« Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.)
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«Murs»
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Sujet: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Mer 3 Oct - 23:35
« L'amour est une servitude... »
Tommy & Emily
Hush hush, baby...
Emily poussa les portes du café avec une certaine détermination. Elle n'aimait pas la fin de l'été, et ce qu'elle aimait encore moins, c'était le début de l'automne. Vous m'direz, ça va souvent ensemble. Pourquoi ? Parce qu'il recommence à faire froid, que les feuilles mortes s'agglutinent sur votre pare-brise, que c'est la saison la plus concentrée en fêtes pour abrutis crédules, et enfin parce que l'automne, c'était vraiment une saison à la con. Un jour on s'habille trop chaudement, et il fait une chaleur incontestable au dehors, et le lendemain, on prévoit le coup et on s'habille légèrement, et il nous arrive un froid polaire en plein dans la face. Et bim. Voilà ce qui traduisait bien la météo de ce matin, un froid glacial. Emily cette fois-ci, avait mis le nez dehors, pour estimer plus ou moins des épaisseurs à enfiler. Vêtue d'un pantalon e jean gris foncé, d'un pull à manches longues noir. Le cou réchauffé par une écharpe burberry, les pieds couverts par une paire de bottes, avec un bon manteau qui faisait un peu marine, elle se frottait les mains en attendant son tour pour commander une boisson. Ce qu'elle faisait là? Et bien, naturellement, elle était venue au café pour manger une choucroute garnie aux petits pois, vous vous en doutez. Non c'est vrai que ça faisait un petit moment qu'elle n'avait plus fréquenté les cafés de la capitale, mais cette fois-ci c'était un cas de force majeure, elle n'avait plus de capsules à la maison, et son courage pour aller jusqu'au supermarché était inexistant. Elle n'aurait qu'à prendre un petit biscuit aussi, de quoi la faire tenir debout. Il n'était que sept heures du matin, et pourtant le café était loin d'être vide. Tous les poivreaux était déjà assis en terrasse la bière à la main à regarder le popotin grâcieux des jolies filles qui passaient, les travailleurs avec leurs gobelets en carton près à sauter dans le métro qui étaient planqués derrières les "Washington Post", et puis quelques personnes comme elles, qui avaient l'air d'être ni l'un, ni l'autre, mais qui étaient là quand même parce que le café était aussi leur mode de survie privilégié.
Dur de passer une journée éveillé sans le petit café du matin, et le petit café du midi, vous en conviendrez. Bon, c'est sûr que quand on allait consacrer sa journée à strictement rien foutre, parce qu'on était en congé, comme Emy en ce moment, ça n'était pas bien grave d'avoir les idées dans le brouillard, mais pour un costume-cravate, ça fait tout de suite pas très chic. Oh. Une autre catégorie de gens faisait son apparition, les assistants lèches-bottes qui prennent des cafés macchato avec supplément de crème à la vanille pour se faire bien voir de leur boss. Bon sang, comme elle pouvait mépriser ces gens et leurs méthodes grossières et vieilles comme Néandertal. Elle glissa son nez dans son écharpe en baissant la tête histoire de se réchauffer partiellement, quand soudain vint son tour.
__ Et boah Emy ça fait un bail qu'on t'as plus vue, t'étais morte? __ Absolument, oui. Un café serré, et un cookie s'il te plaît, Mark. __ Hé les gars vous avez vu c'est Mily __ Oh ?! Mily ! Hé bah ça fait deux d'un coup ! __ Ben ça alors, ça va Emy ? Héhé __ Ca irait mieux si j'avais ma dose de caféine et de sucre. Vous pensez pouvoir gérer ça où je dois aller dans un café où je suis une illustre inconnue ?
Emily afficha un petit sourire sarcastique, mais touché. C'est vrai qu'après plusieurs années d'absence, elle s'étonnait de voir que ces gens se rappelaient encore d'elle. Pendant que la cohue des serveurs qui se passaient le mot se dissipait, Emy laissait ses yeux clairs comme l'océan vagabonder dans la place en observant avec nostalgie tout ce qui lui avait manqué ici, la peinture était toujours écaillée aux mêmes endroits, les chaises étaient toujours d'un moelleux irrésistible et Tommy était toujours assis à cette table au fond de... Attendez ... QUOI QUOI QUOI QUOI QUOI ? Tommy Jons ? La brune croisa le regard translucide de Tom's environ un dixième de seconde avant de vite détourner son attention.
__ C'est la maison qui offre princesse. Sur place ou à emporter?
Mais qu'est-ce qu'il faisait là ? A boire son café? Il avait cette tête caractéristique du Tommy qui rentre de voyage, mais... elle n'était pas sûre, peut-être que si elle le regardait encore une fois.... merde. Ils s'étaient de nouveau croisés. C'était sûr, il l'avait vue, et si il l'avait vue, il devait avoir vu qu'elle l'avait vu. Ou un truc dans le genre.
__ Tu t'es déjà endormie Mily? __ Oh, excuse-moi Mark, je suis un peu distraite... à... à emporter s'il te plaît. Merci alors...
Le sourire que ses lèvres arborèrent ne semblait pas satisfaire le patron.
__ Tu ne vas pas faire comme si tu ne l'avais pas vu tout de même, vous avez plus quinze ans Emy, l'eau a coulé sous les ponts. __ De quoi tu parles....? __ Mais de Tommy, voyons.
Emily leva les yeux au ciel intérieurement. C'était foutu, il ne la laisserait jamais sortir sans qu'elle lui ait touché un mot. A vrai dire, c'est pas qu'elle ne voulait pas, bien au contraire, parce qu'elle avait un réel besoin de tout mettre à plat, et de discuter un peu, mais elle savait que même avec toute la bonne volonté du monde, ça ne passerait pas aussi bien que ce qu'elle voulait. Elle n'avait plus de haine, plus de rancoeur... Juste un gouffre, là, au fond de son coeur. Les quelques hommes qui tentaient de la distraire ne représentaient tellement rien à ses yeux. Lui c'était différent. Il avait vraiment une place spéciale dans son esprit, et dans son coeur évidemment. Plus la même place qu'avant, mais une place qui ne laissait place à aucun autre. Il n'était pas à elle, elle n'était pas à lui, mais elle savait bien qu'aucun autre ne ferait l'affaire. Mais lui... lui, il n'était pas aussi stupide qu'elle l'avait été, il avait su s'écarter quand leur histoire avait tourné mal, et lui il avait du s'en tirer sans trop de séquelles. En fait le seul homme qui aurait pu décrocher la place de Tommy, c'était Gabriel. Mais, le problème avec Gab's, c'est que lui, il était vraiment trop comme Jons, et qu'elle ne voulait pas refaire deux fois la même connerie. Sous couverts de ne pas vouloir bousiller leur histoire en allant trop vite, elle ne voulait pas d'histoire, en fait elle n'en voulait plus. Le célibat, c'était bien pratique. Mal vu. Un peu ridicule. Mais au moins, c'était la liberté. Pourquoi ? Parce que l'amour est un esclavage, l'amour est une servitude.
__ Tu penses qu'on va essayer de s'éviter encore combien de temps ?
Emily posa son café, et son cookie sur la table, les yeux plongés dans ceux de Tommy, l'air à moitié désespéré, l'autre un peu naif.
__ Parce que je sais pas tellement combien de temps je vais pouvoir attendre...► EMY
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Jeu 4 Oct - 10:59
Sept heures du matin heures de Washington et oui Tommy étais rentrer depuis trois semaines de Françe. Il avais même commencé a reprendre le travaille.Il venais a peine de se lever, car aujourd'hui notre cher Tommy avais le droit a une petite pose. Il n'avais pas arrêter depuis 3 semaines tout juste si il avais eu c'est heures de sommeil, mais la parfait. Tommy avais bien dormi bon certe il c'etais lever tôt mais pour une bonne raison ! Non en fait il voulais juste allé au café pour voir un petit vieillard qu'il aime bien et qui parle de pèche pendants au moin 24 heures sans s’arrêter.Tommy prend sa douche et se vétû d'une chemise noir, un jean,sa montre et c'est chaussure noir. Il étais pret ! Il se met juste un peux de gele dans les cheveux qu'il a couper récemment et regarde sa barbe si elle n'étais pas trop grande. Non c'etais parfait la barbe de deux trois jours comme d habitude. Il prend c'est clé et sort de sa maison.............ET rentre aussi tôt qu'il est sorti de le froid étais trop intense. Il va direction son porte-manteaux et prend son grand manteaux noir et des gants. Tanpis pour l'echape il en n'a pas. En même temps il piquer les écharpe a Emily quand il fessait froid ou juste pour l’embêter.
Il fini part partir, mais il s'avais que dans le centre ville c'etais dur a y allé avec un voiture donc il décida de prendre les transport en communs. sa fessait longtemps qu'il ne les avais pas prit du moin ceux de Washington. Dans le bus il prend place et attend gentiment qu'il arrive a destination. Un fois arriver il descend a son café habituelle et entre a l’intérieur il a accueille chaleureusement.
-Hey Tommy ! Tu va venir nous voir a chaque coup que ta une pose ! Tu sais quoi ton café est pret déjà ! Tommy sourit. Aujourd'hui il étais de bonne humeur. En fait il étais de bonne humeur depuis qu'il etais rentrer fini les mission en france avec Leyla . Bonjour de nouveau chez lui. Bref il lui fait un sourire et dit.
-Heureusement qu'il est pret sinon je change de café !
Il rigole attend deux petite minutes le prend et part rejoindre le vieillard a la retraite depuis au moin 20 bonne année il s'assoie avec lui e commence la fameuse discussion.
-Hey jeuno. Tu sais se qu'il c'est passé hier matin ma canne a pèche a cassé d'un coup d'un coup sec sa devais étres une grosse carpe au bout !
Tommy rigole et pose son manteaux et enlève c'est gants. Il prend place a sa chaise habituelle et assé fort.
-Il faut racheter des canne de notre époque !
Un notre prend la parole plus loin.
-Tu sais bien qu'il changera jamais il va même sens fabriquet une en boit je suis sur !!!
Tommy rigole et écoute les histoires qu'il débite depuis au moin 10 minutes, mais sa ne le gênais pas au contraire sa l'amusais beaucoup. Le temps passe il continue a boire son café le monde défile dans le café. Il prend le journal commence a le lire et attend des voix et surtout un prénom familier. Il relève la tête et la baisse pour ensuite la relever immédiatement. c'etais Emily.
* Bizarrement moi qui me répétais chaque jours que j'ai tourner la page mon seul désire étais de me lever de cette chaise et d'aller la voir, mon coeur serrer tout comme ma gorge. Je détourne mon regarde*
Tommy avais pour lui tourner la page son passé voulais surement le rattraper et le mêtre au defie et de toute façon Emily allais passé son chemin vue la maturit.......é. Elle avança verre tommy. Tommy l’écouta et la regarde et dit avec un petit sourire
- Assoie toi si tu veux.
Le vieillard avais tout de suite comprit il rejoint qu'elle qu'un d'autre et discute. Tommy ne quittais pas Emily du regarde et dit.
-J'ai voulu t'apeller plusieurs fois, mais je savais pas si ton numéro étais le même.
