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| La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] | |
| Auteur | Message |
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Invité
| Sujet: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Mer 17 Aoû - 10:57 | |
| Cela faisait depuis maintenant trois mois que Jenny et moi ne nous étions plus vu, enfin si moi je la voyais sans qu'elle me voit. C'était toujours comme çà, j'étudié ma futur victime sur toutes les coutures, pour ne laisser aucune possibilité à celle ci de s'enfuir, de pouvoir s'en sortir. Puis pour chacune d'entre elles je changeais de technique, étranglement avec la ceinture, coup de couteaux etc ... pour que les flics ne pensent pas avoir un tueur en série mais des tueurs tout simplement. Je ne laissais aucune empreinte, rien qui pourrait les mener à moi. Pendant ces trois mois je l'avais observé, chez elle, en dehors, certes pas à son bureau mais je surveillais ses voyages entre chez elle et son travail, quand elle sortait de chez elle. Grâce à cela j'avais appris qu'elle avait une fille, pas mal du tout. J'avais donc fait des recherches sur cette jeune femme, et j'appris qu'elle s'appelait Iris, et qu'elle était enceinte, et aussi qu'elle avait été abandonné à la naissance par Jen, je sus aussi que Jennyfer voulait venger son père, la personne visé, un ami, La Grenouille. C'était intéressant, très intéressant même. Et je continuais mes recherches sur les deux Shepard, bien sur celle qui m'intéressait, et que je visais était la mère pas la fille, la blonde ne serait qu'un simple ustensile. Le jour t'en attendu était enfin arrivé, ses souffrances allaient commencer, sa vie serait bientôt fini, détruite. J'avais tous prévu, tout. Il devait être huit heures du matin quand je l'appelais, nous étions Dimanche. Ce n'est pas ma voix qu'elle entendit dans le message mais celle d'un homme bien plus âgé que moi. Le message parlait de La Grenouille, je lui donnais un point de rendez vous, un bâtiment désaffecté parmi tant d'autres, et une heure. Je savais qu'elle viendrait, La Grenouille, çà la ferait venir assurément, je n'en doutais pas un seul instant. Bien sur je lui avais dit de venir seule, simple précaution pour quelqu'un qui avait des "informations" sur La Grenouille et qui ne voulait pas que cela ce sache. Il n'y avait rien dans le bâtiment, juste les murs, et quelques tables, ainsi qu'un escalier dans un coin qui faisait qu'on pouvait monter à un étage où il n'y avait aucune porte, enfin pas à l'oeil nu. Quelques caissons en bois, des tags sur les murs, une bouche d'aération, une bonne couche de poussière, rien d'autres. Maintenant je l'attendais, mais quand elle serait là elle ne pourrait pas me voir, enfin pas tout de suite. |
| | | Rousse au grand coeur <3 ♠ Nombre de messages : 2148 | Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Mer 17 Aoû - 13:17 | |
| Les semaines peuvent passer sans l’ombre d’une chose intéressante, puis tout d’un coup, une bonne nouvelle peut tomber. Enfin tout était relatif bien sur, la rouquine avait eut récemment un appel téléphonique masqué qui signalait que quelqu’un avait des informations sur la grenouille à lui donner. Il y a deux sentiments, un qui sautillait presque sur place à l’idée d’avoir enfin de quoi coincer cet homme, de le prendre enfin au piège sans qu’il ne s’y attende et la seconde partie qui restait beaucoup plus méfiante, paranoïaque presque ce disant que c’était peut-être également un piège. Certes, la dernière fois qu’elle avait écoutée un indicateur comme on dit, elle avait été prise dans une fusillade et l’homme y avait laissé la vie. Elle hésita très longtemps et pesa le pour et le contre d’aller à ce rendez-vous dans un lieu pour le mois désert ou tu du moins très peu rassurant à une heure aussi tardive. Néanmoins, la haine et cet envie de vengeance qui était présent depuis ci longtemps, plus le souvenir de ce qu’il avait fait récemment firent pencher la balance vers ce mystérieux inconnu. Cependant, Jen n’y alla pas sans aucun prévention, cette fois elle avait laisser sur son bureau le lieu et l’heure, comme ça, si elle ne revenait pas pour supprimer ce message quelqu’un le verrait, sa fille ou Cynthia voir Noémie s’apercevrait de sa non présence vu qu’elle lui sonnerait sans doute pour préciser les choses importantes du lendemain matin.
Peu de temps avant l’heure prévue, la rousse s’était apprêtée. Elle avait finalement rattrapé une veste dans les tons kaki et chargé son arme qu’elle avait gardée sur elle, avec d’autre chose certes et son sac. Le tout prévu, le papier laissé en évidence, elle avait tourné la clé et fermé sa maison avant de prendre sa voiture et de rouler vers ce quartier presque entièrement désaffecté. Pour l’être cela l’était vraiment, elle put s’en rendre compte quand elle y arriva 5 minutes en avance. Elle attendit d’abord éteignant ces phares, elle laissa cependant tourner le moteur. Ne voyant rien de bien inquiétant mis à part la pénombre qui s’installait et un silence gênant, elle sortit finalement de son véhicule gardant quand même une main près de son arme, on ne savait jamais. Sinon on lui bassinerait encore les oreilles en disant que c’était pas prudent, mais dans ce cas qu’ils se bougent le cul à lui trouver de quoi faire ce qu’ils ne voulaient pas faire sous prétexte que son motif était personnel, alors quoi elle était bien obligée de gérer cela seule. Le bâtiment était repéré mais aucune lumière n’était visible, elle n’aimait pas ça du tout mais pas du tout du tout. Un très mauvais pressentiment commença doucement à s’infiltrer en elle. Elle finit par murmurer à peine mais c’était suffisant dans ce genre de circonstance.
-Si vous êtes là vous feriez mieux de vous montrer sinon, je repars…
Oh que oui, elle ne restera pas ici très longtemps. Elle n’était pas entrée dans le bâtiment, elle avait poussé la porte et parler. Mais à présent la rouquine se tenait à l’entrée de celui –ci en dehors ce qui semblait plus susceptible de s’effondrer qu’autre chose. Elle regardait les alentours essayant de discerner le moindre mouvement qui approcherait ce qui n’était pas facile avec le peu de lumière qu’il n’y avait, d’autant plus que les humains n’ont pas l’excellente vue des félins. |
| | | Invité
| Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Mar 23 Aoû - 14:44 | |
| La voiture de Jenny arriva cinq minutes avant l'heure du rendez vous que je lui avais donné, j'observais sa voiture pendant qu'elle était encore à l'intérieur. Etant donné que je l'avais étudié dans les moindres détails je me doutais bien qu'elle viendrait armé, cela ne me posais pas de problème. Elle sortit de la voiture et s'approcha de la maison. C'était bien dommage qu'une si jolie femme est à subir ce que j'allais lui faire subir. Elle n'était pas rentrée, pas grave, j'avais tout mon temps. Elle parla, plutôt chuchota. J'attendis quelques secondes avant de répondre avec la voix qu'elle avait entendu dans le message vocale que je lui avait laisser ce matin :
-Oui je suis là ... ne partait pas madame. Je suis dans la salle à côté, il n'y a pas de fenêtre mais là on sera tranquille pour parler. dis je sur le même ton qu'elle
Bien sur elle ne pouvait pas voir si il y avait une autre pièce ou pas. Il fallait qu'elle rentre dans le bâtiment pour que le piège se referme sur elle. J'attendais donc sa réaction. Allait elle rentrer ou pas ? J'espérais bien. Mais je n'étais pas pressé. J'étais à l'étage et je l'observais, mais Jennyfer ne pouvait me voir. J'allais bientôt pouvoir m'amuser avec elle. Il fallait juste qu'elle rentre dans la maison et là on pourrait commencer à s'amuser, enfin je ne crois pas qu'elle s'amusera mais moi si. J'avais tous préparé depuis tous ces mois, et aujourd'hui était le jour J. Bon après çà Interpole risquait bien de me rechercher vu que j'aurais attaquer un directeur d'une agence fédérale, mais bon ils auraient déjà commencer à me rechercher vu le nombre de personnes qui étaient mortes grâce à moi. Homme, femmes. Le seul enfant qui était mort, était mon petit frère, Black. Dès qu'il était né je l'avais détesté, il était trouillard, pleurait sans arrêt, reporté toujours la faute sur moi, il était frêle, à chaque fois il fallait que je le protège, ce n'était qu'un incapable. Je ne m'attaquais pas aux enfants, même si parfois il y en avait qui me taper sur le système, je ne leurs faisait rien. Je laisserais une petite liste d'où étaient les corps de quelques personnes, ou pas, je n'avais pas encore décidais, je verrais bien. Pour l'instant Jen était mon centre d’intérêt, la liste plus tard. Quand elle rentrerait complètement dans la maison, la porte se refermerait et ainsi le piège se refermerait sur elle, elle ne pourrait pas fuir. |
| | | Rousse au grand coeur <3 ♠ Nombre de messages : 2148 | Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Mar 23 Aoû - 16:45 | |
| La vengeance peut nous pousser à faire énormément de chose, la directrice du Ncis en était la preuve vivante. Elle acceptait cette entrevue qui franchement sentait plutôt le traquenard qu’autre chose sans trop broncher. Néanmoins au plus le temps avançait, au plus sa voiture continuait de rouler dans cette direction, qu’elle se demandait si c’était réellement une bonne idée. Il était trop tard pour faire demi-tour maintenant, n’étant pas une trouillard par nature ou une petite fille chétive, elle avait quand même décidée d’aller voir ce qui se passait. Simplement, cette fois-ci, la rouquine avait décidé de prendre quelques précautions. Déjà son arme était chargée et à portée de main, elle avait laissée un papier éloquent sur son bureau qui lancerait les hostilités si elle ne l’enlevait pas en rentrant. Elle se répéta tout cela avant de quitter la sécurité notoire de son habitacle pour aller avancer en terrain inconnu. Le bâtiment avait tout du lugubre, bon pour être inséré dans un film d’horreur. Elle avait déjà souvent eut des mauvais pressentiments et malheureusement ou heureusement, c’était à voir, ils s’étaient toujours avérés corrects. La première fois Gibbs avait reçu une balle dans la cuisse, la seconde Tony & Ziva avait été enchaîné en perdant leur trace. Alors on pouvait comprendre, que son stress montait d’un cran alors que cette même intuition s’infiltrait partout en elle. Elle avait parlé, refusant d’entrer dans la vieille battisse. Elle s’attendait à ce que se soit le silence qui lui réponde mais la même voix que celle qu’elle avait entendu dans son téléphone reprit la parole.
