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/!\ Break Out /!\ ─ Le froid, c'est pire que la douleur, c'est être malade sans blessure à soigner | GIBBS ♥

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MessageSujet: /! Break Out /! ─ Le froid, c'est pire que la douleur, c'est être malade sans blessure à soigner | GIBBS ♥ /!\ Break Out /!\ ─ Le froid, c'est pire que la douleur, c'est être malade sans blessure à soigner | GIBBS ♥ EmptyMar 16 Juil - 2:36



Le froid, c'est pire que la douleur, c'est être malade sans blessure à soigner
Aymrick avait les bras croisés sur sa poitrine et observait l’écran géant de la cellule anti-terroriste où on pouvait voir une équipe d’intervention en action. C’était une véritable course contre la montre. Même si Rick ne montrait rien, il était nerveux. À un moment ou un autre, une bombe risquait d’exploser. La vie de ses agents était en danger en plus de celle de plusieurs enfants que la CTU était en train d’évacuer. Parce que oui, les terroristes de nos jours aimaient s’attaquer aux écoles.

« Évacuez. Faites évacuez vos agents directeur White. » S’écria alors le général à la droite d’Aymrick. Ce dernier tourna lentement la tête pour observer son acolyte.
« Non. » rétorqua simplement le directeur.
« Directeur White ! C’est un ordre ! »
« Avec tout le respect que je vous dois Général, fermez-la. Je ne prends pas le risque de faire exploser cette école. Pas avec la possibilité que des enfants ce soient cachés à l’intérieur. J’ai confiance en mon équipe. Ils vont désamorcer cette bombe et il n’y aura aucun blessé. » Affirma le grand homme totalement sûr de lui.

Le Général le regarda drôlement légèrement choqué, mais ne préféra rien rajouter. Il travaillait depuis assez longtemps avec Aymrick pour savoir qu’il était trop borné pour argumenter contre lui. Le silence se mit ensuite à planer dans la pièce principale de la cellule où les deux hauts-placés observaient la scène se dérouler devant leurs yeux. S’il y avait bien quelque chose que le plus grand détestait c’était lorsque la vie d’enfants était en jeu. De jeunes humains n’avaient pas à vivre ce genre de choses, ils n’avaient pas à savoir aussi tôt que le monde était cruel et injuste. Un enfant méritait de garder son innocence jusqu’à un certain âge. Rick se mettait également à la place des parents. Perdre son enfant… Non, en fait, il n’osait même pas y penser. Certes, il n’était pas père, mais il avait déjà perdu quelques proches… Très proches pour avoir une maigre idée de la souffrance ressentie. Alors non. Pas aujourd’hui. Il ne verrait pas une école exploser, car le général avait peur que la bombe éclate. Aym’ avait ses meilleurs agents sur le terrain ce n’était pas une petite bombe qui allaient les effrayer.

« Nous avons la bombe Directeur. » dit une voix à travers l’écran. Rick hocha seulement la tête pour lui-même et ne rajouta rien. Sachant très bien que ses agents savaient quoi faire. Qu’ils n’attendaient pas d’autorisation. « Elle est reliée à un téléphone prépayé. » rajouta la même voix.

Aym’ tourna la tête vers sa spécialiste en informatique qui attendait ce simple regard pour agir. Ses doigts se mirent à taper à toute vitesse sur le clavier et au bout de quelques secondes, elle s’exclama :

« Je viens de désactiver l’antenne téléphonique. Nous avons 5 minutes. »

5 minutes qui furent suffisantes aux agents. La bombe fut désamorcée avec succès et la pression retomba à l’intérieur de la cellule anti-terroriste. Aym’ ne resta pas plus longtemps et se dirigea vers son bureau pour téléphoner au premier ministre qui attendait son appel avec impatience. Une longue conversation plus tard et des tonnes de rapports remplis, le directeur rentra finalement chez lui. Malheureusement, seul, une nouvelle fois. Avec franchise, ça ne l’affectait plus. Il était tombé amoureux une seule fois dans sa vie et il l’avait regretté. Depuis, il s’était complètement fermé à cela, évitant même les coups d’un soir sauf lorsque le besoin se faisait ressentir, bien sûr.