Il pose son journal et tout c'est souvenirs reviens aussi vite dans sa tête. Il a fallu beaucoup de temps a Tommy pour oublié son histoire avec Emily et il lui aura fallu 3 secondes d'un regarde pour sans souvenir de nouveau. Il ne s'attendais pas a se quelle vienne le voir c'etais pas vraiment son style d'habitude.
*Le passé c'est le passé. Beaucoup de gens regrette le passé, mais il ons tort c'est se qui nous forge se qui nous donne envie de continué pour ne plus faire les même erreur de vie et c'est pour cela que je suis heureux ! Je les toujours été dans les pire moment car il y aura toujours pire ou meilleur a affronter, j'ai toucher le fond plusieurs fois, mais j'ai toujours reussi a me relevé même si la destiné voulais me voir dans un éta de démence*
«Murs»
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Jeu 4 Oct - 20:37
« L'amour est une servitude... »
Tommy & Emily
Hush hush, baby...
La jeune femme pesa longuement sa décision avant de s'asseoir. Qu'est-ce qu'elle gagnerait à discuter avec lui ? Risquait-elle quoi que ce soit ? Difficile de vraiment connaître les ressentiments de Tommy vis à vis de leur histoire. Même elle, avait du mal à savoir où elle en était sentimentalement, donc clairement, elle ne risquait pas de voir beaucoup plus clair dans le jeu de Tom. La brune finit par s'arracher un petit sourire. C'est vrai que ça lui faisait quand même plaisir qu'il l'incite à venir discuter, et qu'il ne se montre pas réticent. La dernière fois qu'ils s'étaient parlés, ça avait vite fini en engueulade généralisée. Mais bon... l'eau avait encore eu le temps de couler sous les ponts depuis lors. Chacun avait sans doute fait le point. Dans le même temps, elle ôta son écharpe, et son manteau et les posa sur un bout de la table qui était libre, juste voisine de la leur. Elle entoura la tasse à café de ses mains, pour se réchauffer, et porta ce dernier à sa bouche pour en extraire une gorgée ou deux. Bon sang. Aucun café ne valait celui du Thyzen Coffee de Washington D.C ... Il était incomparablement meilleur que tous ceux de la planète terre. Pour être honnête, le meilleur café qu'elle n'eut jamais bu, c'était il y a cinq ans de cela. Peut-être six. Les dates sont floues, et pourtant... Les paroles restent gravées comme dans la pierre.
__ A chaque fois que regardais mon portable, je vérifiais mes messages. A chaque fois que j'ouvrais ma boîtes aux lettres, je cherchais une enveloppe avec ton nom marqué derrière. A chaque fois que je passe devant la plage, je me rappelle de ce dîner. A chaque fois que passe sur un pont, je pense à la pluie, et à nous deux en dessous. A chaque fois que je bois du café, je pense à celui que tu as renversé sur ma robe. A chaque fois que je mets une robe, je pense encore à ce café. A chaque fois que je vois un magasin de costumes pour hommes, je t'imagines dedans. A chaque fois que je passe devant un magasin de puériculture, je m'imagine quelle tête aurait eut notre, ou nos enfants. A chaque fois que je me réveillais le matin, j'espérais que tu sois là, en bas, à la porte. A chaque fois que j'allais me coucher, j'espérais que tu sois là, dans le lit, à côté de moi. J'en ai rien à faire que tu sois parti un mois, j'en ai rien a faire de ce que tu as fait. J'en ai rien a fait de ce que les gens en ont dit, en disent, ou en diront. L'important, c'est que tu sois là, maintenant, et que tu ne me laisse jamais, jamais tomber. __ Alors arrête d’espérer et épouse moi....c'est pas une question je veux que tu m'épouses. Deviens ma femme. Je veux faire ma vie dans tes bras et mourir dans tes bras. Je veux un enfant. Je veux pouvoir toucher ton ventre et te dire "à ton avis c'est une fille ou un garçon ... ?" alors épouse moi.
C'était il y a longtemps. Avant Tommy ne partait que quelques semaines. Emily et Tom, n'avaient pas eu d'enfants, ils n'avaient pas fait la promesse de se marier une dizaine de fois, avant de toujours trouver une excuse, un retardement ou autre chose pour éviter de finir casé et triplement pris au piège. Avant, ils parlaient librement de ce qu'ils avaient sur le coeur, sans se soucier de la réaction de l'autre. Maintenant c'était différent. Tommy était parti quelques années. Ils avaient un enfant. Ils ne s'étaient pas mariés, ils n'étaient ni casés, ni pris au piège, et ils parlaient en pesant le moindre mot, la moindre virgule, syllabe, de peur de se voir jugé, ou critiqué, de peur de dire ou d'insinuer quelque chose qui n'était pas souhaité. Les reproches auraient pu fuser des deux côtés mais...
__ Je peux pas t'en vouloir, j'ai pas essayé de t'appeler moi non plus...
C'est ce qu'on appelle une crise de maturité. Vous voyez. Bien sûr qu'elle aurait pu lui dire : "TU SAIS COMBIEN DE FOIS PAR JOUR JE REGARDAIS MON TELEPHONE EN ESPERANT VOIR UNE ONCE, UN MINUSCULE SIGNE DE VIE DE TA PART?", il aurait pu lui répondre : "ET TU SAIS COMBIEN DE FOIS JE REGARDAIS MON TELEPHONE EN ME DISANT QU'IL FALLAIT QUE JE T'APPELLE ?". Et elle aurait eu raison. Il aurait eu raison. Personne n'aurait eu tort, et cette foutue discussion fumeuse se serait arrêtée là. C'était un peu différent cette fois-ci, parce que cette fois ci, elle était mûre. Elle n'avait aucune idée de ce qu'il en était de lui. Mais elle avait grandi
__ Là normalement, tu dois te demander comment ça se fait que je ne te jette pas mon café à la figure, et que je hurle pas dessus en prétextant que tout est de ta faute.
Elle posa la tasse sur sa coupelle, et mordit dans un bout de cookie. Ce café lui rappelait vraiment trop de choses. Autant essayer d'éviter des remontées sentimentales pour le moment.
__ J'ai grandi Tom'. Je te jure, j'ai grandi.
Elle baissa les yeux, et se mit à fixer la mare de liquide noir qui trainaillait dans son mug ultra kitsch, signé les années 70. Un sourire en coin, accompagné d'un regard qui semblait triste, elle demanda, en relevant la tête :
__ Ca fait longtemps que tu es rentré?
Okay. Pas très subtile comme question pour en apprendre plus. Mais là... c'était même plus dans ses objectifs de paraître subtile. Il la connaissait comme personne, il savait bien comment elle fonctionnait, comment elle faisait pour obtenir quelque chose alors, autant jouer carte sur tables, de toute façon, elle avait tout perdu. Elle n'avait plus rien à perdre.
__ Je... suis sûre que ça ferait plaisir à Juliet et au chien de te voir. Tu sais, c'est pas évident de ... A la rentrée des classes, on a demandé à Juliet ce que faisait son père dans la vie, et elle a dit "Photo". Sa maîtresse lui a demandé si tu étais photographe.... Elle a répondu "Non, mon papa, c'est une photo." ... C'est dur de gérer ... ce genre de trucs tu vois. Elle était tellement petite quand tu es parti. C'est pas facile avec ses amis aussi. Elle comprend pas pourquoi elle a pas deux parents à la maison comme tout le monde. J'essaie de lui expliquer, avec des photos, tout ça ... mais ça lui suffit plus. Je...
Dis-le.
__ Je suis contente que tu sois enfin revenu.
Bon, bah niveau subtilité, définitivement, on repassera, Hilton.
► EMY
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Jeu 4 Oct - 22:48
* Crier ...Hurler. C'est se que je veux faire mon coeur me dit fonce ma téte me dit cours, mes yeux dise regarde la ! mes oreille dit NE LECOUTE PAS, mais mon coeur et mon corps tout entier me dise. T'es encore amoureux sa créve les yeux*
Dur pour Tommy de ne faire comme si rien ne s'étais passé entre eux. Il avais réussi plusieurs fois, mais a chaque fois qu'il regardai une photo qu'il avais un souvenir d'elle sa lui revenais en plein dans la tête. Sa lui disais qu'il devais assumé ! Assumé d'avoir voulu être pére d'avoir voulu être le compagnon de emily a l'époque. Souvenez vous. A l'époque Tommy essayer d'avoir emily a tout prit, mais sa timidité l’empêchais d'avancé de lui parler pour lui c'étais un fantasme, un réve un beau rêve qui c'est réalisé et qu'il n'avais jamais imaginer et maintenant se joli rêve c'etais transformer en cauchemar du moin c'est ce qu'il a pensé depuis son départ. Il a voulu prendre du recule avec la mission que le NCIS lui avais proposé, mais se qu'il ne dira surement jamais a Emily c'est que cette mission qu'il l'avais éloigner d'emily jours après jours l'avais fait avancé d'un certain sense, mais il l'avais fait avancé a reculons pour lui dire de faire demi tour et de revenir vair Emily. Tommy croyais qu'il pouvais l'oublié tourner la page de son livre, mais chaque jours il voulais le relire et Tommy sauta plusieurs page pour ne garder que les bonnes en tête c'est se qu'il le rendais aussi heureux aujourd'hui. Il écouta Emily la gorge serrer et finir par boire une gorgé de son café plissié son frond et dire
-J'ai fait cents vingts trois lettre. Chaque jours je restais une heures voir plus devants mon bureau me demandant comment les forumulers, mais une fois l’enveloppe mise la lettre prêt a l'envoi je les mettais dans une boite. Je ne voulais pas te donner de nouvelle, car toute les lettre que j’écrivais te disais a quel points j'étais mal sans toi et que je voulais revenir prêt de toi.
Tommy détourna le regard et bu de nouveau une gorger de café qui commençais a se faire vide. Il le fini doucement comme pour eviter de dire un mots de plus. Il détourna son regarde et fini par revenir et la regarder dans les yeux. Tommy n'avais pas énormément changer il avais juste prit du recule pour ne plus souffrir. Il se racle la gorge écoute de nouveau Emily qui parle de juliet. Sujet sensible pour Tommy. Il avais toujours voulu être un père exemplaire jouer avec sa fille quitte a arriver en retard a son travaille quitte a prendre des congés en plus c'etais son rêve et sur se points la il ne peux que sens vouloir a lui et le regarde vide il pense.
*J'ai des souvenirs qui me vienne de partout. C'est des souvenirs de visage de nom de moment passé avec elle. J'ai envie de lui demander quesque tu fait dans la vie et si elle me repont. lui dire que moi je suis menteur, amnésique, mauvais joueur, et amoureux transit j'ai pas de nom pas de fierté, pas dorgeuille nis de courage. je me suis perdu en te perdent Emily.*
Mais tout sa Tommy garde pour lui cette pensé dans sa téte c'est comment il se voyais depuis qu'il avais quitté Emily et Juliet Menteur parcequil avais promis d'être un bon père, amnésique parce qu’il avais essayer d'oublié Emily, mauvais joueur, car il ne supportais pas d'avoir perdu Emily et amoureux transit c'est se qu'il est et c'est surement se qu'il restera toujours, car oui Tommy sera et restera amoureux d'emily jusqua sa mort. Il ne se l'avouais pas, mais en la revoyant aujourd'hui il comprit que c'etais fini que jamais il ne pourrais regarder parler aimez une femme comme Emily malgré les tromperie les mensonge d'Emily sa revenais au même Tommy laimais. Il fini par redescendre et essayer de se dire que jamais il ne se remettait ensemble sa lui evite de souffrir de nouveau il sourit malgré que son coeur lui dit de ne pas le faire de tout lui dire et il fini par dire.
