exister à travers la doctrine patriote – doctrine qui parfois pouvait être poussée à l'extrême et être dangereuse, à mes yeux – et stricte des militaires pour me plonger dans un univers qui me demanderait presque de répondre à cette secrète envie de faire des choses dans un « cadre flou ».

La guerre psychologique, nous devions travailler sur ce programme avec d'autres services du gouvernement. Ma mission, ainsi que celles d'autres membres de l'agence, était d'imaginer les différents scenarii qui permettraient de manipuler certaines cibles, de créer les différents sentiers que la cible devait emprunter et tout simplement... choisir le plus efficace, le plus pragmatique tout en comprenant au mieux sa personnalité. Une mission difficile, ne nous voilons pas la face. Difficile, pour plusieurs raisons : la mission en elle-même, mais l'environnement aussi. Cette impression étouffante de paranoïa... Je me suis adapté à elle, tout en commençant à développer une forme de « barrière » sociable. Plus je voyais les gens agir, plus je comprenais qu'ils m'effrayaient... je voulais garder une distance. Avec les cibles, rien de plus facile : je n'agissais pas, je réfléchissais juste à ce qu'elles sont... Avec mes collègues et mes supérieurs... c'était bien plus difficile. C'est à cause de cette méfiance que s'est peu à peu instauré deux choses : une envie d'en apprendre bien plus sur la médecine légale, développant des capacités de la compréhension du corps humain et des moyens d'abattre une cible, de comprendre la situation « physique » et non « psychologique »... la seconde chose était un brillant désir de créer une barrière en instaurant une forme de dialogue dans lequel je reste totalement neutre. Donner des informations, sur un tel sujet... et éviter ainsi tous dialogues pouvant avoir un aspect personnel, intime. Bref, ma méfiance se cachait derrière des informations balancées selon le contexte, des informations qui moi me permettaient de réfléchir, tout en créant cette distance... Grâce à mes nouvelles compétences de médecin légiste, j'ai pu préciser les scenarii dont j'avais la charge, utilisant tous les savoirs que j'avais emmagasiné pour créer de parfaites et cohérentes scènes : je ne cherchais pas la perfection qui pouvait sublimer le scénario, mais plutôt la perfection qui se fonderait dans celui-ci...

Peu à peu, cette situation professionnelle devint routinière et la saveur de la découverte, ainsi que celle de l'intérêt, disparurent pour laisser place à une vérité : j'avais apporté ce que je devais apporté, des rapports qui seraient utilisés pour produire de nouveaux scenarii et l'agence m'avait apporté un niveau de connaissance que je n'aurais pu avoir en un temps si court, malgré mes connaissances. Ainsi, c'est avec un accord commun, que mon engagement avec la CIA se terminait. Je le savais dès que je suis revenu dans un quotidien normal : si mon passé avait été modifié, ils garderaient toujours un œil sur un ancien membre... les secrets restent... secrets. Je regrette parfois cette fonction, par exemple lorsque je joues aux échecs : ce jeu me rappelle souvent que j'étais payer pour y jouer... payer pour imaginer les mouvements à partir de chaque conséquences d'une cause. Mais cette méfiance, cette peur de l'être humain vivant, me rappelle aussi que l'ambiance n'était peut-être pas la plus saine pour moi, malgré ce que pourrait hurler ce sentiment caché qui m'avait poussé à accepter cette offre.

Maintenant, il fallait que je trouve une nouvelle vie. Kieran Finnerty s'est donc installé à Washington D.C... j'ai commencé à chercher quelque chose qui pouvait m'aider, m'aider à avoir moins peur des vivants, tout en me permettant de continuer ce que j'aimais faire : comprendre ces mêmes êtres qui me font parfois extrêmement peur. Plusieurs agences pouvaient être intéressés par mes services de médecin légiste et expert en psychiatrie médico-légale... je n'avais qu'à choisir. Je craignais que, perdu dans les murs du FBI, je ressente les mêmes pressions que mon travail à la CIA et, pire encore, que je sois mis face à ce passé verrouillé par l'agence d'espionnage. C'est lors d'un entretien au NCIS que je me suis rappelé que je pouvais trouver dans cette agence ce que je voulais. Je pouvais concentrer mon travail sur un groupe de personnes, des membre de la Navy et des Marines, les formes de crimes qui peuvent être liés à ceux-ci. Terrorisme, espionnage, passion, sécurité, mercenariat, vol, etc... Les dossiers me paraissaient aussi complexe, mais totalement différents et je pouvais cette fois agir sur la recherche de quelque chose et non la manipulation... Bref, je quittais totalement la guerre psychologique pour participer à quelque chose de bien plus « concret ».