-Vous n’avez encore rien montrée qui puisse me faire penser que je peux avoir confiance en vous…Qui êtes vous ?
Elle continuait de chuchoter et ne bougeait pas trop son corps, par contre son regard lui était complètement mobile, et essayait de regarder un peu partout pour prévenir du danger. C’était vrai, elle avait fait une grosse part maintenant qu’ils étaient presque sur d’être seuls, il pourrait faire au moins preuve de bonne fois en évitant de continuer de la laisser croire que tout ceci allait se terminer mal. Elle n’avait pas du tout envie de rentrer et ce sentiment de danger imminent ne cessait de croître. Tellement que Jennyfer avait attrapé son arme cette fois, qu’importe si elle faisait peur à l’inconnu, elle ne tirerait que si il y avait une menace, mais cette sécurité l’apaisa assez pour faire un premier pas vers l’intérieur. Lentement, très lentement, comme quant on inspectait une maison, la rousse rentra, elle avança vers la dite pièce ne voyant pas grand-chose, normale il faisait noir. Elle restait dans l’embrassure de la porte, l’oreille à l’écoute du moindre bruit.
-Où êtes-vous ?
Claqua t-elle finalement. Ses mains se refermèrent un peu plus sur l’arme qu’elle détenait, elle se mit dos à un mur pour éviter tout surprise par derrière, écouter les bruits, attendre qu’il réponde. Voilà ce qu’elle devait faire, privée presque de la vue, il fallait faire confiance aux autres sens. |
| | | Invité
| Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Mer 5 Oct - 18:42 | |
| J'écoutais avec un petit sourire amusé la directrice du NCIS répondre à celui qu'elle croyait être, à cette voix que je lui avais fait entendre déjà sur son portable et maintenant là. Mais je ne pris pas la peine de répondre, enfin pas tout de suite, le silence ce fit et pendant quelques secondes je le laissais, puis je décidais de le rompre enfin :
-Quelqu'un qui veut voir La Grenouille derrière les barreaux et qui veux vous aider. Rentrez pour que nous en parlions. dis je de la même voix qu'elle avait déjà entendu
Je la vis rentrer très lentement dans la maison, le piège allait bientôt se refermer sur elle et sa vie allait devenir un enfer pour un moment. Elle demanda où j'étais tout en refermant les mains sur l'arme qu'elle avait apporté. Son arme. Je ne m'en soucié pas car elle ne pourrait l'utiliser vu ce que je lui avais préparé. J'appuyais sur un bouton et la fermeture que j'avais installé sur la porte quelques jours plus tôt fit ce que je lui demandais. Fermer la porte. La directrice du NCIS était donc maintenant plongée dans le noir. J'attendis quelques secondes avant d'appuyer sur un autre bouton et le Chloroforme passa par la bouche d'aération. Bonne nuit madame Shepard. Faites de beaux rêves. Enfin je sais que vous allez faire un cauchemar. Ne vous inquiétez pas vous vous réveillerez dans un bon lit ... à l'hôpital ... ou pas. Ce n'est qu'un simple mauvais moment à passer penser juste à çà et çà vous fera moins mal. J'attendais donc qu'elle s'endorme pour descendre et l'attacher au confortable fauteuil que j'avais trouvé. Il était en velours, couleur rouge bordeaux, moelleux, ses bras en bois sculpté ainsi que ses pieds. Elle y serait confortablement installée ! Et si elle voulait se lever ... et bien elle ne pourrait pas car je lui attacherais les chevilles ainsi que ses poignets, elle serait ainsi solidement fixé au fauteuil. |
| | | Rousse au grand coeur <3 ♠ Nombre de messages : 2148 | Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Ven 7 Oct - 15:42 | |
| Quand tout vous indiquait que quelque chose de pas bon, mais pas bon du tout allait se produire dans l’immédiat, il était normal d’être sur la défensive. La rouquine, l’était d’ailleurs, elle avait empoigné son arme qui était auparavant à sa ceinture et la gardait encore baissé vers le sol ne visant rien d’autre. Déjà ce simple contact, cette simple pensée de se dire qu’elle n’était pas complètement démunie, la rassura un brin et lui redonna assez de tact que pour reposer une question. L’homme ou tout du moins la voix masculine, ne reprenait pas, refusant tout autre avantage que celui qu’il voulait. Ce n’était pas bon du tout cela, elle avait répliqué qu’il fallait lui donner de quoi lui faire confiance surtout dans cette situation-ci ou tout le monde verrait déjà le poteau rose. Le silence fit d’abord œuvre de réponse puis enfin une autre réflexion. La bonne blague, la rouquine se renferma plus et repointa son arme vers tout ce qui lui viendrait de face à elle pendant que son regard scrutait l’extérieur plus visible que l’intérieur du bâtiment. Elle lui airait bine signaler le fond de sa pensée et c’était peu digne d’être dit par une directrice d’agence fédéral. Prenant son courage ou sa folie, faite votre choix, à deux mains, elle fit le premier pas dans le bâtiment lugubre. Entrez dans le bâtiment et face à la dite pièce complètement plongée dans le noir, elle reprit la parole lui disant de son montrer alors qu’elle se disait mentalement qu’elle ne ferait plus un seul pas de plus à l’intérieure. Les échanges c’est sensé venir des deux côtés ici elle faisait tout. L’adrénaline continuait d’arriver et elle sursauta presque violement quand la porte se referma. Elle fit volte face dans le noir mais aucun autre bruit n’arrivait.
Plus que consciente cette fois que ce malaitre ou cette mauvaise intuition était une de fois de plus véridique, elle ralentis sa respiration au maximum même si son cœur c’était accéléré dans sans sursaut. Elle devait faire le moins de bruit possible, après tout l’obscurité c’était pour tout le monde. Silencieusement, elle voulu reculer, rien toujours rien ne se faisait entendre et ça lui plaisait pas du tout. Puis finalement, quelques chose commençait à être soufflée, elle sentit une sorte de vent lui tomber dessus à l’odeur, elle fronça le nez. Elle essaya de se couvrir le nez avec un morceau de tissu mais ce ne fut pas assez efficace, ne pouvant atteindre la porte fermée à clé, très vite, les sens vous lâche. La dernière chose dont Jen se souvient, c’était de se sentir tomber lourdement au sol après c’était le trou noir. Combien de temps s’écoula avant qu’elle ne reprenne connaissance ? Elle n’en avait pas la moindre idée.. Tout ce qu’elle savait c’était qu’elle avait un mal de tête qui commençait et qu’elle était assise. Assise ?! Elle voulu s’agiter, se relever, bouger les bras mais à chaque geste ces membres étaient retenu à ce maudit truc. Ne pas s’énerver. Elle essayer de bouger un peu partout pour tester la solidité, c’était mal partit…Son regard émeraude chercha du regard les objets de la pièce. Hj: Court dsl mais comme je ne sais pas ce que je sais voir, ni rien ^^' |
| | | Invité
| Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Ven 11 Nov - 16:23 | |
| Le Chloroforme fut lâché elle ne tarda pas à ressentir les effets. Je la vis tomber, j'attendis que le gaz se dissipe avant de sortir de la pièce cachée à l'étage. Je descendis tranquillement les escaliers et l'installait sur le fauteuil. Je lui attachais les mains ainsi que les chevilles. Comme çà quand elle se réveillerait elle ne pourrait bouger et n'essayerait pas de s'échapper. Puis je ramassais son arme et remontait. La porte se ferma et j'attendis qu'elle revienne du pays des merveilles. La voyant revenir à elle et essayer de bouger je souris. Quelques secondes passaient puis j'appuyais sur un bouton sur mon ordi et un cri en sorti. Un cri d'une jeune femme, un cri de douleur. Un cri qu'elle devait bien connaître. Enfin devait connaître la personne qui poussait se cri. Sa fille. Oh ! Je n'avais pas enlever sa fille, je ne l'avais pas torturer, ni même approcher ! J'avais demandé à un jeune surdoué en informatique de me créer un programme qui pourrait émiter la voix de quelqu'un dans tous ses tons, tristesse, pleurs, cri, joie etc ... Au moment où je l'avais rejoins je l'avais tué. Pour ne laisser aucune trace, pour que personne ne sache. Les jeunes qui seraient à la cantine du lycée de Georgetown demain auront de bon steaks ! Et oui, comme çà personne ne pourra le retrouver, aucune trace de lui et moi je serais tranquille. J'attendais la réaction de ma captive avant de réappuyer sur le bouton et qu'un autre cri en sort. Je souriais. Puis je taper rapidement sur le clavier et la voix sortie :
-Qui ... qui êtes vous ? Que ... me voulez vous ?