-Sa fait trois semaines que je suis rentrer et pour Juliet tu pourra dire que son père va prendre soin d'elle. Je te promet je vais faire de mon mieux je peux la prendre les week end ou la semaines quand sa t'arrange. Je veux être la pour elle et je vais être la maintenant et je vais être la pour to...pour essayer de lui montrer que papa c'est pas une photo.
-*Pour toi pour toi Emily c'est se que je voulais dire ! Pourquoi es-que je les pas dit. Pour ne pas souffrir pour ne pas lui dire que mes sentiment son encore plus fort ! Non Tommy tu a peut-être l'impression que sa maturité a évolué que Emily est devenue une femme, mais c'est qu'un impression...du moin je crois*
Emily avais mûri et Tommy l'avais bien remarquer c'etais devenue une vrais femme une vrais maman esque Emily est complet dans sa vie maintenant Tommy l'ignorai, mais il voulais temps apprendre a la connaitre de nouveau même si qu'il s'avais que Emily étais rester la même au fond d'elle c'est ta dire une femme intelligente qui n'a peux de rien et qui avans étais pret a aider Tommy a terminer c'est phrase quand il étais gêner. Son regarde reviens sur celui de Emily.
«Murs»
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Ven 5 Oct - 23:04
« L'amour est une servitude... »
Tommy & Emily
Hush hush, baby...
Lui non plus ne semblait pas décidé à la jouer très fine, parce que si lui dire qu'il était mal sans elle, et qu'il voulait revenir, c'était de la subtilité, autant dire qu'Emily était le président du Sri Lanka et bonne soeur tant qu'on y est. Mily acquiesça ses propos avec une petit sourire discret, son coeur semblait était être en train de se faire étrangler. Il battait si fort, et il faisait si mal. La jeune femme sentait son coeur se serrer en entendant les propos de Tommy. Il semblait tellement heureux, et tellement malheureux à la fois, c'était à ne plus rien y comprendre. Pourquoi est-ce qu'il lui lâchait ça ? Tommy c'était plutôt le genre d'homme à tourner quatre ans autour du pot avant de dire quelque chose de concret. Là il lui avait suffit de deux phrases, et ça c'était juste... très surprenant. La chirurgienne pinça les lèvres, avant aspirer un nouveau trait de café. Il fallait bien qu'elle occupe sa bouche quelques temps, parce que là, elle aurait été foutue de sortir n'importe quoi, ou peut-être qu'elle serait restée muette. Enfin, là, elle était surtout en train de boire, alors, elle avait un laps de temps d'environ cinq secondes pour trouver quelque chose d'intelligent à dire...
__ Oh.
Joli coup ! Tu l'as trouvé toute seule Emy ou quelqu'un t'a aidée ? Tu veux une médaille ? Hein ? Tu veux une médaille ? La jeune femme croisa les bras, et porta une main sur le côté de son visage,près de l'oeil comme pour soutenir sa tête et l'empêcher de choir lamentablement sur le carrelage, d'autant que vu la circonférence parfaite de son crâne, ça aurait été dommage l'exploser par terre. Elle le fixa quelques secondes, l'air un peu hébétée sans trop savoir ni que faire, ni que dire, puis elle hocha la tête sur le côté "à la Tommy" et haussa les épaules avec un mince étirement de lèvres :
__ Tu sais Tommy, l'être humain ressent des sentiments. Ça fait un peu peur, mais généralement, on ne peut pas trop s'en empêcher. Je suis vraiment désolée que tu ais souffert par ma faute. Je t'en ai voulu, vraiment, mais j'ai décidé de ne plus essayer de comprendre, de tout analyser. Il est des choses que je ne comprendrai pas, voir même jamais... je m'y suis faite, et ça va mieux. J'ai jamais compris ton besoin d'éloignement... j'ai eu du mal à l'accepter, et puis j'ai arrêté de chercher, définitivement ; parce que, tu vois... la vie est trop courte pour s'emmerder et rester bloquée dix ans sur quelque chose. Je peux te le dire, j'ai vu la mort de très très près l'année dernière... Je t'assure, ça fait relativiser, et j'ai compris qu'au final c'était pas si important, il devait y avoir une raison, et j'étais pas du tout obligée de la connaître.
C'est vrai que Mily était en plein bras de force avec la vie et la mort en ce moment. C'est vrai que sa vie avait changé du tout au tout, en une soirée. Le soir de la fusillade, ce même soir où elle avait rencontré Gabriel. Il neigeait si fort sur la ville. Les gens s'étaient agglutinés bien au chaud, et en plus, un samedi soir, forcément, le Casino était bondé. Deux hommes armés ont ouvert le feu sur la foule, et tiré sur les gens comme sur des petits lapins. Emy était sur le point de partir au moment où la panique s'est généralisée. Elle s'était finalement cachée, dans un placard à balais, avant d'ouvrir à une voix suppliante de l'autre côté de la porte. Ce qu'elle n'avait pas prévu... c'était que ça serait un des tireurs qui était venu la déloger. Elle avait sauté à pieds joints dans le piège. Le canon posé sur le front... Elle avait fermé les yeux, en attendant que le coup parte... Mais rien, pas de bruit, pas de douleur.
__ Ne me tuez pas... Ne me tuez pas... Ne me tuez pas... Ne me tuez pas...
Le tireur attrapait dans le même temps, une femme qui tentait de fuir derrière par les cheveux. Il fixa Emily droit dans les yeux avec l'air extrêmement inspiré :
__ Croyez-vous en Dieu ? ... __ Comment Dieu pourrait laisser faire ça...
Le mépris se mélangea à sa terreur. Elle ferma les yeux, plus fort. Il chargea son pistolet, l'arma... et tira. Dans le crâne de l'autre femme, celle qu'il tenait pas les cheveux, et qui avait cessé de geindre d'un seul coup.
__ C'est une belle soirée ...
Emily était restée bloquée, ainsi, une bonne dizaine de minutes, avant de se laisser tomber dans le flots de corps humains inanimés. La suite... C'était sa rencontre avec Gabriel. Elle savait que quelqu'un l'avait sortie de ce massacre, mais elle ne savait pas ou plutôt plus qui. Elle avait forcé cet agent de la CTU de ne pas l'emmener dans l'hôpital le plus proche, mais d'en trouver un, plus loin, ou on ne la reconnaîtrait pas. Après plusieurs heures, Gabriel avait fait marcher ses contacts pour obtenir des résultats plus rapidement. Il était au téléphone avec le type en question...
__ Je veux pas lui annoncer tant que c'est pas sûr tu vois Bryan? Mais si c'est certain, alors comment c'est possible? Ca a pas pu se passer comme ça, par magie?... Pourquoi tu me demandes ça... ? Elle est à Washington, dans l'hôpital central... Je te remercie de ton efficacité Bryan. J'te revaudrais ça.... .... Bon Emy, tu veux savoir... ? Tu n'as absolument rien, et tu n'as pas non plus de Huntington. c'est pas une maladie qui disparaît. Autrement dit, si tu n'en as pas... C'est que tu n'en as jamais eu. Ce n'est pas un faux négatif, puisque j'ai fait réaliser les tests par trois laboratoires différents. Aussi, il m'a demandé où tu bossais, pour savoir quel laboratoire faisait tes résultats... Et devine quoi... ? Le Washington's LabPhy est affilié aux essais cliniques sur le Huntington. Bryan pense que en gros tu es quelqu'un qui pense être malade, à qui on fait prendre un traitement qui n'a pas d'influence réelle sur le corps, mais qui lui fait croire qu'il est malade, et à qui on donne le placebo pour voir comment évolue l'ampleur psychologique de la maladie sous traitement. En fait j'ai pas tout compris de ce qu'il m'a dit alors je l'ai appris par coeur. Mais le coeur y est... Emily... Tu... tu te rends compte? Tu es pas malade...
Non, à vrai dire elle ne s'en était toujours pas rendue compte. C'était dur de vivre toute sa vie avec une certitude, et qu'un jour quelqu'un vienne, foute un gros coup de pied dans la tour de Kaplas, et que tout ce qu'on croyait être une base solide s'écrase violemment sur le sol. Ca oui, la mort elle en jouait. Elle fumait, se droguait, elle échappait à la mort, en filant, et finalement apprenait avec terreur que sa maladie, ce qui la définissait, et lui donnait une raison de s'auto détruire... c'était inexistant. Le labo de l'hôpital d'Emy était partenaire des essais cliniques, alors forcément, si aux essais on leur avait demandé de trafiquer ses résultats, ils l'avaient fait. Il aurait fallu qu'elle fasse des tests anonymement et elle aurait tout découvert avant...
__ Tu as entendu parler de la fusillade du casino ? J'y étais. Et je suis pas morte. D'ailleurs, je ... je vais plus mourir. Enfin, si, je vais mourir un jour, mais pas maintenant... J'ai... J'ai pas de Huntington.
Elle sortit ce concentré d'informations avec une telle neutralité, qu'il était difficile en ne l'écoutant pas mais en voyant seulement sa tête, de voir qu'elle parlait d'un sujet aussi important.
__ Oui. Moi aussi j'y crois pas trop... C'est un peu long à expliquer comment je l'sais..
La brune replaça une mèche rebelle et la déposa juste derrière son oreille.
__ Je suis sûre que Juliet serait vraiment ravie de te voir. Tu sais, elle me parle souvent de toi. Elle me demande comment tu étais, si tu serais là pour lui apprendre à faire du vélo parce que moi je suis vraiment pas douée, si on était vraiment amoureux quand elle est née... Des trucs comme ça, elle va enfin pouvoir avoir les réponses des deux côtés, et je crois que c'est tant mieux pour elle. C'est un âge où la structure de la cellule familiale c'est important...
Elle avait enchaîné brutalement sur cela, parce qu'à vrai dire, elle avait bien compris qu'il avait essayé de lui dire qu'il serait là pour elle... mais que ça aurait été un peu gênant de l'aborder comme ça, aussi franco. ► EMY
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Sam 6 Oct - 11:53
La maturité est t’un si petit mot, mais qui veux dire beaucoup de chose. Emily avais belle et bien murie sa s’entendais dans ces paroles dans sa voix et des fois même dans ces geste elle avait prit du recule avec son histoire avec Tommy et ça lui fessait plaisir a de savoir que emily ne souffrait peut-être moin que avants. Voir Emily pouvoir lui parler c’etais super pour Tommy et plus la conversation avançais plus il se demandais si la page étais belle et bien tourner ou si il restait une ombre de sentiment pour Emily, mais il m’eta cette question très vite de côté il voulais sourire profiter de se moment entre ( amis ou ex de longue date). Emily lui raconta la fois ou elle avait faillit frôler la mort dur pour Tommy. Emily est peut-être une ex, mais sa reste Emily sa aurai été trop dur de la savoir plus de se monde alors qu’il aurai été si loin et de conversation en conversation il apprend se qu’il a toujours voulu entendre de la bouche d’emily. Elle n’avais plus Huntington ! Tommy resta la bouche grande ouverte il ne s’avait plus trop quoi dire quesui étais le plus impressionnant sa maladie ou de s’avoir que Emily avais échappé a une fusillade. Il finit par lui faire un énorme sourire et presque avec un rire nerveux ou heureux il dit. - c’est génial ! Voir même super Emily tu peux vivre prendre le temps de vivre rien que de s’avoir cela sa me fait soufflé si tu peux vivre. Je viverais alors mieux aussi.