Une fois chez lui, le directeur n’arrivait pas à décrocher totalement de son boulot. Comme à tous les soirs d’ailleurs. Il était installé à son bureau et épluchait pour la énième fois un dossier qui n’avançait malheureusement pas. Il était à la recherche du petit détail que ses agents et lui avaient raté et qui les bloquaient. Aux petites heures du matin, le brun abandonna l’idée et se dirigea vers sa chambre pour se glisser sous ses couvertures. Le sommeil vint le chercher très rapidement. Le pauvre, il avait beaucoup d’heures de sommeil à récupérer. Malheureusement pour lui, il avait le sommeil léger et un craquement anormal le tira des bras de Morphée. Il voulut s’étirer pour prendre son arme, mais il ne fut pas assez rapidement et on lui planta quelque chose dans le cou. Le temps que ses doigts se refermèrent sur la crosse, il était trop tard. Ce fut le trou noir.

*** Quelques heures plus tard, Lieux Inconnu ***

Le sang battait fortement dans ses tempes, ses mains étaient raides et une affreuse douleur lui lacérait la nuque. Ricky poussa un grognement de mécontentement. Qu’est-ce qui lui arrivait à la fin ? Il fit un second grognement avant de se risquer à ouvrir un œil. Sa vision complètement floue lui donna la nausée. Il préféra donc le refermer pour laisser sa situation se stabiliser.

Qu’est-ce qui s’était passé exactement ? En toute franchise, il ne se souvenait pas de grand-chose. Son dernier souvenir clair remontait au moment où il s’était glissé dans son lit. S’y trouvait-il encore ? Non… Il faisait beaucoup trop froid pour cela. Et de plus, l’endroit où il était allongé était beaucoup moins confortable et moelleux que son lit. Bon… Dans quel pétrin s’était-il encore mis ? Et surtout qui ? La liste était longue. Aymrick White avait de nombreux ennemis. Lequel avait été assez brillant pour découvrir sa véritable identité et s’attaquer à lui ? Peut-être qu’il dramatisait aussi. Ce n’était peut-être pas aussi grave.

Un son près de lui attira sa totale attention. Il n’était pas seul. Son adversaire ? Ou bien quelqu’un qui s’était fait avoir bêtement comme lui ?

« Qui êtes-vous ? » cracha-t-il sur un ton autoritaire malgré sa bouche pâteuse.
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Une journée de formation. Ce n’était certainement pas dans la définition de Gibbs d’une journée idéale, c’était même la définition d’une journée infernale. Il aurait certainement dû se trouver une excuse au lieu d’y assister à une journée de formation surtout que cela concernait l’informatique, un véritable supplice pour Leroy. Assis au fond de la pièce, se contentant de jeter un regard noir et glacial quand le formateur semblait vouloir le prendre comme un exemple ou pour l’inviter sur le devant de la scène. De toute manière, il ne voyait pas pourquoi il avait besoin d’assister à cette formation. Les problèmes d’informatique, Leroy connaissait la recette magique pour que cela fonctionne. Il donne des coups sur l’ordinateur et il part chercher un café. Après ça, tous les problèmes sont réglés à son retour. Il se demandait bien pourquoi il se devait d’assister à une formation donc il n’avait aucunement le besoin. Pour les problèmes d’informatique, il n’avait qu’à demander à McGee et il réglait le problème.

Le temps de la pause café était enfin arrivé. Se levant pour filer vers la sortie de la pièce tout en laissant échapper un grognement lourd au formateur pour bien lui faire peur. Il n’avait aucunement l’envie de faire des exercices informatiques. Marchant dans les couloirs pour aller chercher son café bien fort, un vrai café de marine, il croisa McGee. Gibbs lui fit un signe avec sa main droite pour lui dire de s’approcher. Quand McGee fut assez prêt, Gibbs lui dit.

«McGee, je veux que vous fassiez ce que vous savez faire le mieux sur l’ordinateur du formateur, compris ?»

«Pourquoi Patron ?»