J'avais suffisamment étudié Iris pour savoir comment elle réagirait, ce qu'elle dirait, ce qu'elle ferait. En gros, pour faire croire à sa mère qu'elle était vraiment là. J'appuyais à nouveau sur le bouton et un nouveau cri en sorti. Puis je laissais un silence passait de quelques minutes avant de me remettre à taper sur le clavier :
-Qu'es que vous faites ? Qu'es que c'est ? Au mon dieu ... non ... nooooooooooooon ...
Là, ce fut un hurlement de douleur non un cri qui sorti de l'ordinateur. |
| | | Rousse au grand coeur <3 ♠ Nombre de messages : 2148 | Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Mar 15 Nov - 18:36 | |
| Sentir qu’il ne fallait pas y aller et y aller quand même ! Voilà qui résumerait bien sa situation, encore une fois la voilà dans de sales draps, cela elle l’avait très vite compris quand quelque chose venait d’être actionné dans ce qui servait de ventilation, comme quoi même les vieux bâtiments complètements délabrés pouvaient avoir des choses modernes. Il va sans dire que le contraire lui aurait été plus appréciable parce que quand quelque chose est lâché comme ça dans l’air ce n'était jamais un peu d’air mais toujours quelque chose qui allait vous faire perdre conscience. Consciente, pour le moment que tout se jouait en des fractions de seconde, elle avait essayé de faire marche arrière pour atteindre la porte mais le faible morceau de tissu qu’elle avait plaqué sur sa bouche ne suffit pas à lui laisser ce laps de temps. La directrice du Ncis, retomba donc au sol dans le noir complet. Noir qui dura d’ailleurs une longueur indéterminée, rien n’était mis et pas une heure était à sa portée tout ce qu’elle sait c’était qu’elle avait un mal de tête atroce et que secondement, elle se retrouvait assise alors qu’elle était plus que certaine que juste avant elle était debout. Immédiatement, tous les signaux de danger se sont réenclenchés, elle essaya de bouger mais comme il fallait s’y attendre c’était voué à l’échec. Des cordes ou ce qui y ressemblait fortement lui liait les poignets et les chevilles et celles-ci avaient été soigneusement attachées. Néanmoins, elle ne voulait pas se laisser abattre si facilement, elle cherchait les failles dans le lien ou quelques choses qui pourraient le couper mais rien.
Surtout qu’elle fut stoppée dans la courte inspection que lui offrait sa vue par un cri déchirant. Elle s’arrêta presque nette de bouger, elle n'était pas seule ici ? Elle avait donc dû être changée d’endroit ? Elle ne savait pas trop quoi mais elle avait interrompu tout mouvement et tendu l’oreille pour se concentrer vers le son qui venait. Un nouveau cri fut poussée et la elle put sentir le désagréable trajet qui descendit tout le long de sa colonne vertébrale quand elle entendu la voix. Iris ? Non ? Ce n’était possible, la dernière fois qu’elle l’avait quitté c’était ce matin même tout allait bien et elle ne pouvait pas déjà avoir vu son mot sur la table de son bureau car elle ne devait pas rentrer si tôt. Mais cette voix, elle tressaille finalement essayant de s’agiter à nouveau avec plus de force de conviction mais qu’un nouveau cri ne reprit. Elle ferma les yeux quelques secondes se forçant à reprendre le reste de calme qui pouvait lui rester. Se laisser submerger par la panique ne servirait à rien, restons logique, difficile quand vous entendez la voix de votre fille se faire de toute évidence torturer. En même temps que faire aussi ? Pas grand-chose. Rhaaa mais cela ne finirait donc jamais, ne pouvait on pas eut la paix 5 minutes. Elle bougea sur la chaise faisant cette fois du bruit, au moins il entendrait qu’elle était réveillée, là c’était complètement masochiste et ce n’était pas ce qui les sauvera non plus. Si au moins, elle pouvait voir où elle était, le noir complet n’aidait pas du tout. |
| | | Invité
| Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Dim 1 Jan - 12:23 | |
| Alors que je "torturais" la fille de ma proie, j'observais sa réaction dans la pénombre. Je souriais alors qu'elle essayait de se défaire des liens qui la liait au fauteuil, sans franchement réussir. Si elle continuait comme çà elle allait finir par se blesser ! Je n'avais pas changer de bâtiment alors qu'elle s'était endormie grâce au gaz Chloroforme que j'avais diffusé grâce au conduit d'aération. Elle était toujours dans la même pièce initiale. J'appuyais de nouveau sur un bouton et un nouveau cri de douleur déchira l'atmosphère. Je me retenais avec difficulté de rire. Je laissais passer quelques minutes dans un silence pesant avant de tapoter sur mon clavier pour faire sortir la voix d'Iris :
-Je ... je ... je ne vous croie pas ... ce n'est pas possible ...
Je laissais passer quelques secondes volontaire puis repris mon tapotement sur le clavier :
-Ma ... maman ? Tu es là ? dit d'une voix tremblotante la pseudo Iris
Je me mordis ma langue pour retenir ce fichu rire qui menaçait de se faire entendre. Elle avait voulu me retrouver après le meurtre de mes parents et de mon petit frère, maintenant elle allait le payer ! Je la torturais psychologiquement avant de m'attaquer à elle psychiquement. C'était dommage car j'avais plutôt bien apprécié la nuit que nous avions passer ensemble et j'aurais bien aimé recommencer. Dommage. Tiens il faudrait aussi que je m'occupes un de ces quatre véritablement de sa fille. Je me demandes bien quel réaction elle aura si je lui apprenais que s'est moi la cause de ce qui c'est passé ce soir. De la colère certainement. De la haine. Enfin, j'avais eu un peu de mal à la cerner. Elle l'aimait ou ne l'aimait pas ? Et puis j'avais réussi à comprendre elle l'aimait mais avait du mal encore à se l'avouer et ne le lui avait jamais dit. Je me demandais aussi quel serait la réaction de notre petite directrice si elle entendait la mort de sa très chère fille. Des pleures ? Je n'y croyais pas vraiment. Mais peut être bien. On ne sait jamais. Perdre son père puis sa fille il y a toujours au moins une larme qui coule. |
| | | Rousse au grand coeur <3 ♠ Nombre de messages : 2148 | Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Lun 2 Jan - 13:37 | |
| Il fallait qu’elle sorte de là, elle devait trouver un moyen, voire la faiblesse quelque part dans son plan. Parce qu'il y en avait toujours, jamais rien n’était parfaitement orchestré, il y avait toujours quelques infimes secondes de battements quelque part et c’était celle-là qu’elle devrait saisir, la moindre des opportunités. Pour le moment en tout cas, aucune ne semblait vouloir pointer le bout de son nez, au contraire la situation devenait de plus en plus mal partie. Tout d’abord, Jen se retrouvait dans le noir complet ignorant totalement ou elle était vu qu’elle ne voyait rien du tout quelqu’un aurait même pu être présent dans la pièce qu’elle ne le verrait pas à moins qu’il fasse du bruit. Secondement, elle était solidement ou efficacement comme vous le vouliez attachée sur la chose où elle était assise, elle avait eu beau essayer de se débattre les liens avec été vraiment très serrée. Elle pouvait d’ailleurs déjà sentir la corde qui lui avait un peu brulé la peau là où elle s’était démenée en vain. Si seulement cela avait été des menottes, elle aurait pu s’en débarrasser en deux temps trois mouvements en suivant les bons conseils de Ziva, mais ici elle ne pouvait même pas voir s'il y avait quelques choses de coupant à sa portée. Et pour couronner le tout, voilà qu’elle n’était de toute évidence pas seule dans ce noir vu que le son déchirant de sa fille , c'était fait entendre. Elle essayait de garder l’esprit clair, qui lui disait qu’elle était là, quelle preuve en avait-elle ? Avoir un sens aussi important que la vue en moins pouvait facilement vous jouer des tours, elle ne devait pas trop vite s’emporter et réfléchir froidement. Chose plutôt difficilement concevable vu qu’un nouveau cri à vous glacer les os se faisait entendre.