Tommy en revenais pas c’étais incroyable. C’étais comme si qun poid s’enlevais de lui. Emily sens rendais surement pas compte, mais il allais étre surement l’homme le plus heureux de la terre après cette révélation. Tommy pouvais vivre tranquille en sachant que la vie d’emily n’etais plus en danger, mais, même elle. Elle pouvais vivre plus sereinement et c’est surement se que Tommy voulais le plus au monde. Il restait plus a se renoué avec Juliet pour étre un papa comblé, mais que de bonne nouvelle depuis qu’il étais rentrer. Tommy avais eu une promotion. Il étais parti en France étais rester avec Leyla pendants plusieurs moin a faire une mission qui lui avais rapporter gros en notoriété et en argent dans le domaine de la science. Tommy reprend un visage normale c’est tout juste si les ride partait a vue d’œil. Il sourit et il écoute Emily de nouveau.
- Quoi juliet veux faire du vélo c’est trop dangereux. En plus je tien a peine sur un vélo donc Juliet va pas tenir.
Et c’est reparti Tommy fessait le papa poulet …encore et toujours si il aurai été plus présent dans la vie a Juliet je crois qu’elle n’aurais même pas pu sortir jouer avec des objets ou que en mouche et encore ons peux les avaler. Tommy étais comme sa il étais un pére super protecteur. - Et se week end sa te gênerais pas que tu me laméne a la maison ou qu’on puise allé au parc j’aimerai beaucoup la revoir et lui dire que je suis la pour elle et puis… a excuse moi Son téléphone sonna d’un coup. Il le prend et répond.
-Allo. Oui et toi. J’arrive dans pas longtemps. Oui une cravate noir c’est vrais, mais j’en ai plein tu le sais déjà. Le costume dans la grande rue, non celle de droite ! Pas de chaussure c’est bon j’ai ce qu’il faut. Ha par contre niveau veste j’accepte. Pas de souci on se voix tout à l’heure a la maison. Allé bisou Leyla !
Tommy raccroche et sourit. -Désolé depuis que je suis rentré on fait que de m’appeler. Sinon j’espère vraiment pouvoir voir Juliet
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Sam 6 Oct - 15:33
« L'amour est une servitude... »
Tommy & Emily
Hush hush, baby...
C'était vrai. Il venait de tout résumer. La vie n'allait pas juste être allongée... elle allait vivre une toute autre vie. On ne peut pas vivre en trente ans ce qu'on vivrait en cent. Il est des périodes de la vie qu'elle n'aurait forcément jamais connues. Ce n'était pas du tout pareil, même si sa vie avait été intense, jusqu'à maintenant, il n'était là strictement aucun rapport .... On lui avait donné une deuxième chance, un futur, et Tommy parlait d'un poids en moins, c'était précisément ce qu'elle ressentait. On angoisse forcément de mourir, quand on se sait condamné dans un laps de temps, mais quand on sait qu'on a des enfants en bas-âge, et qu'on est dans une cellule monoparentale, on se demande un peu ce qu'il va arriver à ses enfants si on meurt. Et puis la mort, c'était l'inconnu... C'était quelque chose qu'on connaît mal, dont on ne sait pas grand chose. Ce pas vers l'inconnu... elle n'aurait pas à le franchir de si tôt. Le destin l'avait déjà assez amochée comme ça pour le moment, il pourrait songer à emmerder quelqu'un d'autre. Elle avait eu un lot d'emmerdes largement assez conséquent comme ça.
__ T'imagines pas. Comme dirait Mad : "Mais alors tu vas vivre pour toute la vie?" ...
Elle esquissa un sourire amusé en repensant à Maddison, et la réaction complètement folle qu'elle avait eue. La belle brune ne put s'empêcher de rire doucement en imaginant Tommy sur un vélo. Décidément c'était pas grâce à ses parents que Juliet allait apprendre à faire du vélo. Emily avait un sens de l'équilibre vraiment pas prononcé, et Tommy, bah c'était un papa poule puissance mille. Ca n'était pas qu'Emy était pas maman poule, mais elle était toujours plus permissive. On lui avait assez mal appris les limites quand elle était jeune, alors après tout. Evidemment, elle avait su forger ses propres limites - quoi que... - et par conséquent, elle savait où il fallait dire stop, et surtout dire non, mais quand on est la seule figure d'autorité, c'était obligatoire. Sinon votre maison se transforme en salle de jeu sur trois étages, et vous risquez fort de marcher malencontreusement sur un LEGO - donc de vous défoncer le pied - en allant aux toilettes, ou de glisser dans une flaque de peinture. Pourquoi pas retrouver les murs du salon repeints à la façon d'une grotte préhistorique? Les enfant sont foutus de mettre un sacré bordel dans une maison.
__ Oh bah si tu sais pas en faire non plus, elle est foutue pauvre gosse. Je suis incapable de faire ça moi... Oui évidemment que tu peux la prendre ce week-end, sinon on pourrait y aller tous ensemble, enfin après je veux pas non plus avoir l'impression de faire de l'intrusion...
Le téléphone de Tommy sonna ensuite, alors leur discussion fut coupée le temps d'environ une minute. Il semblait être avec une fille au téléphone. Rien que le fait que ce soit une fille, provoqua un petit pincement au coeur de Mily. Ce qu'elle pouvait être idiote. Ca pouvait être n'importe qui... ? ... Oui... N'importe quelle fille... N'importe quelle fille à qui il disait rendez-vous... à la maison...et bisous... Et merde. C'était qui cette fille? La brune dut afficher sur son visage un rictus un peu gêné et surtout très forcé à la fin de la discussion. Au début ça aurait pu être une secrétaire, ou une assistante, mais... difficile de dire que ça se limitait juste à ça. Emily se gifla intérieurement. En quoi ça la regardait ? Après tout, elle avait bien tenté de refaire sa vie elle aussi, qui était-elle pour interdire à Tommy de voir d'autres filles? Personne. Ca lui faisait pourtant le sang chaud. Elle sentait que son corps était en éveil, comme aiguisé à la recherche du moindre indice ou de la moindre chose qui pourrait permettre d'affirmer que Jons s'était recasé. Mais c'était impossible. Il était toujours tiré à quatre épingles, et même si c'était le cas... mais qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire. Attendez si en six ans, Jons n'avait vu personne d'autre... c'était quand même sacrément problématique !
__ Oui j'ai entendu dire que tu étais un peu plus reconnu dans le milieu qu'avant...
Elle fit un petit sourire en coin. Et dit le truc qui sonnait le plus faux de toute sa vie dans sa bouche :
__ En tout cas je suis contente que tu aies pu retrouver quelqu'un. C'est bien d'avancer.
Gasp. Si tu savais comme elle avait fait du sur place, et sauté à pieds joints encore et encore. Elle avait accepté de donner son coeur à quelqu'un d'autre... mais impossible de supporter ça. C'était trop pareil, et trop différent. Gabriel ressemblait en trop de points à Tommy, grand brun, les yeux clairs, assez baraqué, dans un cadre assez policier... Gabriel était gentil, trop gentil, tellement serviable... Et Tommy était tellement ... tellement pareil. Le problème, c'était que Gabriel, bah... Gabriel c'était tout simplement pas Tommy. Elle ne lui laissa pas tellement le temps de répondre, et se leva, en maugréant un : "donne moi deux petites minutes". Elle s'était échappée en direction des toilettes. Elle avait posé ses mains, bien à plat contre le meuble qui soutenait les lavabos et avait prit une grande respiration, et soufflé autant d'air que possible. Elle se regarda dans le miroir, et réarrangea une mèche de cheveux, avant de baisser les yeux en soupirant.
__ Pourquoi tu es jalouse... mais pourquoi ? Qu'est-ce que t'espères Hilton? T'espères qu'il va revenir ? T'espères que tout va redevenir comme avant ?
Et bah non. Parce qu'il était pris. Et qu'un mec pris... c'est pas un mec potentiellement possible à reconquérir... La jeune femme secoua la tête avec un sourire tellement niais... avant de donner un coup de pied dans la poubelle en jurant :
__ MAIS PUTAIN ! POURQUOI JE SUIS AUSSI CONNE ?
Elle laissa son dos glisser contre le carrelage du mur, doucement, jusqu'à ce que ses fesses touchent le sol. Elle pinça les lèvres et frappa sa tête contre le mur en fermant les yeux.
__ Pourquoi ça ne me fait pas rien... pourquoi... pourquoi... Pourquoi Tommy... ? Merde... mais... mais...Pourquoi tu me fais ça à moi...
Elle reprit sa respiration doucement... avant de se décider à sortir... parce que son laps de temps était écoulé. Elle essuya un début de larme coincé dans ses yeux... Et ouvrit la porte pour tomber sur..
__ Tommy...
Oups. ► EMY
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Sam 6 Oct - 16:20
Tommy continua sa conversation avec Emily et il senti une géne. Il reconaisais emily quand elle se sentais mal il n'avais même pas eu le temps de répondre qu'elle s'éclipsa dans les toilette pour femme. Tommy reconnaisais se visage presque atrister par l'apelle qu'on vien de lui faire. Se que Emily ne savais pas c'est qu'il parlais de leyla une collègue qui etait devenue un ami et qui est une fan de mode. Elle avais prit goue a habillé Tommy et a l'apeller constamment ou presque quand elle voyais des vétement italien a traver une vitre ou de grand couturier elle devenais hystérique ou presque, mais Tommy avais pas le temps de répondre a Emily Il se leva voulent lui dire tout avans que la jeune fille ne crois que Tommy c'étais cassé avec quelqu'un qui n'es pas Emily est chose impossible bien entendu puisque Tommy et Emily ba c'est Tommy et Emily . Il se dirigea vair les toilette et entendit Emily parler seule. La bouche grand ouvert il eu comment dire un bu oui oui un bug comme un pc en pleinne latence ou en plein chargement c'étais de se style la ( veiller patienter nous traiton les information en cours de chargement). Il resta finalement planter devans la porte et se dit
* T'es trop nul Tommy ta pas changer t'aurais du le voir sa t'aurai du le savoir quelle étais toujours amoureuse de toi comme toi tu les, mais bien sur t'es toujours aussi con tu attend le dernier... et merde elle est juste en face de moi je dit quoi je fait quoi ? Je cours ? Non je vais pas courire a ma place c'est vachement grillé la que jai tout entendu.*
Il prena une grande respiration et dit
-Je voulais allez au toilette aussi...
*BRAVO ! tu veux allez dans les toilette des filles normale ! Il la regarde et hoche la téte sur le côté et dit.
-Elle s'apelle leyla c'est une collégue rien de plus et.. elle aime beaucoup la mode...et elle me demandais quelque avie sur des vêtement et des vétement pour elle rien de plus.
Il essaye de trouver les mot pour parler a Emily pour lui dire la vérité sur toute la ligne, mais les mot ne sorte pas et surtout pas en puplique. Il se décide c'est joue devienne légèrement rouge sa main vien prendre celle d'emily et demi tour il l'améne dans les toilette des filles et dit.
