Sujet: Re: Break-out : Quand tout vol en éclat... [Ouvert à tous les agents] Mer 30 Avr - 17:16
Break-out : Quand tout vole en éclat..
Senior n’aimait guère tout la violence qui fusait autour de lui. Même s’il devait l’avouer qu’il pensait aux profits la majeure partie du temps, il avait une pensée pour les victimes de ce tireur. Il aurait bien dit que c’était un tireur fou, mais cela ferais en sorte que cet enfoiré échapperais à la peine capitale. Même si cela était une bien maigre consolation pour les familles des victimes, il pensait surtout que cela permettrait d’éviter d’autres morts même s’il savait que cela ne durerais pas. Après tout, quand une place devenait vacante, c’était une règle de la nature de le combler. Même s’il trouvait cela idiot comme règle, il ne pouvait rien y faire.
La seule chose qui le réjouissait était que les actions de la compagnie qui avait obtenu le contrat d’entretien augmenterais car cela s’avérais couteux de réparer tous les dommages. L’argent menait le monde, et il savait par expérience que le cours de l’or monterait en flèche tout quand il avait eu cette journée terrible qui a changé l’Amérique pour toujours. Il faut dire que quand la guerre se passe sur un autre continent, il est facile de l’oublier. Loin des yeux, loin du cœur. C’était malheureux de voir que cela était un rappel brutal à la réalité. Il ne pouvait pas bouger même s’il essayait de garder un sourire habituel qui ressemblait plus à un sourire plat.
Le bruit de la radio lui parvenait dans ses oreilles. Il laissa échapper un soupir de soulagement. Il faut dire qu’il était heureux et en même tant sceptique. Il se demanda même si cela n’était pas une hallucination auditive. Ceux donc on espère entendre et que notre cerveau croit qu’il est vrai. C’est sans doute pour cela que Senior regarda autour de lui. Il faut dire que dès qu’il vit que tout le monde se lever, cela l’avait rassuré grandement.
Tremblant légèrement, il faut dire que Senior ne s’attendait pas à vivre autant d’émotion forte aujourd’hui. Il avait envie de dire une réplique mais il ne put s’empêcher de jeter un regard autour de lui. Il faut dire que le chaos ambiant lui faisait mauvais souvenir. Il porta ensuite son attention à son fils qui était à ce moment-là en pleine conversation téléphonique. Au moins, il prit la main de Junior pour se relever.
«Merci Junior. Tu devrais faire attention à tes vêtements.»
Il ne put s’empêcher de s’approcher de son fils et de lui remettre son habit correctement et d’enlever la poussière qui s’était ramassé sur les vêtements de son fils. C’était sans doute déplacé mais cela il ne pouvait pas s’en empêcher. Il était fier de fils, il se devait bien se l’avouer même s’il ne le savait pas le dire ou le montrer. Il regarda ses habits avant de laisser échapper un soupir. Il faut dire que tout ce qui venait de se passer était mortel pour les habits et les gens. Il ne voulait pas paraitre insensible mais se concentrer sur ses vêtements étaient un bon moyen pour tenter d’oublier l’horreur et de se ressaisir. Il tenta de mettre de l‘ordre dans ses idées ainsi que dans ses habits.
«Même le meilleur nettoyeur ne pourrais pas sauver ses habits.»
Il devrait sans aucun doute s’en acheter d’autres, mais il essaierait surement de faire en sorte que cela soit au frais du NCIS. Tout ce qui venait de se passer lui ferait de belles anecdotes à raconter. On lui avait posé une question et regardant dans la direction d’où venais la voix, il laissas échapper un petit rire et fit son plus beau sourire. Il avait enfin repris en main ses émotions. Il dit sur son ton habituel.
«J’ai déjà connu mieux. Mais j’ai déjà connu pire mademoiselle.»
Il se retourna pour voir son fils en train de rouler une pelle selon les expressions des jeunes d’aujourd’hui avec une jeune fille qu’il n’avait encore jamais vu. Il ne put s’empêcher de racler la gorge pour signifier qu’il était là. Cela ne dura pas longtemps, mais il s’approcha de son fils avant de lui dire.
«Je vois que le charme des DiNozzo est toujours vivants. Alors tu nous présente pas Junior ? Il regarda son fils avec le regard pétillant de malice. Il ne put s’empêcher de sourire a son fils. Il faut dire qu’il avait peur que son fils suive le même chemin que lui-même car il savait que sa vie n’était pas un modèle pour personne. Il ne put s’empêcher de regarder autour de lui avant de dire.
«Il ne manque pas des personnes non ? Tu sais tes jolies coequipières ? Et ton chef, ou est t’il ?
FICHE ET CODES PAR EPISKEY.
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