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Pseudo • Nico' etc...
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Avis sur le forum • J'utiliserais cette catégorie pour dire quelques petites choses. Je suis revenu car j'aime ce forum et je suis réellement désolé de mon absence prolongée: j'ai eu des soucis personnels (fatigue, dépression) et donc voilà, je n'avais ni la force, ni le désir, de RP sur un forum. Je trouvais l'épreuve trop difficile. Voilà voilà =) J'aimerais, si possible, reprendre grosso modo le même personnage, tout en réécrivant la fiche (pour la rendre plus lisible et plus agréable à la lecture).
Fréquence de connexion • Le plus possible (cela dépendra en fait des différents projets qui se manifestent dans un avenir proche)
Code du règlement • Ok par Iris  Nouvelle vie ?  Voyons cela. ~ Fiche terminée  656309

FICHE PAR ROMANE



Dernière édition par Kieran J. Finnerty le Mer 20 Jan - 17:27, édité 2 fois
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Iris Shepard
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MessageSujet: Re: Nouvelle vie ? Voyons cela. ~ Fiche terminée Nouvelle vie ?  Voyons cela. ~ Fiche terminée  EmptyMar 19 Jan - 16:43

Rebienvenue et bon courage pour la fiche alors ! Qu'est-ce que je suis contente de te revoir ! Je me suis demandée ce qui t'étais arrivé Nouvelle vie ?  Voyons cela. ~ Fiche terminée  656309 Et bien entendu tu peux reprendre ton personnage Wink
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Kieran J. Finnerty

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«Kieran J. Finnerty»
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MessageSujet: Re: Nouvelle vie ? Voyons cela. ~ Fiche terminée Nouvelle vie ?  Voyons cela. ~ Fiche terminée  EmptyMer 20 Jan - 17:28

Je suis content d'être revenu =) Je viens de terminer ma fiche il y a un instant !
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Iris Shepard
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MessageSujet: Re: Nouvelle vie ? Voyons cela. ~ Fiche terminée Nouvelle vie ?  Voyons cela. ~ Fiche terminée  EmptyMer 20 Jan - 21:35

J'avais commencé à la lire dans une file d'attente et voilà, c'est fini, tout me semble parfait je file te rajouter à ton groupe. Ravie de te revoir parmi nous Nouvelle vie ?  Voyons cela. ~ Fiche terminée  656309


FÉLICITATION !
Bienvenue sur NCIS-RPG



Bonjour à toi !
Félicitation ta fiche de présentation est très bien.
Te voilà officiellement l'un de nos membres !
Voici quelques petites choses qui pourront t'aider à bien commencer sur NCIS-RPG


Tu n'as pas à t'occuper de resencer ton avatar. Les gentils admins le feront pour toi.
Si ce n'est pas déjà fait, tu devrais aller lire le contexte du forum.
Tu devrais rapidement te faire une fiche de lien et ainsi te faire tous pleins d'amis... Ou pas ! N'hésite pas à demander des liens aux autres membres. Ils sont gentils. Du moins pour la plupart.
Ensuite, ouvrir un sujet pour lister et recevoir des demandes de RPs
Si tu n'as pas envie de vivre dans les rues de Washington, il te faut rapidement demander une habitation.
Si l'envie te prend, tu peux aller te demander un rang.


Bon jeu et surtout bon RP parmis nous
Si tu as la moindre question n'hésite pas à envoyer un MP à l'un des admins.

FICHE PAR STILLNOTGINGER.
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