-Je suis con c'est moi qui suis nul tu a juste a me le dire Emily dit le moi dit moi que tu veux que je reviennne dans ta vie dit moi que tu m'aime encore et je revien aussi vite que je suis parti tu a juste deux mots a dire et tu le sais très bien que même si tu ne le dit pas c'est moi qui le ferais. Tu sais quoi je le dit même a ta place. Je t'aime et je t'aimerai surement toujours parceque t'es la mére de ma fille parceque je t'es toujours aimé et que j'ai rencontré des tas de fille qui étais très bien, mais il n'étais pas toi. Il ne fesait rien comme toi. Il n'avais pas ton courage il n'avais pas ton humour il me gênais plus que autre chose et je t'aime, mais tu peux pas s'avoir combien de fois je t'es detesté a cause de toi je ne peux plus avoir une autre relation pour te dire ons est venue me draguer j'ai dit Emily je lui est dit ton prénom.
Il reprend son souffle voulais bien une reaction assé vite, mais il ne la pas optenue. Il ne s'avais plus vraiment quoi dire parceque il l'aimais toujours et sa resterais comme ça pour longtemps il soupir lui lâche la main et dit.
-J'aurais jamais du te recroisé jamais j'ai essayer de t'oublié et a peine reussi ton visage refait surface si t'essaye de me tué fait le directement parceque moi je vais finir par faire une crise cardiaque mon coeur va laché c'est sur.
Tommy essaye de sourire pour remonté le morale qui devais être au plus bas il avais le dont de prendre les gens en flagrant délie.
*Pourquoi tu lui a dit tout ça tu vien de la revoir c'est pas mieux dit allé doucement de lui parler et elle alors elle a peut-être refait sa vie, mais si elle a réagie comme ça c'est quelle m'aime encore je suis pas fou ou pas c'est quelle étais juste jalouse pourquoi ta dit tout sa si c'est pas son cas a elle. casse toi de la Tommy bar toi des toilette rentre chez toi cette femme va te rendre fou elle va te faire souffrire encore jamais JAMAIS tu va te remette avec elle*
Il fini par rester la bouche ouverte .
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Sam 6 Oct - 17:46
« L'amour est une servitude... »
Tommy & Emily
Oops... I did it again.
__ Je voulais aller au toilettes aussi...
La jeune femme étouffa un fou rire, parce que dans le contexte de la discussion ça aurait sonné tout de même vraiment très faux. Mais elle ne pu effacer un petit sourire. Puis Tommy lui appris que "Leyla", la femme a qui il avait dit non seulement "rendez-vous à la maison" mais surtout "bisous", était tout simplement une femme avec qui il avait bossé, et dont l'intérêt porté était seulement vestimentaire. La chirurgienne soupira et explosa de rire et en haussant les épaules. Un peu décontenancée parce qu'elle se faisait des films pour rien, et qu'en plus elle s'était promis que si jamais elle apprenait quelque chose dans le genre, elle s'était jurée de s'en foutre complètement. Le problème c'est que c'est plus dur à faire qu'à dire.
__ Tommy tu fais ce que tu v...
Puis avant qu'elle n'ait eu le temps de terminer son gros mensonge, elle se fit entraîner dans les toilettes des filles par Tommy. Soudain, dans un élan romantico-foufou il lui sortit probablement une des déclarations les plus belles, et les plus inattendues, insolites et surprenantes qu'on ne lui avait jamais faites. La jolie jeune femme sentit sa bouche s'ouvrir sous le coup de la surprise, tout comme ses yeux, mais elle ne sut vraiment quand le bug termina. Elle perçut tout. Absolument tout. Mais elle resta complètement pétrifiée... Elle pinça les lèvres, et un petit sourire vint égailler les coins de sa bouche. Elle expira doucement de l'air... et avant qu'elle n'ait trouvé de quoi répondre, Tommy du trouver le temps long, et termina sur une petite note d'humour, en lui disant que si elle voulait le tuer, il fallait le faire tout de suite. La jeune femme plissa davantage les yeux, et éclata de rire. Oui, c'est tout.
Bon okay. C'est pas tout. Elle n'arrivait pas sortir quoi que ce soit. Une sorte de boule nouait sa gorge, elle sentait son corps brûler, chaque goutte de sang qui passait dans ses veines étaient comme de l'alcool dans une gorge. Elle avait envie de se jeter autour de son cou, elle avait envie de lui dire combien elle l'aimait, combien il lui manquait mais elle ne trouva rien de mieux à dire que...
__ J'ai...
Bien. Plus qu'une cinquantaine de syllabes, et tout ça fera une bien jolie phrase. Elle voulait lui dire... Lui dire.
__ Tommy. C'est pas toi le con dans l'histoire, et tu le sais bien... C'est moi qui ait toujours tout fait foirer. C'est moi qui t'ai trompé, c'est moi qui t'ai fait du mal, c'est moi qui n'ait jamais voulu m'engager, c'est moi qui suis la cause de chacune de nos ruptures, et même si j'essaie de toujours rejeter la faute sur toi, c'est moi la pure conne dans cette histoire. C'est jamais de ta faute. C'est toujours moi qui suis à l'origine de nos engueulades, c'est toujours mon comportement, mon caractère de merde, c'est toujours à cause de moi. Fais le compte tu vas vite t'en rendre compte. Alors si moi, je peux te dire : Tommy, je t'aime, je t'aime tellement fort que là mon coeur va défoncer ma cage thoracique pour se suicider, tu me manques, tu me manques tellement fort, que je te vois partout. Je sentais ton odeur dans nos draps, je gardais tes chemises pour dormir la nuit, parce qu'elles sentaient comme toi. J'ai laissé ta brosse à cheveux dans la salle de bain parce que quand un cheveu s'en échappe ça me rappelle combien tu étais brun. J'ai plié tes paires de chaussettes quatre fois, parce qu'à chaque fois je me disais : "mais qui voudrait se remettre avec une fille qui plie aussi mal des chaussettes !?", à chaque fois que je mettais de la moutarde dans un sandwich je me suis rappelé de ta tête quand on avait mangé ensemble la première fois, et que tu avais pris une tarte à la moutarde. A chaque fois que je bois, je pense à la fois où j'étais tellement attaquée que tu as du m'empêcher de tomber par la fenêtre. A chaque fois que je vois des crevettes au supermarché je me rappelle combien tu aurais vomis si tu en avais mangé même si c'est pas très glamour. A chaque fois que je vois de la tartiflette à la cantine de l'hôpital, je me dis que je te l'aurais gardée pour que tu puisses la manger au milieu de la nuit, parce que tu es la seule personne que je connais capable de manger de la tartiflette à n'importe quelle heure. A chaque fois qu'un de mes voisins m'emmerdent, je me rappelle comment tu détestais ton horrible voisin. A chaque fois qu'un blessé par balle arrive à l'hosto, j'ai toujours peur que ce soit toi, à cause de tes emmerdes avec ton frère. A chaque fois que quelqu'un me parle de Paris, je me dis qu'il y a quelqu'un à Paris qui me manque. A chaque fois qu'on me demande si je suis célibataire je réponds non. Bien sûr que je suis la dernière des connes, mais malheureusement, on peut être conne et avoir un coeur, et là. J'ai mal. Très mal. Et c'est à cause de moi.
Elle ria doucement.
__ J'en ai rencontré des mecs. Des hommes qui voulaient que de la chair fraîche. Des mecs qui voulaient m'épouser le jour même. J'ai jamais pu. Et pire que ça. J'ai rencontré un autre type. Gabriel. Mais tu vois le problème, c'est qu'il te ressemble. Mais qu'il n'est pas toi. Parce que Emily et Gabriel, ça sonnera jamais aussi bien que Tommy et Emily. Je peux pas supporter un homme qui ne soit pas toi, parce qu'à chaque fois, je t'imagine en train de me dire : "Emily, tu vois, tu continues à faire la pin-up à tous les coins de rue". Je peux pas supporter de me dire que je te remplace par défaut, parce que je ne peux pas t'avoir toi, alors il faut que je me trouve quelqu'un d'autre. Je me dis jamais : "ce mec est bien, je le veux" je me dirais toujours "il est pas si mal... allez." ... J'ai beau me forcer, je ne supporte pas ça. Tu es le père de Juliet, et tu es le seul homme avec qui j'avais prévu de faire ma vie, parce que tu es le seul homme qui en vaille la peine. Je ne veux pas de quelqu'un d'autre. Et toi tu devrais rêver que de ça. Tu fais une grossière erreur en m'aimant toujours parce que tu dois le savoir... je suis loin d'être une fille bien, et je suis loin d'être un cadeau. J'ai beau faire semblant, je resterais toujours moi. Je peux pas changer. J'aimerais être une meilleure femme, pour te mériter, mais je te mérite pas. Définitivement.
Elle baissa les yeux.
__ Je peux malheureusement pas faire autrement que de laisser t'enfoncer dans ton erreur, parce que si par hasard, tu faisais le bon choix, et que tu disparaissais définitivement, je sais pas si je le supporterais. Tu sais, j'avais toujours un espoir de te voir, de te croiser. Mais... si tu me disais Adieu... et que j'avais la certitude de jamais te revoir... Tommy. Ca je le supporterais pas. Alors... alors... me fais pas... me fais pas ça.
La belle brune ferma les yeux... En respirant doucement.
__ Je t'aime putain. Je t'aime vraiment trop pour que ce soit normal.
Elle ouvrit les yeux, et sans lui demander son avis, elle pressa doucement ses lèvres contre celles de Tommy...
__ Je suis désolée. Mais faut vraiment que tu fasses cette erreur, Jons. ► EMY
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Sam 6 Oct - 21:30
Un rêve ? Non Non tommy ne rêvais pas c’etais belle et bien les parole d’Emily. Elle voulait revenir dans les bras et dans la vie de Tommy c’etais se quelle est entrain de lui dire presque mot pour mot. Tommy l’écouta attentivement. Il repense au bon moment avec Emily, mais il y en n’avait tellement la fois au restaurent la première fois et la il ne pense pas a la première rencontre ! Il voulais se balader main dans la main avec Emily, il voulais allez au parc avec elle et parti au supermarché et se sentir comme Micheal bublé quand il fait les cours en montent sur les rayons. Bref. Après le léger baissé d’Emily et son discoure il était devenue rouge il fit un sourire et détourne son regarde et dit.
-J’ai fait cette erreur la première fois que je t’es rencontré en versent mon café sur ta magnifique robe rouge. Aujourd’hui je recommence cette erreur en me laissent me faire embrasser dans les toilette pour femme. Sa aurait pu être pire ons n’aurai pu être dans se des hommes, mais j’aime beaucoup faire des erreur donc je veux la faire avec toi je veux qu’on fasse l’erreur de se remetre ensemble, je veux qu’on fasse l’erreur d’un jours se marier, parce que l’erreur est humaine je veux faire l’erreur que je m’appréte a faire.
Il la prend par le bras et l’embrasse, mais cette fois si un peux plus vigoureusement que le baissé a Emily. L’envie la passion l’amour cela résumai parfaitement le baissé donner alors que Tommy étais dans son n’élan de baissé fougueux de retrouvaille une femme entra (-_-‘’)Tommy arréta de suite le baissé et se retourna. La femme pas très très jeune dit d’un air surprit
-Mais… quesque vous fait.