La directrice du Ncis se força à respirer calmement bien qu’elle continuait à faire du bruit. Qu’elle soit là ou non, le problème de cette personne c’était elle et personne d’autre alors s’il fallait s’en prendre à quelqu’un se sera aussi à elle. S’en prendre aux autres c’était petit mais tellement normal, elle frissonna quand cette fois se fut clairement sa voix qu’elle entendit. Puis cette question. Que faire ? Y répondre ou non ? Dans tous les cas, ce n’était pas non plus ce qui la sauvera, les sauveront. Non elle ne pouvait pas la laisser se faire torturer sans rien dire, elle ne devait pas ! En même temps il fallait rester digne et ne rien dire, être agent ou directeur d’agence fédéral c’était aussi accepter de risquer sa vie tous les jours, elle plus que d’autre. Elle tenta encore une fois de se débattre avant que sa voix forte mais parfaitement maitrisée sortit.
-Oui…
Elle ne comptait pas flancher autant elle que sa voix, elle ne lui donnerait pas le plaisir de voir qu’elle vacillait. Si c’était le cas elle se le promit de le faire mentalement. Malgré toute sa bonne volonté, elle ne pouvait rien faire là comme ça et cela c’était grandement frustrant surtout quand on avait l‘habitude de tous diriger et ce même avec des choses dangereuses. Après quelques secondes où ce qu’elle prit comme telle parce que la notion du temps n’était pas des plus fiables dans de telles circonstances, elle reprit la parole de cette même voix.
-Qui êtes-vous ?
Oui qui était celui qui tirait les ficelles, que voulait –il ? De toute façon le Ncis ne négociait pas avec les terroristes c’était un faite certain ! |
| | | Invité
| Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Sam 14 Avr - 10:32 | |
| Pour m’empêcher de rire je me mordais l’intérieur de la joue. Ah ! Qu’est-ce que je m’amusais bon sang ! Tellement bon et drôle de faire subir cette torture à une personne qui croit que la personne que je torture est là, surtout que cette personne tient beaucoup à l’autre. Bien vite je sentis le goût métallique du sang dans ma bouche. Mince ! J’avais mordu trop fort ! Pas grave, çà cicatriserait ! Je fis semblant de laisser la pseudo Iris pouvoir parler un peu avec sa mère. Je fis enchaîné la pseudo Iris après la voix de sa mère :
-Il … il … nous laisse dix minutes ... pour … pour qu’on pui … puisse parler … est ce que … est ce qu'il … il t’as … t’as … fait du mal ?
Je cliquais sur quelques touches du clavier et fit entendre un sanglot. Je m’étirais derrière mon écran d’ordinateur portable et baillait silencieusement. Je me demandais dans combien de temps on allait se rendre compte de la disparition de Jennyfer. Quelques secondes ? Dix minutes ? Un quart d’heure ? Une demi-heure ? Une heure ? Demain ? En tout cas jamais, était à écarter. Elle avait dû prévenir qu’elle venait ici. Sa secrétaire ainsi que sa fille et peut être quelqu’un d’autres. Certes il faudrait que je précipite légèrement les choses mais ce n’était pas grave, j’allais continuer à m’amuser avec elle :
-On … on va s’en sortir …
Tapotant du pied le sol je regardais mon écran, penchant légèrement la tête :
-Non. Non je vous en prie ne faites pas çà. Je vous en prie.
Cliquant sur un autre bouton je fis émettre à l’ordinateur un hurlement de douleur. Fin de l’histoire pour Iris. Et on continue avec la directrice. Je fis véhiculer de nouveau du gaz lacrymogène, attendant que Jenny s’endorme de nouveau. Je n’en avais pas mis beaucoup cette fois çi, elle se réveillerait dans peu de temps. Eteignant mon ordinateur, je descendis les escaliers, sortie par la porte que j’avais rouverte, rangea l’ordinateur dans ma voiture, laissait la clef sur le contact comme çà je pourrais partir rapidement si les secours arrivaient. Puis je revenais vers ma proie, j’avais mis de l’essence sur les bords de la maison. Ça allait joyeusement brûler quand je laisserais tomber mon allumette. J’avais installé à côté d’elle une lampe pour éclairer assez la pièce pour que je la vois. Elle ne me verrait que faiblement vu que j’étais plongé dans la pénombre. J’attendais donc mains dans les poches que Jenny se réveille. J’avais bien sur mis des gants pour ne laisser aucune empreinte ou quoi que ce soit d’autres, les trucs pour les pieds pour l’hôpital. Bon en même temps la maison aller cramer mais je ne voulais rien laisser au hasard.
Dernière édition par Williams D'Anctino le Sam 19 Mai - 20:14, édité 1 fois |
| | | Rousse au grand coeur <3 ♠ Nombre de messages : 2148 | Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Mer 16 Mai - 13:59 | |
| Des bruits dans le noir, cela pourrait faire un magnifique titre de film d’horreur et niveau horreur c’était un petit peu ce qu’elle vivait en ce moment, ou tu du moins ce qu’elle pensait vivre. Un esprit logique et cartésien dirait que tant qu’il n’y avait aucune autre preuve tangible autre qu’une voix torturée, on ne devait pas s’emporter. Seulement, elle avait beau essayer de rester de marbre ou de ce dire que c’était un coup monté, sa voix suppliante lui faisait plus de mal qu’il n’en paraissait. Et Dieu seul sait pourtant à quel point, elle savait ce que faisaient les merveilles de la technologie, elle devait se décider à répondre, ne pas répondre, elle n’en savait rien, mais si tel était le cas, elle ne pouvait pas abandonner Iris une seconde fois, surtout que cela serait certainement sa faute et vivre avec une autre mort sur la conscience, elle en aurait bien du mal. Elle parla pour répondre en contrôlant sa voix pour qu’elle ne trahisse en rien la douleur ou l’incompréhension qui l’agitait intérieurement. Jen était toujours occupé d’essayer de se débattre mais privée de la vue, c’était beaucoup plus difficile et ce malgré que les autres sens se mettaient dans une alerte constante où le moindre touché vous ferait sursauter fortement. Elle voulait savoir c’était qui ? A cause de qui elle se retrouvait ici ? Outre sa stupide envie de vengeance… Une chose pouvait être sur, ce n’était pas à cause du trafiquant d’armes, parce que ce n’était pas son style, pas ces méthodes, cela aurait été plus direct et surtout il se serait fait un malin plaisir de se montrer pour signaler qu’il avait gagné. Alors que la directrice du Ncis se forçait du mieux qu’elle pouvait son esprit au calme, ce qui semblait être la voix de sa fille s’éleva à nouveau. Était-elle vraiment là ? Là était toute la question ? Jamais elle n’aurait parlé d’Evan, pour le protéger elle n’aurait rien dit et de plus Evan n’était pas chez elle, elle le savait très bien.
-Je ne trouve pas ça drôle du tout ! Qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous voulez ? Le Ncis ne traite pas avec les terroristes, ne prenez pas la peine de faire durer le plaisir…
Dit-elle avec calme mais un certain dédain plutôt compréhensible dans le ton de sa voix. Cette voix, toujours cette voix qui résonnait dans sa tête plus douloureusement que n’importe quoi d’autre. La première fois qu’elle s’était retrouvée prisonnière de la sorte, elle n’avait pas bronché, pas paniqué, c’était presque du je m’en foutsime mais il n’y avait personne à perdre, là ce n’était pas le cas. Elle avait même deux personnes qu’elles pouvaient perdre et qu’elle ne le souhaitait pas. Ces gens qu’on était heureux de retrouver, était aussi notre faiblesse et tout le monde le savaient. Qu’on le veuille ou non. Un cri de souffrance, elle serra les dents en fermant les yeux comme pour se forcer à reprendre ses esprits, elle n’émit pas le moindre bruit. Petit à petit, une odeur se fit sentir, incapable de s’en protéger très vite le gaz refit son effet, malgré la lutte pour rester conscience, elle se sentit partir vers le néant. Une fois encore, elle sombra et au réveille la même barre douloureuse sur le front. Preuve de l’utilisation de ce produit chimique. Elle fronça les sourcils et referma les yeux brutalement en laissant passer un son mécontent. Certes la transition n’était pas si grande mais du noir le plus profond à une lampe à côté d’elle c’était moins drôle. Jen pouvait enfin voir ou elle était, elle regarda sa position, les alentours, jusqu’à ce qu’un faible mouvement de silhouette grisâtre sur sa gauche attira brutalement son attention, elle fixa son regard vers ce qui semblait être une personne. Elle essayait de distinguer mais sa vue peu encore habituée et la pénombre bien choisie dans laquelle il ou elle se localisait n’aidait pas.