Gibbs le fixa droit dans les yeux. Un regard qui lui indiqua qu’il n’avait aucune excuse, ni aucune explication. Après tout, il savait que si le formateur disait qu’il ne pouvait pas corriger les copies des tests, il ne pouvait pas donner de note à Gibbs et Leroy n’avait aucune intention de faire ce fichu test, ni assister à des nouvelles formations sur le même sujet.

«D’accord, patron, j’y vais.»

Gibbs le regarda partir, un sourire s’afficha sur son visage. C’était un problème de moins à régler. Bien sûr, il devait quand même assister à cette formation. Il se devait maintenant de reprendre sa route vers la machine à café qu’il atteint quelques minutes plus tard. Devant la machine, il prit un gobelet qu’il déposa à l’endroit prévu. Sortant de la monnaie, il choisit son café préférer et attendit que son café soit vidé dans son gobelet. Une fois ceci fait, son café dans la main, il reprit le chemin inverse. Il espérait presque qu’on lui annonce qu’un terroriste était présent et qu’il devait le traquer, sans grand succès. Son café dans sa main, il entra dans la pièce. Malheureusement pour le formateur, celui-ci avait décidé de sortir de la salle. La collision entre Gibbs et le formateur était inévitable. Échappant son gobelet de café à cause du formateur, Gibbs ne put que constater les dégâts. Le silence s’abattit soudainement dans la classe. Gibbs lui lança un regard noir et un grognement significatif. Le formateur venait de faire une erreur, renverser son café donc il n’avait point pu en prendre une gorgée. Le regard noir fixant le formateur qui tentait d’essuyer le dégât. Le grognement fit son effet et le formateur recula avant de tomber sur le bureau, entrainant par le fait même, le projecteur qui se fracassa par terre. Se contentant de parler en bégayant.

«La for for formation est fi fini»

C’était ce que voulait entendre Gibbs, cela valait bien un café de perdu. Faisant demi-tour, il retourna à son bureau pour y travailler. Après une journée de travail chargé et fatigant, surtout à cause de la formation, il était enfin de retour chez lui. Fermant la porte sans la verrouiller comme à son habitude, il décida de se diriger vers son lit au lieu de descendre dans son sous-sol pour y travailler sur le bateau. Enlevant ses vêtements et ne mettant qu’un pantalon pour dormir. Il laissa tomber sa tête sur l’oreiller, laissant le sommeil le gagner. La porte de chambre émit un grincement, c’était ce qui l’avait alerté. Ouvrant les yeux et tentant de prendre son arme sous son oreiller, il n’eut que le temps de ressentir une douleur dans le cou. Essayant vainement de se mettre debout et de prendre son arme, il ne ressentit que le sommeil lui venir.

*** Quelques heures plus tard, Lieux Inconnu ***

Ouvrant les yeux péniblement, Jethro était en colère contre lui-même. N’ayant pas grand-chose à se souvenir sinon qu’il s’était fait avoir comme un bleu, Gibbs ressentait un contact froid sur son torse. Le froid était autour de lui, Gibbs tenta de se relever doucement. Pour le moment, son regard se portait sur le sol, il essaya de se lever quand une douleur lui revit à l’esprit. Son cou lui faisait un mal de chien. Ignorant la douleur, Gibbs savait une chose, c’était que ceux qui avaient fait ça allaient le regretter. Entendant un bruit venir sur sa gauche, il tourna sa tête vers le bruit. Il reconnut la personne qui était avec lui. Décidément, c’était la quinzième journée la plus infernale de sa vie. Gibbs laissa échapper de sa bouche avec un ton ironique comme il le prenait à chaque fois qu’il le voyait.

«Qu’avez-vous encore fait White ? Vous savez que le téléphone existe si vous voulez me parler. Inutile de m’envoyer vos hommes.»

C’était ironique. Dans cette situation, Gibbs ne savait pas encore quoi pensé. Ses ennemis étaient tous morts ou en prison pour un long moment. Peut-être que cela était à cause de l’évasion de prison donc il avait vaguement entendu parler. Pour le moment, Gibbs se concentra sur la situation présente même s’il était en mauvaise compagnie avec White.

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