Tommy ne s’avais pas trop quoi répondre il se sentais comme un enfants prise au piégé avec un gros sac de bonbons a la main, mais il eu une folle envie de dire. (NouS ON fait quoi ba rien elle avais une arrét de poisson bloqué dans la gorge et vue que je suis un fabule secouriste j’avais envie de l’enlever avec la langue), mais bien entendu Tommy ne disais trop rien. C’etais bien sur plus gênant pour lui que pour Emily déjà Tommy est timide, mais la il étais en double infraction. Un homme dans les toilette des femme et en plus avec Emily bon sa va il noms pas fait grand-chose, mais Tommy n’avais pas vraiment changer toujours aussi timide et Emily allais retrouver le Tommy timide quelle connaisais. Il avais envie de prendre la main a Emily et de partir retrouver Juliet partir de cette endroit en courent. Pas parceque une femme les avais vue s’embrasser non parcequ’il voulais vraiment passé un moment avec Emily et Juliet les retrouver toute les deux les re d’écouvrire de nouveau. Bref pour Tommy une nouvelle vie souvrais a lui et il n’esperais pas temps. Pour tout vous dire il pensais que rentré ici il allais appeler Emily lui dire quil voulais juliet pour les week elle aurais refusé il se serais pri la téte finalement il l’aurais eu les week end et Emily serais devenue dingue et l’aurais tué. Bon il avoue qu’il a grossie un peux la fin de l’histoire, mais même dans c’est rêve les plus fou rien ne se serais passé comme sa… a si peut-être un détaille le baissé de retrouvailles pas dans les toilette des femme >o<
-Euu ons va partir de toute façon
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Sam 6 Oct - 23:56
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I'm telling the world that I found a girl, the one I can live for, the reason to live
__ Je veux faire l’erreur que je m’apprête à faire...
Sans prévenir, Tommy venait de prendre une initiative du meilleur goût, en l'embrassant avec fougue. Et... ce qui passait par la tête à ce moment là, c'est "mais putain qu'est-ce que c'est bon..". Se remettre avec quelqu'un qu'on aime, ou qu'on a aimé, c'est comme re-rentrer dans un vieux jean's. Un sentiment de plaire à nouveau, d'être à nouveau belle, à nouveau heureuse, parce qu'on se souvient de cette époque, et qu'on a l'étrange sentiment qu'on va pouvoir revivre ces belles années. Si les garçons vous avez du mal à imaginer, c'est comme retrouver votre vieux Action Man au fond d'un placard. Ouais, enfin quelque chose comme ça, qui a une valeur affective particulière. La jolie brune apprécia un peu trop rapidement ce moment qu'elle attendait depuis un sacré bout de temps. Tout ça parce qu'une dame était arrivée pour faire pipi au mauvais moment. Evidemment, elle les questionna sur ce qu'ils étaient en train de faire... Et vous pouviez lancer les paris, Tommy ne dirait absolument rien. C'était un homme tellement agréable, mais bon sang ce qu'il était timide. Tenez d'ailleurs, il était aussi rouge que les fauteuils du café. Si par contre, Tommy était un grand silencieux, il faisait la paire avec une fille qui...
__ Ca se voit pas ? On cherche des pâquerettes !...
... qui n'avait vraiment pas du tout la langue dans sa poche. Qu'est-ce qu'elle s'attendait à obtenir comme réponse cette vieille peau décrépite ? La belle chirurgienne assura son discours avec une sourire d'un cynisme parfaitement maîtrisé, avant de hausser les épaules, et de se tourner vers Tommy, qui maugréa qu'ils allaient partir de toute façon. Oui, mais non mon p'tit Tommy, c'était pas assez récréatif tout cela. Beaucoup trop simple, et pas assez Emilien.
__ Ben j'espère bien que vous allez déguerpir, bande de petits vauriens. Y'a des hôtels pour faire ça !
Erreur numéro un de la petite vieille... l'utilisation du verbe déguerpir... devenu kitsch depuis les années 70... suivi de l'insulte collector de bande de petits vauriens... avec un méga triple combo de vanne de vieux rabat-joie : y'a des hôtels pour faire ça. Joli coup. 21292 points pour la vieille dame. Mais vous avez dû le remarquer, Emily n'était pas du genre à aimer perdre, et niveau joute verbale, elle était sacrément balèze, quand même.
__ Bon, bah on a pas trouvé de pâquerettes, mais on a trouvé une sacrée peau de vache. Au moins, si vous aviez le malheur de "tomber" amoureuse, votre derrière ne saurait que très confortablement vous amortir. Vous devriez vous occuper un peu plus de vos fesses, ma chère madame, elles en auraient bien besoin.
Headshot. Jeu de parallélisme avec les pâquerettes et la peau de vache, jeu sur le double sens du mot "tomber" et placement très approprié de l'expression "s'occuper de ses fesses" dans un but purement machiavélique et maléfique. Emily marque 39332 points, et est donc la grande gagnante de notre grand jeu... Attendez attendez. Interruption des programmes. Madame peau de vache fait son come back.
__ Et vous mademoiselle la traînée vous feriez bien de vous occuper un peu moins des vôtres, de fesses!
Ok. Ok. Elle veut la guerre, elle va l'avoir. Emily resta complètement stupéfaite devant le répartie de cette affreuse mégère. Elle aurait souhaité que ça en reste là, mais quand on la traitait de traînée, tout de suite, ça risquait de passer du stade de petite engueulade, à grosse engueulade. La jolie brune ouvrit la bouche et arqua un sourcil, preuve de son étonnement, avant d'arborer un délicieux sourire et de répondre :
__ Très bien madame. En fait j'allais laisser quelqu'un d'autre se charger de s'occuper de mes fesses, mais vous êtes arrivée au mauvais moment. Bon d'un autre côté, ce qui m'embête pas mal c'est que vous êtes vraiment trop vieille pour que je vous en veuille et pour que je puisse par la même occasion vous noyer directement dans l'eau des toilettes... mais ce qui me fait plaisir c'est qu'à priori, vous devriez bientôt mourir toute seule. Vous voulez que je vous dise quelque chose ? J'en ai rien à cirer que vous pensiez que je suis une traînée, mais que vous disiez ça, devant l'homme que j'aime, ça, ça me pose un vrai problème. Parce que si vous, vous voyez une traînée qui s'envoie en l'air dans les toilettes avec un homme qu'elle ne connaît pas, moi, je vois une femme, et un homme qui sont amoureux depuis huit ans, et qui viennent seulement de s'en rendre compte. On s'en fout que ce soit dans les toilettes des filles, ou sur un parking, que ce soit en haut de la statue de la liberté ou sous l'océan. On s'aime. C'est tout. Si vous avez un problème avec l'amour, c'est regrettable, mais je ne permettrais pas que vous m'insultiez, devant lui.
Et là, l'index pointé sur la vieille dame, ça termine le tableau de la jeune tigresse en colère. La vieille femme sembla à son tour fort étonnée et maugréa un "oui, c'est c'la oui..." avant de s'enfermer dans une cabine.
__ Est-ce que l'homme de ma vie aurait l'obligeance de me conduire hors du ring de boxe, s'il vous plaît?
Elle esquissa un sourire mielleux, sans être forcé et laissa émerger de sa gorge un petit rire, preuve d'une grande joie. Et puis finalement, c'était à elle d'entraîner Tommy dehors, parce que de toute façon, il fallait bien qu'ils sortent. Alors qu'elle déposait un baiser furtif sur les lèvres de Jons... certains regards de clients étonnés s'étaient tournés vers eux. Ah oui. Elle avait quand même crié assez fort, alors la probabilité pour que les gens à l'intérieur aient entendu était comme dire... élevée.
__ Qu'est-ce que t'as à nous regarder comme ça toi, hein? T'as un problème toi aussi? Et toi t'as un problème... ?
La belle brune fit, ce qui risquait de faire sauter Tommy au plafond... mais d'un autre côté, vous savez, être amoureux, ça rend parfois surtout profondément débile. . Elle monta sur une table, en levant le bras droit, tout comme son index, et vira du pied le pain au chocolat qui traînait sur cette table. L'air déterminé.
__ Bonjour à tous. Bonjour. Oui. Je vois que vous avez l'air très perturbés de voir le visage de la fille qui hurle dans les toilettes. Voilà. Regardez-moi, regardez-moi bien. C'est bon, vous m'avez bien vue? Voilà, moi c'est Emily. Je tiens à vous dire à tous que je suis parfaitement sobre, et que j'agis sous le nom de quelque chose de bien plus puissant que l'alcool, et ça s'appelle l'amour. Vous voulez savoir pour qui? Pour lui ! Lui c'est Tommy. C'est l'homme de ma vie, et c'est l'homme que j'aime. Je veux que tout le monde l'entende, et que tout le monde le sache. C'est bon c'est enregistré? L'amour ça nous fait faire des trucs fous, et des trucs vraiment débiles, comme monter sur une table dans un café pour exprimer son mécontentement, mais voilà : Je l'aime. Et très franchement, si ça vous pose un problème, je vous emmerde. C'est bien compris? Il a fait le choix d'aimer une hystérique en puissance ! Il savait que j'étais une fille instable, et vous voyez il m'aime quand même. __ Moi aussi je t'aime Emy ! __ C'est ça Mark ! Même Mark m'aime comme je suis. Vous entendez tout le monde? Je suis amoureuse.
Elle se baissa, et sauta sur le sol, avant de rouler à Tommy, un patin monumental devant l'assemblée, mi terrorisée, mi surprise, mi admirative. Oui, c'est vrai que ce qu'elle venait de faire c'était complètement con.
__ Ca c'est mon jeunot ! Vas-y Tommy !
S'écriait le papy derrière.
__ C'est bon tout le monde nous a bien vu? Monsieur? C'est bon, c'est enregistré dans votre tête? Très bien, alors maintenant, on va s'en aller, parce que non seulement on a plus rien à faire ici, mais parce que mon cher et tendre doit avoir envie de creuser un trou pour se cacher dedans. Voilà. Parfait. Merci Mark, à la prochaine ! __ Je te dois combien pour l'animation, Em's ? __ Ma future notoriété de folle furieuse me suffit parfaitement, merci Marky.
La jolie brune entraîna Tommy par le bras au dehors. Ils firent quelques pas avant qu'elle ne finisse par exploser de rire.
__ Je suis vraiment... mais alors... VRAIMENT désolée. Genre... Je suis vraiment la pire fille qui existe sur cette planète Tommy. Je sais pas si tu dois avoir la honte, ou avoir tellement honte que tu es fier, mais je suis désolée. Je t'aime. Je t'aime vraiment plus que tout, et plus que n'importe qui, et je voulais que les gens le sachent. Voilà. Je suis désolée. Vraiment... très désolée.
Super. Une pâquerette, juste là ! ► EMY
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Mer 17 Oct - 14:42
Tout se passai pour le mieux, mais voila Emily c'étais melé de la conversation et sa c'étais du Emily tout cracher. On va éviter de faire un récapitulatif de se qui se passe en ce moment même dans le restaurent car Tommy n'a pas les mot pour dire a quelle point il est gené de voir Emily sur une table entrain de hurler quel aime fortement Tommy. A oui c'est flateur vous allez me dire, mais Tommy est un homme timide et des qu'une personne s'approche de lui si il ne la connais pas POUF il passe au rouge.. Donc la imaginé la couleur de notre cher Tommy. A Non la c'est pas rouge la c'est violet tellement qu'on le regarde. Il reprend c'est esprit tout doucement et regarde Emily sur la table. Il sourit quand même parceque il faut l'avoué c'est super drole. Il la regarde et dit tout doucement.