-Vous avez enfin décidé de prendre votre courage à deux mains ?
Demanda-t-elle simplement pendant que ses yeux émeraude continuaient de fixer l’endroit où il se trouvait. La rouquine avait cessé de bouger en tout sens comprenant que pour le moment c’était peine perdue. |
| | | Invité
| Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Ven 18 Mai - 12:02 | |
| Terroriste ? Moi ? J’ai une tête à être terroriste ? Je ne crois pas. Pourquoi toujours dire « terroriste », meurtrier c’est un métier, tuer c’est de l’art. Et les gens « normaux » qui s’évertuent à nous mettre en cage sont incapables de le comprendre. Nous autres tueur, nous sommes des artistes. Chacun à sa propre manière de tuer. Certains reproduisent ce qu’on fait d’autres comme « Barry le Boucher » et il y a eu après « Le fils de Barry le Boucher ». Je me demande quel nom on me donnerait dans la presse si on savait tous mes meurtres, tous mes chefs d’œuvres. Au faites, si c’était vous les fous dans l’histoire et que nous autres, les tueurs on était tout à fait normaux, il y aurait un paquet de monde à mettre derrière les barreaux. Mais bon, je sais que j’ai faux. Que s’est moi la personne anormale dans le lot. Personnellement, je sais que vous ne me comprendrez jamais même si vous mettez vos meilleurs profilers sur mon cas ils ne pourront pas comprendre. Fils de sénateur, la vie belle, n’aime pas spécialement son petit frère – le hait – excellent à l’école, les filles à ses pieds, tout pour lui, des parents qui l’aime. En faites, je l’ai su depuis que je suis tout petit que je n’étais pas comme les autres. Comment ? Ca je n’en sais rien, je l’ai juste simplement su.
Après avoir endormi ma rouquine préférée j’étais descendu, avais tout rangé dans ma voiture garé non loin et il ne me restait plus qu’à attendre. Je n’eus pas à attendre trop longtemps vu que je n’avais pas mi une trop forte dose. Jennyfer se réveilla, je penchais légèrement la tête ce qui lui fit remarquer ma présence. J’avais un léger sourire en coin quand je sorti de l’ombre, mains dans les poches, décontracté. Elle ne pouvait rien me faire, attachée comme elle était à son fauteuil :
-Salut Jenny. Il te convient ce fauteuil ? Tu sais il faudrait arrêter de te débattre tu vas te faire du mal à force çà serait dommage. Alors parle-moi de ta fille. Tu l'aimais sincèrement ?Pas trop un fardeau pour toi ?
Je souriais toujours, mon sourire en coin s’était transformé en un magnifique sourire qui dévoilait mes dents blanches – à la Colgate quoi -, j’avais sorti mes mains de mes poches et j’avais croisé les bras. Allait-elle me répondre ? M’insulter ? Dire qu’elle ne croyait pas que sa fille était morte ? Allait-elle m’appeler par « James » ou avait-elle comprit qui j’étais vraiment ? Plusieurs autres questions se bousculaient dans ma tête, et je gardais toujours mon calme.
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| | | Rousse au grand coeur <3 ♠ Nombre de messages : 2148 | Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Mar 29 Mai - 9:35 | |
| Cette personne devait franchement avoir un très sérieux complexe quelconque pour à chaque fois vouloir endormir les personnes qui l’entouraient, quand il voulait changer le décor de ce lugubre lieu. Très franchement, les mains et les pieds attachés, elle savait peut-être faire des miracles mais elle était loin d’être Dieu. Elle avait beau essayer de se débattre parce qu’elle avait toujours refusé la fatalité mais tout ce que la rouquine arrivait à faire s’était de s’écorcher peu à peu les endroits de sa peau en contact étroit avec les cordes, tant pis. Le gaz réapparut, la lutte était inégale, elle replongea dans l’inconscient pendant encore un petit ou un grand moment, qu’est-ce qu'elle en savait de toute façon, pendant des moments pareils vous perdez toute notion du temps. Et elle pouvait même avouer que cela était déjà fait depuis le début avec le noir, vu que vous n’avez pas le moindre repère temporel, ou lumineux auxquelles on pourrait se fier, rien du tout. Un réveil éclairé, se fut ce qu’elle eut, par pure réflexe elle avait même refermé les yeux. Ceux-ci s’attendant toujours à retrouver une noirceur d’ocre et non pas une lampe juste à côté d’elle. À quoi il où elle jouait ? La directrice n'en savait rien mais elle allait très bientôt le savoir. Vu que de toute évidence, pendant sa rapide inspection du lieu, elle avait vu une silhouette dans le coin. Incapable de garder le silence, elle avait lancé sa pique sur son non-courage. Après tout si cette personne s’en prenait à des gens pour en atteindre d’autre et jouait comme un chat avec sa proie, on ne pouvait pas dire qu’il n'y avait que du courage. De toute façon pour elle la situation ne se posait même pas, il mériterait juste se ramasser une balle, mais soucis, elle n’avait plus d’arme. Bon, elle n’avait pas besoin de ça pour maitriser quelqu’un mais c’était toujours nettement plus efficace.
Croyant peut-être que cette silhouette grisâtre allait parler de là, elle ne s’attendait pas à cette avancée en pleine lumière, c’était encore plus mauvais signe pour son espérance de vie. En soi, elle venait de voir son visage, ce qui veut dire qu’il y avait peu de chance qui la relâche tranquillement. Tant pis. Le pire dans tout cela ? C’était peut-être que ce visage, ce regard lui était désagréablement familier. Le jeune homme de la plage, l’erreur d’une soirée et surtout un sentiment de connaissance plus lointaine inexplicable. En somme, elle s’était fait avoir en toute beauté, voilà qui la renfrogna encore plus. Son visage restait inexpressif bien que sa ligne de mâchoire se contractât fortement. Toutes ses questions, un peu trop personnelle, cette voix un peu trop familière. De toute évidence, le nom n’était sans doute pas James, il ne devait pas être aussi stupide que ça vu ce qu’il avait manigancé et donc surement par le vrai métier non plus. Sa fille… Bon sang, jeu pas jeu, mensonge pas mensonge. Rester neutre, ne pas bouger. Elle fit un effort plus que surhumain pour ne pas bouger malgré tout son regard émeraude croisa le sien. Si cela avait été des armes, il serait mort un nombre incalculable de fois en quelques fractions de seconde.
-Puis-je savoir quel est votre nom ? À moins que vous vous entouriez tellement de mensonge qu’il vous est impossible de retrouver le bon ?
Non, elle ne répondrait pas à ses questions. À quoi bon de toute façon lui donner ce plaisir ? À rien du tout, donc non, elle se tairait là-dessus lançant un autre sujet. Peut lui importait de toute façon toute la vraie signification, pour le moment, elle était coincée au sens littéral du terme et elle détestait cette situation d’impuissance totale sur le propre court de sa vie.
-Et tant qu'à faire, peut-on savoir ce que vous espérez au juste ? À part vous faire poursuivre toute votre vie par des agents fédéraux ?
Elle prononça cette phrase avec nonchalance, tout en soutenant son regard. |
| | | Invité
| Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Lun 18 Juin - 10:24 | |
| Je souriais toujours alors qu’elle me parlait. Elle n’avait pas répondu à mes questions, je m’en fichais un peu je voulais avoir les réponses et je le serais, je recommencerais jusqu’à ce qu’elle lâche le morceau. Mon regard était plongé dans le sien couleur émeraude. Ça m’étonnait quand même qu’il y est plus une ressemble au niveau caractère que physique avec sa fille. Elle aurait quand même pu prendre quelque chose de sa mère non ? A part le caractère qui avait dû lui attirer de sacrés problèmes à son orphelinat. Mon sourire ne s’était pas fané alors que je me mettais à parler :
-Ca m’attriste Jenny que tu ne te souviennes pas de ma véritable identité, j’aurais cru que tu m’aurais reconnu. Oui c’est vrai, je ne me suis jamais appeler James, enfin si … d’une certaine façon ... on me recherche déjà pour des meurtres Jen, trois petits meurtres … çà ne te dis toujours rien ? C’est vrai tu dois en avoir déjà vu pleins de meurtres avec trois personnes tuer. Mais … un sénateur avec sa femme et l’un de ses fils tués ce n’est pas commun hein Jenny ? Et ce que j’espère … oh … simplement te tuer Jenny bien sûr.
