Sujet: I think that it's time to say goodbye [Libre] Sam 15 Jan - 19:07 | |
| [Ceci est donc le rp pour inclure l'évènement de la destinée, je signale qu'il est ouvert à tout ceux qui veulent mais il est préférable que j'aille un lien avec vous de préférence positif, sinon je peux pas vous demandez si je peux m'incrustez chez vous ^^] Les joies des gardes…A un moment ou la plupart ou une bonne partie de cette ville est rentrée chez elle, ou vague à leurs occupations routinières voir on déjà rejoints le pays de Morphée. Et bien pendant ce temps là, vous êtes en état d’urgence ou d’attente. A devoir accomplir les mêmes choses que pendant la journée mais la nuit. Enfin, il suffisait de quelques fois pour finir par s’y habituer. De toute manière avec un peu de bonne volonté, on finissait par s’accommoder de beaucoup de chose. Il était une heure quand une personne arriva de toute évidence le poignet foulé. Wayne, emmena d’abord son patient faire une radio pour vérifier son hypothèse, mais ce fut confirmé. Un plâtre plus tard et quelques paroles réconfortes au conducteur plus qu’inquiet et enfin un instant de calme. Lasse, il passa une main sur sa figure, déjà que c’était une sale journée, mais la nuit promettait d’être longue. Ne sachant pas, parce que n’étant pas devin, si il aurait d’autre moment de répits en cette douce soirée calme climatiquement parlant seulement, il décida d’aller fermer les yeux quelques instants dans la salle prévue à cet effet. Il échangea quelques paroles avec des infirmiers qu’il croisa avant de pousser la porte. Personne, tant mieux, il s’allongea sans se faire prier, éteignant la lampe par la même occasion. Remarquer ce n’était pas la lumière qui l’empêcherait de dormir non plus et pour 1h30, il avait sombré.
Tout aurait pu être normal réveillé pour une quelconque opération d’urgence, et croyez-bien qu’il aurait vraiment préférez cela malheureusement pour le chirurgien c’est son téléphone portable qui se mit à vibrer. Dans les vaps encore un tout petit peu, il mit quelques fractions de seconde avant de percuter qu’on l’appelait. Qui pouvait bien l’appeler à cette heure-ci ? Un sale pressentiment l’envahis, on appelle rarement les gens pour rien à 2 heures du matin. Il se redressa dans son lit et décrocha. La voix qui lui parlait, il ne la reconnaissait pas le moins du monde. Mais il le sut très vite quand il signalait que c’était un pompier. Allez savoir pourquoi mais son cœur rata un battement et il eut l’impression d’être plongé dans un bac d’eau glacée. La demande de pourquoi il sonnait et le verdict tombait, sa maison était en flamme…Il prononça un « j’arrive » qui arriva à sortir avec peine de ses lèvres. Non ce n’était pas possible, on avait du se tromper, il ne pouvait pas perde ça, perde une des dernières choses qui lui appartenait. En automate mais pressé, il partit en trombe signalant une urgence c’était le cas, enfilant sa veste tout en se dirigeant déjà vers sa voiture. Prenant le volant, il roula nettement plus vite que sa conduite habituelle. Il ne pouvait pas croire ça…Approchant de sa rue des flammes étaient visibles, il s’arrêta avant de sortir du véhicule et de partir vers l’endroit, Oh…NON..
Cette négation se cria certainement dans la tête de Wayne mais sur le coup aucun son ne sortait de ses lèvres. Il se tenait là devant deux maisons en flamme dont la sienne. Son regard se perdit dans le vide et il eut un peu de mal à respirer pendant quelques secondes. Non ce n’était qu’un mauvais rêve, il allait se réveiller bien gentiment…Malheureusement, l’ambiance de la rue restait inchangée et les pompiers se battaient pour éteindre les flammes qui rongeaient et léchaient les murs. Non, c’était la réalité encore une fois, il eut l’impression que le poids du monde se rabattait sur ses épaules. Non, non..Pourquoi le sort voulait-il s’acharner, son équipe, sa femme et maintenant sa maison ? Et puis quoi encore, il perdait tout ce qu’il avait su épargner jusqu'alors. Encore une fois cette impression de ras bol, incessant, il parut néanmoins partagé entre colère, rage et cette tristesse absolue comme si on ouvrait encore les mêmes blessures, encore une nouvelle fois. Un pompier s’approcha il ne le remarqua que quand il lui parla.
-Monsieur, c’est votre maison ? -Oui. -Nous sommes navrés, on essaye d’éteindre les flammes mais…. -Que c’est-il passé ? -Le feu à prit dans la maison d’a côté, sans doute quelque chose de mal éteint, un court-circuit et l’incendie c’est propagé aux autres maisons, je suis navré..
Il partit visiblement chercher quelques choses laissant un Wayne encore plus désemparé, il passa deux mains sur son visage incapable de réfléchir alors que les flammes qui dansaient se reflétaient dans son regard. Le même revenu vers lui avec avec des sacs plastiques qu’il lui tendit. Il les prit sans comprendre.
-Nous avons tenté une entrée à l’intérieur car nous ignorons si il y avait encore quelqu’un, on à sauver quelques affaires mais ben vite le feu à reprit et nos hommes on dut sortir.
Il ne répondit pas, il n’en avait pas envie, plus la force. Son regard se posa sur les sacs. Sa mâchoire se crispa, au-delà des biens matériels le pire c’était les souvenirs qui s’envolaient en fumée. Tout ces souvenirs, dans ses lieux, les derniers souvenir d’Elena, un peu comme si on lui l’enlevait une seconde fois. Il en pouvait plus. Pourquoi la destinée voulait-elle s’acharner à ce point, perdre tout ce qui lui restait d’elle, d’eux avec cette maison. Lui faisait encore plus mal, quelques misérables vêtements et un paquet de photo. De rage il les laissa retomber au sol.
-Monsieur ?...Tout va bien.
Wayne retourna son regard vers le pompier d’un regard noir. Avait-il l’air d’aller bien ? Oui c’est clair qu’il pétait la forme. D’une voix agressive alors que le pauvre homme n’y pouvait rien mais il perdait un rien le contrôle là, une fois de plus, une fois encore…Qui sait la fois de trop ?
-Mais oui, voyons, c’est génial, ma maison est en feu, je n’ai plus rien, allons bon pourquoi ça n’ira pas.
Il fit volte face pour marcher un peu agiter.
-Voulez-vous que j’appelle quelqu’un ? -NON tout ce que je veux c’est que vous arrêtiez ces putains de flammes IMBECIL ! - Ecoutez on… -NON, JE N’ECOUTE PAS, JE N’EN AI RIEN A FAIRE….FICHEZ LE CAMP.
Son visage se crispa finalement avant que sur le coup de cette colère injuste, tout simplement de douleur, il frappa avec toute sa force sur le mur. Il est évidant que c’est lui qui se fit le plus mal vu qu’il venait de s’ouvrir mais peu lui importait. Ce n’était pas vraiment cette douleur qui l’occupait. Il reposa sa tête contre le mur avant que ses épaules ne fussent secouées de soubresauts incontrôlables. Pourquoi cela ne voulait pas s’arrêter…. |
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