-Emily..tu devrais... decend ohoh decend ...Ya du monde la em.
Il se resigne a se taire parceque personne, mais absolument personne ne la antendu tellement qu'il parlais doucement. Il reconaisais bien la le tempérament hystérique de Emily, d'un coté il étais rassurer son meilleur côté n'avais pas changer il avais juste EMPIRER GRAVE. Dans la téte a tommy sa se passais autrement. La il simaginais dans prison brek et se demande comment sortir le plus rapidement possible de cette endroit, mais pas la peine de reflechire Tommy jons aussi tôt pensé emily le fait pour toi ! Emily pris la main de Tommy et le sorti de la.
Il posa sa main sur les lévre de Emily avans quel ne redise quoi que se soie et dit.
-Plus jamais ! Mais alors jamais tu remonte sur les tables, maitenant dépéche toi ons part vite avans qu'il apelle les flic. Je te suis tu veux allé ou ?
Tommy sourit et enleve sa main de la bouche a Emily et prend sa main.
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Mer 17 Oct - 22:47
« L'amour est une servitude... »
Tommy & Emily
nobody said it was easy
__ Plus jamais ! Mais alors jamais tu remontes sur les tables, maintenant dépêches-toi on part vite avant qu'ils appellent les flics. Je te suis tu veux aller où ?
Elle avait senti le coup arriver mais à vrai dire, c'est le genre de réactions démesurées et abracadabrantesques dont elle avait l'habitude, et dont il était très difficile de se dégager, comme en témoignait la main qui l'empêchait de répliquer quoi que ce soit posée sur ses lèvres. La jeune femme lança un regard légèrement surpris à Tommy. C'était pas tellement son habitude de prendre une initiative du style. La belle brune garda le silence, même quand il libéra son moulin à paroles, et finalement, la seule chose qu'elle eut envie de faire, n'était plus de se confondre en excuses vaines... mais juste de sourire. De sourire.... de rire. De sourire...et de rire encore. Peut-être se foutre une bonne fois pour toutes de la gueule du Destin, qui ne méritait que ça en ce moment. La chance tourne... la malchance aussi apparemment, parce qu'elle semblait l'avoir quittée pour de bon. Elle retrouvait 40 ans d'espérance de vie supplémentaires, elle retrouvait Tommy, elle retrouvait Maddi. Mais que demande le peuple? Bon y'avait un phénomène rationnel derrière cette envie de hurler à la terre entière qu'elle avait trop le vent en poupe, qu'elle avait une paire d'as en main, et que la vie était belle. Ca faisait un peu trop de bonnes nouvelles d'un coup. La jeune femme sentit ses longs doigts fins s'entremêler avec ceux du scientifique... un frisson tout entier la parcourut. Finalement. Vous voyez, l'embrasser c'était fort... mais finalement c'était pas si exceptionnel. Leurs mains. Entremêlées. C'était le symbole. Deux êtres, différents, parfois très différents. Deux êtres qui décident de cohabiter, de s'unir. C'était une métaphore de la vie finalement ! Ouais, okay, là ça vire en hors sujet made in prof de français dans tes jeunes années du lycée, petit. La jeune femme lui lança un petit regard timide, et pinça doucement les lèvres, elle entraîna Tommy vers un petit chemin, assez tranquille, au bout duquel on apercevait au loin un parc.... avant d'expliquer...
__ Tu sais. L'endroit c'est pas si important...
Elle haussa les épaules, et détourna un peu le regard, comme si elle avait un peu honte de dire ce qu'elle allait dire. Oui, c'est vrai, Emily qui a un coeur, c'est un peu du domaine du surnaturel, il faut bien l'avouer.
__ L'important c'est pas où on va... C'est avec qui on y va.
Bon, alors après. Il faut bien savoir qui est le "qui". Parce que là concrètement, Emily venait de "remettre le couvert" avec Tommy, tout en étant (plus ou moins) avec Gabriel. Tenez. C'est amusant, c'était toujours dans l'autre sens que ça se passait habituellement, elle était avec Tommy, et puis pouf : le mec de passage inutile mystère. Dites-donc, les rôles étaient en train de s'inverser là. La prof de français comprendrait plus rien à la répartition des rôles ici. La jeune femme sentit un second frisson la traverser. Elle reproduisait les mêmes erreurs en chaîne depuis tellement de temps. Plaire. Trop plaire. Se caser. Pas vouloir s'engager. Tromper. Rien dire. Supporter. Craquer. Tout raconter. Quitter. Remettre le couvert. Se planter. Faire une dépression. Revenir sur la piste. Retomber amoureuse. Finalement, on avait l'impression que Emily, c'était une grande déesse des glaces sans coeur, mais finalement... c'était un putain de coeur d'artichaut. La fille qui tombe amoureuse de tout le monde, en passant par son prof de maths du lycée, au mannequin qui fait la couverture du vogue de Septembre... La jeune femme regarda leurs mains... longuement. Et releva la tête...
__ Tommy...
La chirurgienne, secoua la tête en fermant les yeux, avant de sortir son téléphone de sa poche... et de composer.
"Je sais que je fais une erreur, mais je t'avais prévenu Gab. Je l'aimerais toujours."
Elle prêta pas tellement attention au fait que Tommy regarde, ou pas ce qu'elle écrivait, et pire, à qui elle écrivait. Difficile de déterminer de toute façon ce que ça pouvait bien lui faire. Peut-être une solidarité entre timides maladifs bruns aux yeux clairs? Dur dur. Tommy risquait pas de se lier d'amitié avec un mec qui aurait potentiellement pu lui ravir sa petite amie... Enfin. Petite amie. C'était drôle. Finalement, ils avaient quand même régressé sacrément. Petite-amie, fiancée, femme pendant 3 heures... puis rien. Puis mère de son enfant. Puis rien. Puis mère de son enfant. Puis rien. Puis mère de ses enfants. Puis petite-amie. Leur histoire était juste... chaotique en fait. La brune arrêta sa marche.
__ Tu vois le truc. C'est que je suis en train de faire souffrir un autre, exactement comme je t'ai fait souffrir. Aujourd'hui... Je peux fermer les yeux... Les ouvrir ... Et tu seras toujours là. J'aurais juste aimé que, il y a cinq ans, quand j'ai ouvert les yeux, tu aies été là. Tout ça... Se retrouver au milieu d'un café après des années de silence. Se rendre compte qu'on s'aime. C'est typiquement "nous" ... Mais c'est trop facile. Je t'ai fait souffrir, tu m'as faite souffrir... On est masochistes ou quoi? On aime ça de souffrir? Ou alors tu crois qu'on se voile la face, et qu'on se dit que tout va bien se passer à chaque fois?... et qu'à chaque fois ça finit par dérailler quand même?...
Elle soupira doucement.
__ Tu veux que je te dise... ? J'ai compris ce qui allait pas chez moi. J'ai un gouffre. Une abîme. Un trou. Un manque affectif, un trouble ... j'en sais trop rien. J'ai grandi sans mère, sans père, sans repères et avec un beau-père qui n'avait aucune limite. Je sais pas où sont les limites, Tommy. Je les cherche. Vraiment. J'essaie. Pour m'éviter de ressentir ce creux béant... j'ai trouvé un super truc. Ca s'appelle l'amour, c'est un sentiment un peu emmerdant parce que ça fait du bien, mais que c'est à double tranchant, plus ça fait de bien, plus ça te fera de mal quand ça s'arrêtera. Et j'ai vraiment un besoin d'amour important. Alors. Si ... si tu penses que tu peux m'aider... si tu penses que tu es le meilleur maçon pour moi...alors allons-y... mais je veux être sûre. J'en ai assez de toujours avoir de faux espoirs, de toujours me planter sur le compte de tout le monde. Je sais pas si je me plante sur ton compte Tommy... mais le nombre de ruptures qu'on a connu parle pour toi.
La jeune femme baissa les yeux.
__ Je crois que t'es le meilleur maçon qui puisse exister. Je crois qu'on a juste pas un bon ciment Tommy. De bonnes bases. Il faut pas qu'on s'étonne de voir tout s'écrouler si on n'a pas de bonnes bases. Alors, voilà. Je t'ai tout dit. J'ai besoin d'amour. J'ai besoin qu'on me dise que je suis belle, que je suis intelligente, et que même si je suis pas très saine d'esprit, tu me soutiendras quand même. J'ai besoin de l'entendre tu vois, parce que malgré les apparences j'ai aucune confiance en moi. Chaque fois qu'on bousille nos bases, il faut tout reconstruire, et souvent ça prend du temps. Mais là je viens de baliser le terrain... et c'est constructible... alors. Si tu es près à enfiler ton casque et ton bleu de travail... Alors... alors je serais prête.
Elle fit un pas sur le côté avec un petit sourire malicieux.
__ Je crois qu'il faudrait que j'arrête de regarder cette grue derrière toi, parce que j'ai l'impression que ça m'inspire un peu trop de comparaisons fumeuses. Tu veux que je traduise... ? Je suis prête. Je suis prête à m'engager, je suis prête à tout... mais je veux être certaine que tu es prêt aussi, vraiment jusque dans les profondeurs de ton être. Parce qu'être "deux" quand on est qu'un... ça marche pas. Tu le sais, et je le sais aussi. Tu es revenu dans ma vie y'a approximativement cinq minutes, et je viens de tout foutre en l'air, en dix secondes... Parce que je t'aime. Est-ce que tu te sens capable de faire pareil. Jons? ... J'ai besoin d'en être sûre... Et... J'ai vraiment très très envie de te serrer fort, fort dans mes bras et de te dire combien je t'aime... alors.... arrête d'écouter, et bouge tes fesses.
► EMY
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Jeu 18 Oct - 10:44
Alors que les deux jeune amoureux marchais sans vraiment s'avoir ou il allez. Tommy j'ete un coup d'oeil au message d'emily pour un certain Gabril. Rien que d imaginé un autre homme dans les bras de Emily c'étais dur, mais bon Tommy n'étais pas mieux sur ça. Il avais rencontre 2 semaines avans de partir. Il avais fait froti frota plusieurs fois et arriver dans un restaurant la jeune fille fouille dans le porte monnaie a Tommy pour trouver une photo de Juliet avec Emily et sam. La jeune femme lui avais demander c'etais qui et Tommy en revoyant la photo il avais fait un grand sourire et avais dit. C'est les femmes de ma vie et mon chien c'est ma famille quoi. CROYEZ MOI ou pas mais la fille a super bien reagie... Non je deconne elle lui a balancer un verre de champagne a 100$ la bouteille puis elle c'est levé et a gueuler sur Tommy. Lui il rigolais et pris son manteaux et la jeune femme se demandais ou il allais et puis il lui avais dit aussi simple qu'un bonjour. Je retourne voir ma famille. BREF c'est comme sa que Tommy c'est retrouver plus tôt que prévue chez lui. Il fini par dire a la fin des citation a Emily. Il s’arrête et l'embrasse doucement sur les lèvres et dit.
-Ons doit prendre notre temps Emily. Ons va apprendre a se re séduire. Ons va evité se genre de bisou je propose qu'on recommence a zero. Enfin pas trop a zero quand même ons va pas recommencer Juliet, car c'est pas vraiment posible scientifiquement parlent, car ons peux sinon... bref je m'eloigne un peux.