Mon sourire s’était agrandit un peu plus. Elle était censée savoir qui j’étais maintenant non ? Au moins j’allais lui donner la réponse :
-J’ai grandi depuis et toi … tu n’as pas changé … alors oui, je suis bien Williams tu sais ce jeune homme que tu cherchais après ces trois meurtres, à portait de mains, enfin si tu arrives à bouger pour m’attraper.
Je mettais placé derrière elle et je mettais légèrement penché vers elle, mais hors d’atteinte pour ne pas qu’elle essaye de me mordre, on ne sait jamais :
- Alors Jenny, parle-moi de ta fille s’il te plait. Tu auras peut être un peu plus de chance de t’en sortir vivante d’ici non ? Je ne crois pas que tu sois en position pour ne pas faire ce que je te demande et çà serait un peu plus préférable pour toi de me répondre, sincèrement. Donc, je repose mes questions Jennyfer. Tu aimais sincèrement ta fille ? Elle n’était pas trop un fardeau pour toi ?
J’avais sorti une lame – un couteau – en silence, si elle refusait cette fois-ci encore de me répondre j’essayerais de la persuader d’une autre façon. Je faisais tourner le couteau entre mes doigts, attendant tranquillement une réponse de sa part.
Dernière édition par Williams D'Anctino le Jeu 26 Juil - 15:15, édité 1 fois |
| | | Rousse au grand coeur <3 ♠ Nombre de messages : 2148 | Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Mar 19 Juin - 19:40 | |
| Être en mauvaise posture cela n’était pas la première fois que ça lui arrivait mais c’était, qui sait, peut-être la dernière. Ce qui la mettrait en rogne parce que bon la faire venir pour ce trafiquant d’armes d’accord mais qu’on lui laissait au moins le temps de le faire passer l’arme à gauche avant de le rejoindre non ? Question que la traque qu’elle avait menée pendant plus de dix ans à son encontre aille eut une quelconque utilité à part s’attirer des ennuis avec la Cia et avoir dû faire connaissance avec l’énigmatique Trent Kort. Enfin là n’était pas le problème, la directrice du Ncis en avait un bien plus gros sur les bras, vu qu’elle était attachée ferment dans un bâtiment qui se situait dans un coin paumé avec pour compagnie un enfoiré de première qu’elle devait connaître depuis longtemps mais dont elle ne parvenait pas à remettre le nom. En même temps on ne pouvait pas tout faire, généralement la rousse avait une très bonne mémoire des voix, seulement si elle reconnaissait parfaitement celle de l’homme qu’elle avait croisé un soir, elle ne pouvait pas faire la ressemblance avec une voix enfantine d’un gamin qui avait à peine passé la puberté, soyons logique. Tandis qu’elle était nettement moins physionomiste et que ce détail changeait énormément avec l’âge, une coupe de cheveux et une couleur différente pouvait faire des miracles. De plus tout le monde savait que les souvenirs anciens n’étaient pas les plus précis quand il n’était pas très marquant. Voilà toutes les raisons qui faisaient que Jen avait ce sentiment de le connaitre ou de le reconnaitre mais qu’elle ne situait absolument plus d’où. Étrange sensation, décidément aujourd’hui niveau de sensation désagréable, elle avait tout le lot.
Néanmoins, bien qu’en position de faiblesse, il n’était pas dans le caractère de l’ancienne agente de se démonter si facilement. Elle avait un caractère bien trempé et elle n’allait pas en changer maintenant, c’était trop tard. C’était pourquoi au lieu de répondre bien gentiment à sa question, ce qu’aurait fait toute autre victime pour avoir une chance de survie, foutaise selon elle, elle lui en balançait d’autres refusant catégoriquement de lui parler de sa vie. Après tout il semblait déjà que trop bien la connaitre que pour qu’elle s’y attarde davantage et ses propres sentiments, il n’avait pas à les connaitre elle n’en voyait même pas l’intérêt pour lui vu qu’il devait s’en moquer comme de sa première chaussette. Elle voulait savoir son nom ! Son corps était à présent immobile, son regard par contre restait incroyablement intense et assassin, elle continuait à le fixer avec un calme un rien désarçonnant tout de même. Enfin, il se mit à déballer un peu plus le tout. Si au début c’était toujours le noir complet pour Jen, petit à petit l’idée fit son chemin dans son esprit jusqu’au flash de compréhension. Oh mon dieu : Williams D’Anctino. Bon au moins elle avait eu raison de le croire coupable à son époque. Une colère sourde remonta alors en elle, il avait tué sa famille. Sa mâchoire était crispée et ses yeux lançaient des éclairs.
-Niveau sens de l’humour, cela serait peut-être à revoir. Tu oses t’en vanter maintenant ? Ah c’est tellement plus facile, tellement plus lâche… Tu n’en emmenais pas large à l’époque vu que tu as fui. Tu te crois fort, intelligent, mais tu es tout le contraire… Et cela se dit un homme, on est tombé bien bas.
Quoi cela pouvait l’énerver ? Et alors ce n’était pas comme si tout allait bien se passer. À la limite la seule chose qu’elle pouvait espérer c’était soit qu’il soit rapide, soit que quelqu’un lise le message qu’elle avait posé sur son bureau et se rapplique dare dare mais comme elle n’était plus au courant de l’heure depuis longtemps pour avoir piqué deux petits sommes forcés, elle ne savait pas si cette probabilité était proche ou non de se réaliser. Alors autant parler même si c’était la provocation. Normalement on vous apprenait qu’il ne fallait pas faire ça et elle ne le faisait jamais mais c’était tellement différent. C'était personnelle, elle le connaissait aussi un peu trop bien à son gout que pour tenter la méthode traditionnelle. Puis finalement, alors qu’il était dans son dos et que la directrice du Ncis fixait droit devant elle, il revint à la charge. Elle laissa passer un léger rire qui n’était pas du tout amusé, plutôt froid d’ailleurs.
-Si tu baratines toutes tes victimes comme ça, alors excuse-moi mais cela ne devait pas être des lumières. Je ne suis pas assez stupide pour croire une seule seconde que cela changera quelque chose et je ne vois aucunement l’intérêt de dire quoi que ce soit à ce sujet. Démerdes-toi tout seul…
Grogna-t-elle bien qu’elle ait entendu le cliquetis métallique d’un cran d’arrêt qu’on actionnait. Sa respiration s’accélérât, elle se força à la maitriser pour lui imprimer un tempo plus lent et profond. |
| | | Invité
| Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Jeu 26 Juil - 15:14 | |
| Ah ! Enfin çà avait fait tilt dans sa tête ! Elle avait enfin compris qui j’étais ! Comment j’avais compris qu’elle s’avait qui j’étais maintenant, sa mâchoire s’était crispée et elle me lançait un de ces regards ! Si on pouvait tuer d’un simple regard je serais enterré à l’heure qui l’est et Jenny récompensait pour m’avoir tué ! Lâche-moi ? Et elle alors ? N’était-elle pas lâche d’avoir laissé sa fille à sa naissance ? Chacun sa définition du lâche je dis … en tout cas j’étais parti pour une simple et bonne raison. Je n’avais tout simplement pas envie de me faire coffrer par les flics pour le meurtre de mes parents et de mon petit frère ! Personne n’a envie de se faire arrêter ! Et puis passer la fin de mes jours dans un hôpital psychiatrique ou dans une prison ? Hors de question ! Je n’ai pas envie de moisir entre quatre murs avec des médocs qui me shooteront ! Nan nan ! A moins qu’on tue des adolescents tueurs ? J’en doute ! Mais en tout cas fuir avec été la seule solution que j’avais trouvé pour pouvoir continuer ma vie de « psychopathe », personnellement je sais que je ne suis pas comme les autres mais je trouve que ce que je fais c’est de l’art contrairement à ce que pense la majorité du commun des mortels, et Jennyfer devait penser la même chose que j’étais un psychopathe en puissance :
-Chacun sa définition de la lâcheté hein Jenny ? Toi et ta fille, moi et mes meurtres. Personnellement je pense que c’était la meilleure chose à faire de « fuir » comme tu le dis si bien, fuir ma responsabilité de mes meurtres et toi fuir la responsabilité d’avoir une fille. On est tous les deux lâches ma chère Jennyfer mais à notre manière. Je me voyais très mal et encore je me vois toujours très mal derrière les barreaux alors que je n’étais qu’un adolescent ou être dans un asile psychiatrique. Là, je pense que si on m’attrape j’aurais le droit à avoir la peine de mort. Je me demande comment c’est la mort … je me demande si je vais avoir mal … est ce que tu crois que je verrais mes parents ? Et les autres …
Et voilà, j’étais parti dans mes pensées, pensant au moment où on m’attraperait, enfin si on m’attrapait. Pensant quand je serais allongé et qu’on m’administrerait le liquide dans mes veines pour me tuer. Je me demandais si j’allais mourir tout de suite ou pas ? Quels seraient mes derniers mots ? Qui seraient là pour me voir mourir ? Combien de personnes aurais-je tué avant qu’on m’attrape ? Bien des questions défilaient dans mon cerveau.
Je revenais à la réalité et me plaçais derrière elle, sortant le plus silencieusement possible un cran d’arrêt. Arf ! Il y avait un bruit ! Oh et puis zut pas grave ! Je m’en fichais au final du bruit que je pouvais faire. Nous étions encore seuls pour quelques temps alors je pense que je pouvais faire autant de bruit que je voulais on ne m’aurait pas entendu. Je poussais un soupire et plaçais la lame du couteau contre son cou :
-Allez Jenny réponds à ce que je te demande et même si ma parole ne doit pas vraiment compter certainement … je peux te promettre que si tu y réponds je ferais en sorte de tuer rapidement et sans grande douleur voir même aucune douleur. Réponds et tout sera fini promis. Oui c’est vrai je t’ai menti pour le « laisser en vie » mais réponds juste à mes questions et tu pourras avoir une mort rapide et sans douleur ou quasi sans. J’essayerais de faire en sorte que tu es le moins mal possible. Sache que je ne le fais jamais pour les autres de mes victimes, tu seras mon exception. Tu as juste à répondre simplement à mes questions rien d’autres.
J’espérais qu’elle allait réponde à mes questions sinon je devrais essayer de l’intimider même si je me doutais bien que çà ne marcherais pas. Et elle avait dû laisser un message ou prévenir quelqu’un qu’elle venait ici ? Et ne la voyant pas des personnes viendraient non ? Donc il fallait bien qu’à un moment où un autre je finisse le « boulot » que je la tue. Pourquoi avais-je eu la stupidité d’avoir eu une relation avec elle ? J’avais l’impression d’avoir … des remords à la tuer. Ma première bêtise dans toute ma carrière de tueur en série ? Je ne l’espérais pas. A noté ne plus avoir de relation avec mes futurs victimes, ça me fait avoir des sentiments étranges … inconnus … terrifiant ! Y avait plus qu’à espérer qu’elle ne l’ avait pas remarqué que j’hésitais à la tuer que j’avais des remords à la tuer car elle pourrait en profiter. Je gardais quand même une attitude calme et sereine pour ne pas éveiller ses soupçons si elle n’en avait pas … encore … |
| | | Rousse au grand coeur <3 ♠ Nombre de messages : 2148 | Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Mar 31 Juil - 14:54 | |
| Nous avons tous une flopée de connaissances dans ce bas monde, dont certains qu’on aurait préféré ne jamais croiser. Eh bien cela était actuellement le cas pour la directrice du Ncis qui se retrouvait en face de D’Anctino, un homme qui avait finalement tué toute sa famille plus jeune. Comment avait-elle fait pour ne pas le reconnaitre ? Comment les liens ne s'étaient pas fait dans son esprit ? Des réponses à cela, elle ne les avait pas mais ce qu’elle savait, c’était qu’elle se dégoutait encore plus d’avoir pendant une soirée laisser glisser cette relation basée sur la haine enfantine dérivée à une intimité partagée. Arf, voila qu’elle du réprimer un frisson. Cependant cette phrase d’arrêt ou on se prend dans la figure aussi qu’on avait quelque peu couché avec gamin n’avait pas duré longtemps parce que très vite ce fut la colère qui l’emplie à nouveau. Comment pouvait-il s’en vanter ? Seulement après toutes ces années, elle parlait sans prendre attention à l’impact positif ou négatif que pourraient avoir ses mots sur lui. Peu lui importait, elle était loin du classique, c’était de personnel et elle ne le réglerait pas par la méthode si durement apprise pendant des années. Il était de toute façon peu probable qu’il entend raison ou soit assez stupide que pour lui laisser la moindre chance de retourner la situation à son avantage alors à quoi bon retenir sa rancœur à son encontre. Il paraîtrait que garder tout pour soi n’était pas bon, alors elle extériorisait. Sauf que fatalement, cela n’allait pas être de l’avis de son ravisseur brun qui enchaina aussi tôt en réattaquant sur sa vie personnelle. Mais de quoi il se mêlait ? Pourquoi tout devait retourner sur sa fille, elle ne l’avait pas tué, ni elle ni Aleksander à ce qu’elle sache, c’était lui qui avait fui en premier. Elle avait suivi mais c’était différent, comment pouvait-il comparer c’est deux choses là ensemble ?
-Parce que tu crois que ces deux choses sont comparables ? Je ne suis coupable d’aucun crime par contre toi tu en as au moins trois à ton actif. Sans compter tous ceux que nous ne connaissons pas. On va se charger de ton cas William, ils remonteront la piste et si je n’aurais pas le plaisir de te voir croupir en prison, d’autres le feront à ma place.
Jennyfer ne prit même pas la peine de relever les dernières questions sur la mort. Très franchement, qu’est-ce qu’elle en savait déjà ? De plus, la rousse était loin d’être croyante, elle avait vu trop de choses que pour encore espérer à une puissance divine alors peu lui importait. Elle voulait juste qu’il cesse de jouer ou peut-être qu’il fasse un combat plus loyal. Qu’il la détache donc qu’on voit vraiment s'il pouvait argumenter le faite d’avoir le titre d’homme. Parce que c’était tout aussi lâche de s’en prendre aux autres sans qu’il puisse se défendre, ce n’était pas digne du tout même. Elle avait cependant cessé de s’agiter c’était inutile, elle l’avait bien compris depuis le temps puis tournant sans doute autour de sa proie, en tout cas c’était l’impression qu’il donnait. Son vis-à-vis disparu rapidement dans son dos avant de reprendre ses questions sur Iris. Elle ne voyait pas pourquoi elle devrait en parler, en quoi cela l’intéressait, pourquoi il ramenait tout à elle. ? Cela en était louche, mais elle préférait l’envoyer sur les roses de manière peu digne d’une directrice d’agence et ce malgré le cran d’arrêt qu’elle entendit s’actionner. Il ne dut encore une fois pas apprécier ses répliques quelque peu cinglantes car elle put sentir la lame d’acier du couteau se positionner sur son coup. Elle contrôla une fois de plus du mieux qu’elle put sa respiration, ne bougeant plus la tête pour ne pas se blesser d’elle-même. Encore les mêmes demandes et ces vagues promesses sans fondement. Jen laissa passer un léger rire sans joie avant de lui répondre d’un ton maitrisé.
-Oh je dois peut-être me sentir honorée de cette exception ? Mais tu crois vraiment à ce que tu raconte ? Laisse-moi rire. Je ne répondrais à rien du tout, je n’ai aucun compte à te rendre…
En somme c’est un nouveau va te faire voir dans les règles de l’art. Une blessure ? Certainement… Mourir ? Peut-être… Elle aimerait pouvoir se défendre mais les poignets et les jambes solidement fixées à la chaise métallique n’aideront point. En somme elle était impuissante et devait laisser faire son mesquin amusement. Elle tenta de refouler cette peur inhérente dans un coin de son cerveau et força son regard à fixer droit devant elle sans ciller.
-La police ne tardera pas...
Un dernier avertissement ? Un maigre espoir ? Non, c’était une promesse que quoiqu’il fasse quelqu’un finira par le coincer, l’arrêter et il payera pour ses crimes tôt ou tard, elle avait confiance en l’équipe de Gibbs pour cela. |
| | | Invité
| Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Dim 2 Sep - 15:00 | |
| Pourquoi avais-je fuis après le meurtre de mes parents et de mon frère ? Car je voulais survivre et ne pas aller en prison ou mourir je voulais survivre, vivre, évoluer, grandir, devenir plus « puissant », et le sang que j’avais fait couler je voulais le refaire couler encore et encore. Puis j’avais compris que personne ne me comprendrais. Fou ? Oui fou pour certains, pour d’autres non. Pour mes « congénères » je ne l’étais pas ! Les autres meurtriers, pour la plupart, étaient tous dingues, méritant l’hospitalisation, l’enfermement, la mort. Mais alors … les agents fédéraux, les soldats, les espions, ils tuaient et pourtant ils n’étaient considérés comme fous pour autant ? Non. Pas au regard du monde. Ils pouvaient torturer et tuer en toute quiétude, n’ayant pas une épée de Damoclès au-dessus de leurs petites et misérables têtes.
Je vais vous raconter quelque chose que j’ai appris. Un médecin a tué une adolescente, mère de sa femme mais fille d’un autre homme. L’état l’a protégé car il avait aidé pendant la guerre si je m’en souviens bien. Le père de la jeune défunte a du faire un kidnapping pour faire venir le médecin en France et qu’il soit jugé, certes le père a eu des répercussions suite à son acte mais juste parce que quelqu’un aide il est protégé quand il tue. Peut-être aurais-je dû aider avant de me mettre à tuer non ? Mais … le risque serait beaucoup moins grand et cela serait bien moins existant.