OUI Emily avais belle et bien compris tommy avais demander de revenir un peux en arriere se qui voulais vraiment c'etais de sauté sur Emily et ratraper le temps, mais la pas possible et en plus il vien de dire interdi au bisou...
-Emily faudrait plutôt que tu discute avec Grabil. Seul a seul. Je pense parceque c'est mieux d'avoir une expliquation et jaimerais beaucoup que tu revienne a la maison avec Juliet.
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Jeu 18 Oct - 19:36
« L'amour est une servitude... »
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I'm gonna love you more than anyone
La belle brune écoutait ce que disait Tommy d'une seule oreille, ce qui était beaucoup plus amusant chez lui, c'était regarder les expressions faciales qui parcouraient son visage quand il parlait. Bon sang ce qu'il pouvait être mignon. Elle se surprit à examiner son visage, ses traits, ses yeux, sa bouche, sa barbe... Tout avait un peu changé, et rien à la fois. C'était vraiment un drôle de sentiment. Elle sentait bien qu'il avait pris un peu d'âge, il faisait plus homme encore qu'avant. Ses traits s'étaient un peu durci. Peut-être qu'il avait maigri un peu, prit peut-être un petit peu de cernes, sa mâchoire était devenue légèrement plus carrée, il semblait plus musclé, plus solide qu'auparavant. Ses yeux étaient toujours peints de ce bleu aussi surnaturel que magnifique et hypnotisant. Tommy lui avait manqué, et elle espérait juste que ce ne soit plus jamais, jamais le cas. Elle ne voulait plus manquer de lui. Soudain, elle retomba sur la planète Terre, en provenance de la planète Jons, lorsqu'il prononça le prénom qu'elle avait probablement le moins envie d'entendre de l'espace intergalactique en ce moment même : Gabriel. La jeune femme se renferma subrepticement. Elle ne voulait pas trop le montrer, pour que Tommy ne soit pas gêné, mais lui même le disait, une explication, c'était ça qu'il lui fallait. C'était tellement l'inverse de ce qu'elle se voyait faire. Elle se voyait parfois même repousser Tommy, en lui disant : "Non, je peux pas Tommy, je suis en couple maintenant"... Mais rien. Le pouvoir d'attraction entre ces deux-là, c'était quelque chose d'incontrôlable, et malheureusement, les autres allaient devoir subir. Elle baissa les yeux, et tritura le sol du bout de son pied.
__ Je sais bien... Mais je vais pas savoir quoi lui dire. Il est tellement gentil. Je veux pas lui faire de mal. Mais le problème c'est que rien qu'en existant, je fais du mal à quelqu'un j'ai l'impression. Je sais pas pourquoi, à chaque fois que je bouge le petit doigt, j'ai l'impression de causer un tremblement de terre. C'est... c'est vraiment un type bien. Et même si je t'aime Tommy, vraiment, j'ai le sentiment d'être vraiment injuste.
Tommy et Emily arrivèrent au parc, toujours main dans la main, car ils avaient repris le chemin. Emily se posa sur un banc et invita Tommy à faire de même. Dans son champ de vision, c'étaient des enfants qui jouaient, qui s'amusaient dans le bac à sable, à faire des pâtés, ils jouaient au ballon, faisaient du toboggan, ils étaient heureux, tellement heureux, et tellement insouciants... Ah. Devenir adulte, c'était peut-être ça le pire fléau de l'humanité, devoir affronter les problèmes des grands, devoir se plier aux règles, devoir affronter la vie. Emily repensa alors à ce que Tommy avait dit par rapport à Juliet, à elle, et à la maison.
__ Moi aussi j'aimerais revenir habiter à la maison Tommy, parce que mon vieil appartement est génial, mais il est vraiment trop petit. Juliet est pas faite pour vivre dans un appartement. Elle dort presque jamais à la maison, elle reste soit chez la nourrice, soit chez sa meilleure amie, soit avec la nurse. Je peux pas tous les jours mêler vie de famille et boulot. Rentrer à trois heures du matin pour aller la chercher chez la nourrice, c'était plus possible, j'ai du embaucher une nurse à l'appartement pour s'occuper d'elle, aller la chercher après l'école. J'ai pas le temps de faire tout ça, et puis c'était pas facile d'assurer tout ça toute seule... mais bon... maintenant... maintenant on est deux... ?
Emy posa sa main sur le genou de Tommy, avec un petit sourire malicieux. ► EMY
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Jeu 18 Oct - 20:10
Que de beau discourt entre les deux jeune gens. Tommy l'ecouta et il se disait que tout n'etais pas de la faute a Emily dans cette histoire. Emily est une femme magnifique qui se fait remarquer souvent même trop souvent au gout de Tommy, mais c'est aussi une femme fragil qui aime tout porter sur c'est epaule si douce qui commence a se faire lourde maitenant. Tommy devais prendre la reléve, assumé, assumé son role de père une fois pour toute et il étais prêt a recomencer une nouvelle vie... une nouvelle histoire avec Emily. C'est deux la étais magnifique et il son fait pour étre ensemble. Tommy fini par sourire et par dire sur le sujet de Gabril.
-Je comprend, mais toute les choses qu'on fait son dur Emily, mais au moin lui parler...pas trop longtemps non plus et sinon il est gentil comment ?
...Oui Tommy est un super jaloux, mais sans taper de crise en cassent tout sur son passage. Il dit ça subtillement sans hurlé a la mort, mais il a un regarde bien a lui quand il est jaloux les yeux levé au ciel le front ridé par question et oui c'est un jaloux. Alors que nos deux jeune amoureux, ex amoureux, ex femme, ex machin trucs bidule chouette...Enfin des amoureux ! Tommy croise le regarde d'une jeune femme qui allaire d'insité avec les yeux genre ( HEY REGARDE HEY OH JE SUIS LA BEAU MALE) *wtf o_o*Tommy ne la connaisais absolument pas, mais il décide de lui jeter un regarde et un sourire. SE QUIL NAURAIS JAMAIS DU FAIRE , mais sa il va le comprendre très vite. Tommy a l'habitude d'être un homme poli donc par pur politesse il avais juste repondu d'un sourire. Il se tourne vair Emily qui avais vue et dit. -C'est elle qui...ta vue c'est pas moi c'etais juste pour dire..
FUCKla fille avais prit cela comme une invitation directe a venire le voir. Tommy est vraiment pas doué avec les filles. Rien que pour dire un bonjour ! Sa allais partire en c.. donc il prit les devans la jeune femme arriva et essaya de placé un mot et tommy dit juste avans tout le monde pour pas rendre Emily comme au restaurent. Il devien rouge comme une Tomate et dit
-NON je...suis marié j'ai un enfants elle sapelle Juliet. Et la c'est ma femme ons attend un autre bébé il va sapeller ... peut importe, mais voila bonne journée..
La femme ne compris absolument rien et avec un air genre je me fou ta geule elle lui dit. -Super pour vous j'ai 17 ans et je vend des ticket pour mon lycée. Je croyais que vous avez vue mes ticket. Ba maitenant Tommy est au courent que être timide sa a du bon ne pas parler c'est chouette des fois. Il re passa au rouge et ne dit plus rien a si il dit un truc. -Euh...
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.) Ven 19 Oct - 20:43
« L'amour est une servitude... »
Tommy & Emily
Ca faisait un sacré bout de temps qu'Emily n'avait plus ressenti un tel sentiment... certains parleront d'une gêne, d'un sentiment de mal-être... de vide intérieur. Bah pas vraiment. Pour Emy, la jalousie, ça se résumait à une furieuse envie de faire avaler une boule de bowling à la principale intéressée, avant de la découper lentement en petits morceaux avec une roulette à pizza pour finalement faire dévorer les petits bouts restants par des fourmis rouges végétariennes - histoire que ça prenne encore un peu plus de temps -. Oubliez ce que je viens de dire. Emily prit tout à fait naturellement bien cette discussion qui était en train de se passer entre Tommy et cette charmante horrible petite pouffiasse de lycéenne aguicheuse vendeuse de tickets. D'abord, ça commença par une lycéenne à la recherche de pigeons pour financer son voyage fin d'année avec sa classe. Tommy qui devait avoir un petit air de pigeon. Elle sourit, il sourit. Emy voit tout. Tommy vire au rouge fluo. La pouf ramène son petit derrière que la chirurgienne a envie de botter. Tommy comprend qu'il est foutu. Il déballe toute sa vie privée et même des trucs complètement faux. Oui, enfin, si ça avait juste été faux. C'était terriblement humiliant ! Emily enceinte? Hahaha, même pas en rêve, de toute façon, de qui elle pouvait bien être enceinte? De Gabriel ? Impossible, ils avaient rien fait ! De Paymon ? Impossible, c'était une fille. Tout de suite, Emily songea à l'immaculée conception avant de tilter : "Hey, mais je suis pas du tout enceinte, qu'est-ce que tu racontes?". Mais elle n'en dit rien. Elle lança un regard de défi à Tommy et enchaîna à la demoiselle :
__ Oui, je suis enceinte du jardinier, mais ça il le sait pas.
Elle fit mine d'avoir fait une gaffe, en posant sa main sur sa bouche.
__ Oh, bah maintenant il le sait.
Mentit-elle avec un air complètement hypocrite.
__ Tu (nous fais chier) vends (de la merde) des tickets ?! Mais c'est (inintéressant pauvre grosse grognasse) génial ! Tiens (dégage pouffiasse)et (tu regardes par mon mec comme ça sinon je te fais bouffer par les hamsters de Maddison) si... et si tu allais (te faire foutre) les vendre ailleurs (pigeonner quelqu'un d'autre) par exemple ?
Emily prit un air faussement aimable, et agita ses doigts comme pour lui dire : "salut cocotte". La jeune fille s'écarta du petit couple avec la fougue de la jeunesse en sautillant à moitié : "Quiiiii veut mes tickeeets?". Grosse quiche. Qu'elle meure dans un coin que ça ne déplairait pas à la jolie petite amie de Tommy. Enfin, petite-amie, un truc dans l'genre. Non mais sérieusement, enceinte? Elle? La fille la plus longiligne de la planète terre? Bon attendez peut-être pas, mais niveau poids, et corps, elle était franchement exemplaire, y'avait pas de quoi critiquer, attendez, même Maddison, pourtant mannequin, lui avait dit qu'elle aurait fait une bien belle carrière dans le mannequinat, aussi, Emy. Elle ne se serait pas vu prendre des rails de coke la moitié du temps et défiler sur des podiums l'autre moitié. Attendez. Bien sûr que si elle aurait pu faire ça. Oh, mais c'était pas très sérieux. Après cette petite divagation, et le temps que la petite lycéenne disparaisse un peu, ou qu'elle ait accosté un autre pigeon, la brunette se retourna avec un air choqué vers Tommy :
__ Sérieusement, tu croyais vraiment que tu allais mieux t'en sortir en disant que j'étais grosse ?!
Oui, enfin enceinte voulait pas dire grosse mais bon. Chassez le naturel il revient au galop.
__ Si t'étais pas aussi mignon tu mériterais vraiment que j'te boude.
Fit-elle avec un sourire légèrement provocateur. ► EMY
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Sujet: Re: « Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.)
« Conquérir sa joie vaut mieux que de s’abandonner à sa tristesse. » (Tommy J.)