Retournons donc vair notre petite – pas si petite bien sur – Jennyfer Shepard. J’allais avoir pas mal d’emmerdements après ce que je venais et ce que j’allais faire il allait falloir que je fasse profil bas, que je disparaisse quelques temps. Alors qu’elle parlait un mince sourire apparut sur mes lèvres, et après qu’elle eut finit j’éclatais de rire :
-Déjà … c’est Williams, avec un S, hélas on se trompe facilement mais c’est ce qui fait ma différence des autres non ? Et puis … Jenny, j’ai tué dans bien des états et bien des pays et j’ai bien dû tuer dans un ou deux états avec la peine de morts alors la prison … je n’y crois pas trop. Je sais bien que je ne suis pas insaisissable et qu’un jour arrivera où l’on me tombera dessus, à ce moment-là on me fera payer le fait d’avoir ôté des vies. Mais personnellement je pense que les agents fédéraux, les policiers, les soldats et les autres devraient aussi payer pour avoir tué tu ne crois pas Jenny ? Tu as été agent toi aussi comme ta très chère fille mais toi tu t’es élevée tu n’as pas voulu rester comme simple agent tu as préféré donner les ordres que les recevoir qu’est-ce que ça fait de donner les ordres et de ne plus en recevoir hein Jenny ? Enfin … pas autant qu’avant j’imagine …
Je sortais un cran d’arrêt le plus silencieusement possible même si le bruit de la lame se fit entendre, et je plaçais celle-ci sur sa gorge. Menace, promesse. J’essayais d’assouvir ma curiosité à propos du lien Jennyfer-Iris. Lien mère-fille. Mais la rouquine refusait d’en parler. Voulait-elle protéger sa fille ? Ou bien se protéger elle-même ? Bon … je fis passer légèrement le bout de la lame sur le cou de la directrice du NCIS faisant apparaître ainsi une légère estafilade, elle ne pourrait en mourir. L’estafilade se mit à saigner. Avec un soupire je me penchais vers son oreille. Oui, la police allait arriver et il fallait que je parte alors je me mis à murmurer à quelques millimètres de son oreilles :
-Je reviendrais Jenny, oui, on va se revoir. Dans quelques jours, quelques semaines, un mois, deux mois, dans trois ans je n’en sais rien mais on va se revoir. Veille sur tes proches comme tu peux, et profites de chaque instants au maximum car peut être que celui d’après sera ton dernier ma chère.
Je me relevais et la contournais pour revenir devant elle, un sourire en coin à la commissure de mes lèvres. Je plantais à cinq-six pas d’elle le cran d’arrêt dans le sol puis me dirigeait vers la porte que j’ouvris tranquillement. Je fis volteface un Zippo noir et rouge à la main droite, la flamme dansais doucement :
-Essayes d’attraper la lame Jenny peut être qu’elle t’aidera en attendant l’arrivée des secours. Allez bonne continuation et souviens-toi de ce que je t’ai dit ! Profites !
Et je lançais le Zippo sur les bidons d’essences que j’avais apportais pendant qu’elle s’était endormie la dernière fois, j’avais bien sur répandu un peu d’essence autour. La maison commença à s’enflammer alors que je m’éloignais en sifflotant tranquillement. Les sirènes se faisaient déjà entendre au loin. [HJ : Excuse moi j'ai pas pu m'en empêcher pour "William" x) /pas frappée/ j'espère que çà te conviens ce que j'ai écris, je te laisse donc faire ta fin. Si tu veux je changes des trucs bien sur ^^] |
| | | Rousse au grand coeur <3 ♠ Nombre de messages : 2148 | Sujet: Re: La vengeance peut nous attirer des ennuis [Jenny] Lun 3 Sep - 17:08 | |
| Relever les fautes dans un nom. Mais bon sang ce type était complètement décalé de la réalité de notre monde. Il était occupé de menacer une directrice d’agence fédérale et il se préoccupait juste de son nom écorché ? Alors qu’il allait avoir tout le ncis au cul, de manière littérale également… Il y avait des gens qui n’étaient décidément pas très nets dans leurs têtes. Pour ce qui était de son cas, cela n’était pas étonnant au vu des crimes qu’ils avaient déjà commis. Eh de plus on ne lui avait jamais signalé que techniquement parlant, il n’y avait aucune faute dans un nom propre ! Surtout que quand on le prononçait son foutu S auquel il tenait tend, celui-ci ne se prononçait pas. Alors franchement quelle différence mais que soit. Peut lui importait vu qu’il tentait comme depuis le début de cette conversation de faire des liens entre son vécu et le sien. On ne pouvait pas tout comparer, il y avait une limite du raisonnable qu’il transgressait joyeusement ramenant une fois de plus à Iris. Savait-il qu’il devenait extrêmement soulant et répétitif, très franchement, elle avait déjà subi une prise d’otages et même les autres types avaient une conversation plus intéressante que lui. Blabla tout un tralala inutile qu’elle n’écoutait cas moitié tellement que cela faisait grimper crescendo sa colère tapie. Certes, il fallait voir le bon côté des choses tant qu’il continuait à parler, il ne la tuait pas, tant qu’il continuait à parler, le temps passait. Ce qui voulait dire que la police finirait par arriver tôt ou tard et cela se rapprochait. Cependant, faire semblant et ne rien répliquer était au-dessus de ses forces. Pour une personne franche et assez directe comme Jennfyer garder sa langue dans sa poche même dans une telle situation relevait du miracle. Ça n’arrivait pas tous les jours…
-Tu n’es pas différents des autres, tu es dans cette masse de gens pour qui ôter des vies est devenu le quotidien. Dans cette population qui ne mérite pas mieux que le sort qu’elle réserve à autrui.
Ce fut absolument tout ce qu’elle rajouta à sa petite tirade et rien d'autre. Oui il avait posé d'autres question, soulevé beaucoup de choses qui pourrait tenir lieu de débats enflammé devant pas mal de cours de justice de ce pays, mais on n’en était pas là du tout. À croire que l’impatience le gagna parce qu'il décida de ne plus appuyer que sur les mots et de faire passer ces demandes par la force. Pas de chance là non plus, la rouquine n’était pas décidée à lui donner ce qu’il voulait, c’était à dire de simple réponse. À quoi bon parler quand vous savez de toute façon que cette personne ne pouvait pas vous laisser en vie sinon elle aurait réellement des centaines de problèmes. Et Jen savait se montrer patiente, elle avait traqué The Frog pendant des années, s'il fallait elle recommencerait juste pour lui mettre la main dessus, pour qu’il soit livré à la justice. Elle refusait obstinément de parler de quoique se soit, son regard émeraude fixa droit devant elle le mur d’en face qu’elle détaillait à peine dans cette luminosité faible. Elle ne bougeât plus la tête non plus, puis doucement, elle sentit une entaille bénigne en tout cas se faire. Les picotements commencèrent à se créer au niveau de sa gorge, du sang perla également. Pour elle s’était clair qu’il commençait juste à s’amuser mais il lui parla juste sans pousser le vice.
-Ne souhaite pas me revoir, car ce jour sera peut-être ton dernier…
Se fut tout ce qui traversa la barrière de ces lèvres avant de le voir partir vers la sortie. Hum une minute, tout ce cinéma, tout ce cirque, cette mise en scène et tout ce fatras pour ça ? Pour partir comme ça bien gentiment en la laissant planté là jusqu'à ce que quelqu’un arrive ? Si on arrivait bien sur. C’était un peu trop beau pour être vrai et heureusement que la directrice ne se faisait plus des illusions depuis longtemps parce que après une geste théâtrale, il envoya une flamme dans la pièce. Le rougeoiement commença immédiatement à danser, illuminant d’autres parties de la maison qui prenait feu petit à petit. Il allait bruler le bâtiment. Elle se débattit à nouveau comme un beau diable sans plus de succès, la lame, était hors d’atteinte de toute façon, pied lié contre les pieds de la chaise, elle n’avait aucune chance de s’en saisir même si près. Des sirènes se firent entendre. Dieu soit loué. Seulement sur ce temps, la fumée encombrait de plus en plus la pièce et elle n’avait pas grand moyen pour s’en protéger. Elle ne pouvait pas relever son t-shirt qui de toute façon commençait à s’imbiber de son sang. Jen commença à tousser en respirant la fumée. Elle se balança un peu et finit par faire tomber la chaise à terre pour respirer de l’air frais. Des pompiers brisèrent les vitres, le feu gonfla et c’était sans doute là qu’elle s’évanouit. Pour se réveiller plus tard, en un seul morceau dans un lit d’hôpital, un tuyau d’oxygène relier à son nez pour évacuer le Co2. [Topic Terminé] |
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